Écritures du japonaisLes types d'écritures du japonais sont composés de systèmes graphiques : kanji : un ensemble de logogrammes ou sinogrammes utilisés pendant des siècles, optionnellement annotés de translittération phonétique kana de type furigana ; kana : deux écritures syllabaires hiragana et katakana équivalentes ; rōmaji : une romanisation dans l'alphabet latin dans certains cas plus restreints. Contrairement à la langue chinoise qui connaît des tons, la langue japonaise est atone, et la compilation des kanjis donna lieu à de nombreux homophones.
Japanese script reformThe Japanese script reform is the attempt to correlate standard spoken Japanese with the written word, which began during the Meiji period. This issue is known in Japan as the national language and script problem. The reforms led to the development of the modern Japanese written language, and explain the arguments for official policies used to determine the usage and teaching of kanji rarely used in Japan.
GojūonLe gojūon (五十音) est l'alphabet de la langue japonaise qui indique l'ordre des kanas. Gojū (五十) signifie « cinquante » et « on » (音) signifie « sons ». Gojūon signifie donc « cinquante sons ». Bien que l'alphabet, sous la forme d'un tableau 5 x 10 + 1, n'en comporte que 46 encore en usage et deux non utilisés. Le gojūon contient tous les kanas de base mais n'inclut pas : les versions de kana avec un dakuten ou un handakuten tels que が ou ぱ ; les kanas miniatures tels que っ pour つ ; les kanas avec ょ, les formes yōon telles que きょ ou しゃ.
RendakuLe est un phénomène morphologique du japonais qui consiste à voiser la consonne initiale des composants non initiaux des mots composés ou préfixés. Le rendaku est un phénomène fréquent mais imprévisible en japonais moderne. Il est aussi connu sous le nom de voisement séquentiel. On peut constater le rendaku dans les exemples suivants : [hito] + [hito] > [hitobito] (« personne » + « personne » → « les gens ») ; [te] + [kami] > [tegami] (« main » + « papier » → « lettre » [message]).
Japanese dictionaryhave a history that began over 1300 years ago when Japanese Buddhist priests, who wanted to understand Chinese sutras, adapted Chinese character dictionaries. Present-day Japanese lexicographers are exploring computerized editing and electronic dictionaries. According to Nakao Keisuke (中尾啓介): It has often been said that dictionary publishing in Japan is active and prosperous, that Japanese people are well provided for with reference tools, and that lexicography here, in practice as well as in research, has produced a number of valuable reference books together with voluminous academic studies.
Méthode Hepburnvignette|alt=panneau blanc vu de trois quarts, lignes oranges, textes en noir (kanji au-dessus des rōmaji) |Un panneau de la station d' du métro de Tōkyō en kanji et en rōmaji suivant la transcription Hepburn. La est une méthode de romanisation du japonais. Elle fut introduite par le missionnaire américain James Curtis Hepburn en 1867 et elle repose sur une retranscription phonétique de la langue japonaise.
RōmajiLe terme désigne les caractères de l'alphabet latin utilisés dans le cadre de l'écriture japonaise. Ils se surajoutent aux deux syllabaires initiaux du japonais : les hiraganas et les katakanas. Wāpuro rōmaji Ils sont peu utilisés dans la langue japonaise et servent surtout à : remédier aux incompatibilités techniques, lorsque les caractères traditionnels ne sont pas disponibles (adresses Web ou courriel) ; saisir des textes à partir d'un clavier latin – QWERTY généralement – dans les logiciels de traitement de texte, et plus généralement dans les interfaces homme-machine grâce à une , par exemple « wikipedia » est transformé en ウィキペディア.
KatakanaLes sont un des deux syllabaires utilisés en japonais. Comme les hiraganas les katakanas sont des signes correspondant à des mores (i, ro, ha, ni, ho, he, to, ka, ki, ku, ke, ko, etc.). Ils sont utilisés dans le système d'écriture japonais pour transcrire les mots d'origine étrangère autres que le chinois, les noms propres étrangers (patronymes, toponymes), les noms savants normalisés ou standardisés (日本の学名 ou 和名), des espèces biologiques (animaux, végétaux, champignons et algues) et les onomatopées japonaises.