Boucle coronalethumb|Boucles coronales. thumb|Diagramme montrant l'évolution du flux magnétique lors d'un cycle solaire. Les boucles coronales forment la structure fondamentale de la couronne inférieure et de la région de transition du Soleil. Ces boucles fortement structurées sont une conséquence directe de la torsion du champ magnétique solaire par la dynamo solaire. Le nombre de boucles coronales est lié directement au cycle solaire, on constate souvent que les boucles coronales sont associées à des taches solaires par leurs extrémités.
Hαthumb|600px|Parmi les quatre raies de la série de Balmer, la raie H alpha est la raie rouge, à droite. En physique et en astronomie, Hα, notée aussi H alpha, est une raie d’émission particulière de l’atome d’hydrogène située dans le spectre visible à . Elle correspond à une transition entre les niveaux d’énergie principaux n = 3 et n = 2. Selon le modèle de Bohr, les électrons peuplent des niveaux d’énergie quantifiés autour du noyau de l’atome. Ces niveaux d’énergie sont décrits par le nombre quantique principal n = 1, 2, 3.
Région de transition solairevignette|La région de transition du Soleil telle qu'observée par TRACE (image en ultraviolet extrême). La région de transition solaire est une région de l'atmosphère solaire située entre la chromosphère et la couronne. Visible en astronomie dans l'ultraviolet depuis l'espace, elle a été notamment observée par le télescope TRACE de la NASA en . Elle est le site de plusieurs transitions physiques importantes. Décrite à l'aide des équations de Navier-Stokes combinées avec l'électrodynamique, la complexité des équations résultantes rendent difficile la compréhension de la région de transition.
Tube de flux magnétiqueUn tube de flux magnétique caractérise une région de l'espace où règne un fort champ magnétique occupant un territoire approximativement tubulaire. Ce champ, à la surface de sa zone de répartition, est parallèle à cette surface. On en trouve généralement autour des grands corps célestes tels que les étoiles. Le Soleil possède de nombreux tubes de flux, avec des diamètres de l'ordre de 300 kilomètres pour la plupart. Un certain nombre de tubes de flux plus importants comportant des diamètres de l'ordre de kilomètres sont connus comme étant directement en rapport avec les taches solaires.
Héliophysiquevignette|Actuelles et futures missions d'étude de l'observatoire du système héliophysique dans leurs régions approximatives . vignette|Film montrant les missions héliophysiques de la NASA depuis l'orbite proche de la Terre jusqu'à l'orbite de la Lune. Héliophysique est un terme inventé par le Dr. George Siscoe de l'université de Boston et par la suite utilisé par la NASA pour englober l'étude du système composé du Soleil, l'héliosphère et les objets qui interagissent avec l'astre, et plus particulièrement, mais non limité aux atmosphères et magnétosphères des planètes, la couronne solaire, et le milieu interstellaire.
Spicule (astronomie)In solar physics, a spicule, also known as a fibril or mottle, is a dynamic jet of plasma in the Sun's chromosphere about 300 km in diameter. They move upwards with speeds between 15 and 110 km/s from the photosphere and last a few minutes each before falling back to the solar atmosphere. They were discovered in 1877 by Angelo Secchi, but the physical mechanism that generates them is still hotly debated. Spicules last for about 15 minutes; at the solar limb they appear elongated (if seen on the disk, they are known as "mottles" or "fibrils").
Nappe de courantvignette|300x300px| Une nappe de courant héliosphérique résulte de l'influence du champ magnétique tournant du Soleil sur le plasma du milieu interplanétaire. vignette|380x380px|Évolution d'une nappe de courant lors d'une éruption solaire. Une nappe de courant est un courant électrique confiné autour d'une surface, plutôt que d'être distribué dans tout le volume d'espace. L'étude des nappes de courant fait partie de la magnétohydrodynamique (MHD), qui s'intéresse au comportement des fluides conducteurs.
Héliosismologie325px|vignette|Une image réalisée grâce à un ordinateur montrant les motifs d'oscillation acoustique solaire en mode p à la fois à l'intérieur et à la surface du soleil. (l=20, m=16 et n=14.) L’héliosismologie est la discipline de l'astrophysique qui étudie les modes de vibration du Soleil. C'est en 1960 que des pulsations extrêmement faibles du Soleil d'une période de ont été mises en évidence pour la première fois par Robert B. Leighton, par mesure de vitesse Doppler.
Atmosphère stellaireL’atmosphère stellaire est la région extérieure au volume d'une étoile, qui repose au-dessus du cœur solaire, de la zone de radiation et de la zone de convection. Dit autrement, on considère comme faisant partie de l'atmosphère toutes les couches au-dessus de la photosphère, la base de celle-ci étant la surface pour laquelle la profondeur optique est telle qu'une fraction importante d'un rayonnement monochromatique est absorbé sur une échelle caractéristique. redresse=1.2|vignette|Structure du Soleil en coupe.
Solar physicsSolar physics is the branch of astrophysics that specializes in the study of the Sun. It deals with detailed measurements that are possible only for our closest star. It intersects with many disciplines of pure physics, astrophysics, and computer science, including fluid dynamics, plasma physics including magnetohydrodynamics, seismology, particle physics, atomic physics, nuclear physics, stellar evolution, space physics, spectroscopy, radiative transfer, applied optics, signal processing, computer vision, computational physics, stellar physics and solar astronomy.