Coalition pan-vertevignette|Les six partis les plus importants intégrés dans la coalition pan-verte. De gauche à droite : 1er gouvernement : Parti démocrate progressiste. 2ème gouvernement : Parti de la construction de l'État de Taïwan, Union de solidarité de Taïwan et Parti Pengzhou. 3e gouvernement : Parti de la liberté de Taïwan et Association constitutionnelle de Taïwan. La Coalition pan-verte ou Force pan-verte (泛綠軍 pinyin fànlǜjūn), est une alliance politique informelle du début du à Taïwan, composée du Parti démocrate progressiste (DPP), de l'Union pour la solidarité de Taiwan (TSU), et le Parti pour l'indépendance de Taiwan (TAIP).
Taïwan sous domination japonaiseTaïwan est sous domination japonaise entre 1895 et 1945, en étant incorporé à l'empire du Japon. La monnaie utilisée durant cette période est le yen taïwanais. Guerre sino-japonaise (1894-1895) Après la défaite face à l'empire du Japon en 1895, les Qing cèdent Taïwan et les îles Pescadores au Japon à perpétuité le , selon les termes du traité de Shimonoseki. Les dispositions du traité laissent une période de grâce pour les sujets han leur permettant de vendre leurs biens et retourner sur le continent.
Un pays, deux systèmesvignette|Grande histoire, réalisations brillantes - Exposition de réalisations à grande échelle à l'occasion du 70e anniversaire de la fondation de la République populaire de Chine La formule « Un pays, deux systèmes » () discourut par Deng Xiaoping en 1997 à la Chine au sujet d'Hong Kong (souveraineté britannique). Ainsi Hong Kong avait l'autorisation d'être au sein de la Chine sans que cette dernière lui impose sa souveraineté. Hong Kong devait bénéficier de ce régime spécial jusqu'à 2047.
TaïwanTaïwan () désigne de manière usuelle la république de Chine, son nom officiel (). Elle est aussi parfois désignée en tant que république de Chine (Taïwan) ou « Taipei chinois ». Le territoire de cet État souverain de l'Asie de l'Est s'étend sur 168 îles dont la principale est Taïwan. L'île de Taïwan est partiellement conquise par les Mandchous de 1683 à 1895 sous la tutelle des Qing, puis cédée au Japon, par le traité de Shimonoseki (1895), à la suite de la première guerre sino-japonaise.