Le terme désigne les caractères de l'alphabet latin utilisés dans le cadre de l'écriture japonaise. Ils se surajoutent aux deux syllabaires initiaux du japonais : les hiraganas et les katakanas.
Wāpuro rōmaji
Ils sont peu utilisés dans la langue japonaise et servent surtout à :
remédier aux incompatibilités techniques, lorsque les caractères traditionnels ne sont pas disponibles (adresses Web ou courriel) ;
saisir des textes à partir d'un clavier latin – QWERTY généralement – dans les logiciels de traitement de texte, et plus généralement dans les interfaces homme-machine grâce à une , par exemple « wikipedia » est transformé en ウィキペディア.
transcrire des noms japonais pour les étrangers : signalisation routière, noms des gares et des stations de métro, noms et prénoms sur les passeports, l'inscription « Nippon » sur les timbres-poste, etc.
certains sigles : NHK (prononcé enuetchikē), abréviation de Nihon Hosō Kyōkai, le service public de radio et de télévision ; OL (prononcé ōeru) : Office lady, employée de bureau ; ou des composés mixtes caractère latin-sinogramme comme W杯 (prononcé wārudokappu) pour la World Cup.
en algèbre : .
En raison des usages énoncés ci-dessus, les caractères latins sont enseignés dès l'école primaire.
Plusieurs transcriptions du japonais ont été proposées. Les premières transcriptions sont conçues par les premiers missionnaires et commerçants portugais au . Ainsi, paraît vers 1591, le premier livre japonais écrit en rōmaji , livre religieux écrit par le jésuite portugais Alessandro Valignano. D'autres transcriptions sont proposées par des Français, des Italiens et des Allemands, mais seule la transcription hollandaise est présente au Japon durant les années d'isolement imposées par le shogunat d'Edo.
Lors de la période Meiji apparaissent les premières transcriptions modernes. Dès 1867, le missionnaire américain James Curtis Hepburn propose sa méthode de transcription, basée sur la phonétique du japonais et qui rencontre donc un grand succès auprès des étrangers.
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Laccent chromatique japonais est l'accent de hauteur (en japonais ) caractérisant la prononciation du japonais. L'accent chromatique est généralement important pour bien communiquer oralement, même s'il existe des différences liées aux dialectes régionaux. En outre, cet aspect du japonais est un point qui n’est que peu voire pas abordé lors de l'enseignement du japonais comme langue étrangère, de sorte à ne pas trop compliquer l'apprentissage. Le concept est différent des « tons » rencontrés dans les langues tonales telles que le chinois.
Cet article traite de la prononciation du japonais. Rappelons que le japonais possède trois systèmes d'écriture : les kanas, systèmes syllabiques, existant en deux formes : hiragana pour noter la grammaire, ou des mots très bien intégrés à la langue japonaise ; katakana pour les mots empruntés ou lorsqu'on travaille sur un support phonétique (cette page utilisera tout de même plutôt les hiragana) ; les kanjis, directement d'origine chinoise, qui peuvent avoir plusieurs prononciations en langue japonaise : la prononciation « on'yomi » (音読み, « lecture sonore »), reproduisant approximativement la prononciation chinoise du sinogramme emprunté, une ou plusieurs prononciations « kun'yomi (訓読み, « lecture sémantique »), où l'utilisation du sinogramme est sémantique : la prononciation est nativement japonaise.
La est une méthode de romanisation du japonais. Elle a été introduite par le ministère japonais de l’Éducation dans une série de circulaires de 1937 à 1954. Comme le système Nihon-shiki, elle est fondée sur une structure logique (produit cartésien de consonnes initiales et de voyelles finales), mais préfère la prononciation phonétique pour les particules enclitiques. La norme ISO 3602:1989 l’institue comme norme officielle de transcription du japonais.
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This essay examines the circulation of Japanese culture through European intellectual networks since the opening of the archipelago to the Western world in 1853. We argue firstly that the archipelago's self-imposed political distance from the Asian contine ...
This research focuses on the premise that depiction is quintessential to the conception of an architectural project. The representation also provides insights regarding how the architects design the architecture. This thesis is intended towards understandi ...