1945–1960 in Western fashionFashion in the years following World War II is characterized by the resurgence of haute couture after the austerity of the war years. Square shoulders and short skirts were replaced by the soft femininity of Christian Dior's "New Look" silhouette, with its sweeping longer skirts, fitted waist, and rounded shoulders, which in turn gave way to an unfitted, structural look in the later 1950s. By 1947, the Paris fashion houses had reopened, and once again Paris resumed its position as the arbiter of high fashion.
Hipster (jazz)Un hipster est, durant les années 1940-1950, un artiste bohème américain. vignette|upright|Le pianiste blanc Harry Gibson, photographié dans un club à New York avec ses musiciens en 1948 par William P. Gottlieb. Apparu dans les années 1940, le terme désignait à l'origine les amateurs de jazz et en particulier du bebop et bientôt du cool jazz (Birth of the Cool de Miles Davis en étant l'album-manifeste) : les premiers désignés sous cette appellation étaient généralement de jeunes « caucasiens » qui adoptaient le style vestimentaire « tendance » et fréquentaient des lieux où se produisaient des musiciens afro-américains ou latinos, nouvellement appréciés, et où l'on dansait.
Appropriation culturellevignette|250px|Objet phénicien reprenant des motifs égyptiens dans un but décoratif. Les hiéroglyphes du cartouche n'ont aucune signification. (, British Museum). L'appropriation culturelle désigne à l'origine l'utilisation d'éléments matériels ou immatériels d'une culture par les membres d'une autre culture, dont l'acquisition d'artefacts d'autres cultures par des musées occidentaux. Par la suite, le concept est utilisé par analogie par la critique littéraire et artistique, le plus souvent avec une connotation d'exploitation et de domination.
Regular haircutA regular haircut, in Western fashion, is a men's and boys' hairstyle that has hair long enough to comb on top, a defined or deconstructed side part, and a short, semi-short, medium, long, or extra long back and sides. The style is also known by other names including taper cut, regular taper cut, side-part and standard haircut; as well as short back and sides, business-man cut and professional cut, subject to varying national, regional, and local interpretations of the specific taper for the back and sides.
Sous-culturevignette|Groupe de personnes appartenant à la sous-culture gothique. En sociologie contemporaine, en anthropologie et dans les études culturelles (Cultural Studies), une subculture — également appelée sous-culture malgré l'éventuelle connotation péjorative de la traduction française présente dans le sens commun — est une culture (revendiquée, cachée, souterraine) partagée par un groupe d'individus, se différenciant ainsi des cultures plus largement dominantes (dites improprement « mainstream ») auxquelles ils appartiennent.
BeatnikLe mot beatnik apparaît pour la première fois le sous la plume de Herb Caen dans le journal San Francisco Chronicle, afin de dénigrer la Beat Generation et ses adeptes, quelques mois après la publication de Sur la route, le roman-manifeste du mouvement écrit par Jack Kerouac. Bien que les écrivains beat aient rejeté le terme comme étant "péjoratif", il a été adopté et largement diffusé par les médias étasuniens, qui l'ont appliqué à un stéréotype de jeunes se distinguant par leur façon de s'habiller et de se soigner, devenu à la mode, et l'ont associé à une attitude encline à la paresse, à la débauche sexuelle, à la violence, au vandalisme et aux bandes de délinquants.
BourgeoisieLa bourgeoisie est un terme faisant référence à une notion historique et sociologique. Le terme désigne tout d'abord les habitants des mais en vient, à partir du , et notamment du marxisme, à désigner une classe sociale.
Beat Generationvignette|Allen Ginsberg, Timothy Leary et John Cunningham Lilly en 1991. La Beat Generation est un mouvement littéraire et artistique né dans les années 1950 aux États-Unis. Le terme de « Beat Generation » est employé pour la première fois en 1948 par Jack Kerouac pour décrire son cercle d'amis au romancier John Clellon Holmes (qui publiera plus tard le premier roman sur la Beat Generation, intitulé Go). Holmes définit le mouvement dans un article faisant office de manifeste esthétique, publié dans le New York Times en novembre 1952 : « This is the Beat Generation ».