Graphe dualEn théorie des graphes, le graphe dual d'un graphe plongé dans une surface est défini à l'aide des composantes de son complémentaire, lesquelles sont reliées entre elles par les arêtes du graphe de départ. Cette notion généralise celle de dualité dans les polyèdres. Il faut noter qu'un même graphe abstrait peut avoir des graphes duaux non isomorphes en fonction du plongement choisi, même dans le cas de plongements dans le plan. Un graphe (plongé) isomorphe à son dual est dit autodual.
Alpha shapeIn computational geometry, an alpha shape, or α-shape, is a family of piecewise linear simple curves in the Euclidean plane associated with the shape of a finite set of points. They were first defined by . The alpha-shape associated with a set of points is a generalization of the concept of the convex hull, i.e. every convex hull is an alpha-shape but not every alpha shape is a convex hull.
Geometric graph theoryGeometric graph theory in the broader sense is a large and amorphous subfield of graph theory, concerned with graphs defined by geometric means. In a stricter sense, geometric graph theory studies combinatorial and geometric properties of geometric graphs, meaning graphs drawn in the Euclidean plane with possibly intersecting straight-line edges, and topological graphs, where the edges are allowed to be arbitrary continuous curves connecting the vertices; thus, it can be described as "the theory of geometric and topological graphs" (Pach 2013).
Position généraleEn géométrie algébrique et en géométrie algorithmique, une position générale est une notion de pour un ensemble d'objets géométriques (points, droites, courbes, plans, ...). C'est ce qu'on entend quand on parle du cas général, en opposition aux cas particuliers qui peuvent apparaître, auxquels cas on parlera de position spéciale. Cette expression peut changer de sens selon le contexte. Par exemple, deux droites d'un même plan, dans le cas général, se croisent en un point unique, et on dira alors : "deux droites génériques se croisent en un point", ce qui est derrière la notion de point générique.
Triangulation d'un polygoneEn géométrie algorithmique, la triangulation d'un polygone consiste à décomposer ce polygone en un ensemble (fini) de triangles. Une triangulation d'un polygone P est une partition de P en un ensemble de triangles qui ne se recouvrent pas, et dont l'union est P. Dans le cas le plus restrictif, on impose que les sommets des triangles ne soient que les sommets de P. Dans un cadre plus permissif, on peut rajouter des sommets à l'intérieur de P ou sur la frontière pour servir de sommets aux triangles.
QuadrilatèreEn géométrie plane, un quadrilatère est un polygone à quatre côtés. Les trapèzes, parallélogrammes, losanges, rectangles, carrés et cerfs-volants sont des quadrilatères particuliers. Le mot « quadrilatère » provient du latin : quatuor, quatre, et latus, lateris, côté. Le mot équivalent d'origine grecque est tétrapleure (de τεσσερα / tèssera, quatre, et πλευρά / pleura, côté) ou tétragone (de γωνία / gônia, angle). Le mot tétragone était employé par Gerbert d'Aurillac au et par Oresme au .