Les points de suspension sont représentés par trois points alignés horizontalement au niveau de la ligne de base d’écriture : classiquement par la suite de trois fois le caractère « point » ou par le caractère unique « points de suspension » .
Selon l’usage en français et espagnol, , les trois points se suivent sans espace afin de former les points de suspension d’une largeur théorique d’un cadratin. Parfois en anglais, les trois points sont séparés à l’aide d’une espace insécable : . Le caractère unique ne correspond parfois pas à l’usage dans une langue ou dans un contexte selon la police de caractère utilisée.
Les points de suspension peuvent marquer la fin d’un énoncé alors que la phrase n’est pas complète ; cela indique au lecteur que la phrase précédente aurait pu être poursuivie. La phrase précédente peut même être grammaticalement incorrecte.
Ils peuvent aussi être utilisés :
comme un procédé rhétorique laissant la fin de la phrase en sous-entendu ;
comme une figure de style indiquant une rupture ou une suspension du discours appelée aposiopèse ;
comme une figure de style marquant une omission volontaire à fins de raccourci appelée ellipse ;
dans un discours rapporté :
lorsqu’une phrase est interrompue, par exemple par l’intervention d’une autre personne,
pour représenter l’hésitation,
pour représenter des grossièretés que l’on ne souhaite pas écrire explicitement ;
sollicitation de l’imagination du lecteur ;
à la fin de listes non exhaustives : « ... » a la même valeur que « , etc. » (« etc... » est une forme erronée, bien que répandue) ;
pour signaler l’absence de réponse ou de commentaire ;
pour représenter le silence.
Pour indiquer un passage coupé dans une citation, on emploie les points de suspension entre crochets, « [...] », ou entre parenthèses, « (...) » : le Lexique des règles typographiques en usage à l'Imprimerie nationale, préconise l’usage des crochets en précisant qu’il n’y a pas d’espace entre les crochets et le signe de ponctuation « [...] », mais plusieurs autres guides invitent à utiliser les parenthèses.
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Couvre les techniques de génération de rythme, y compris les modèles Markov et la génération de rythme hiérarchique, en mettant l'accent sur l'étude de Nancarrow 14.
Le point médian, ou point milieu, est un signe typographique « · » semblable au point mais placé au-dessus de la ligne de base. Les usages les plus anciens remontent à l’épigraphie : il a servi, dans nombre d'écritures antiques, à séparer les mots. En latin et en grec, son utilisation, bien que fréquente, n’a jamais été systématique, et on a le plus souvent cantonné ce point séparateur de mots aux inscriptions en capitales. Voici un exemple : el (en grec : « lave tes péchés non seulement le visage », palindrome que l’on peut rencontrer sur des fonts baptismaux).
Les points de suspension sont représentés par trois points alignés horizontalement au niveau de la ligne de base d’écriture : classiquement par la suite de trois fois le caractère « point » ou par le caractère unique « points de suspension » . Selon l’usage en français et espagnol, , les trois points se suivent sans espace afin de former les points de suspension d’une largeur théorique d’un cadratin. Parfois en anglais, les trois points sont séparés à l’aide d’une espace insécable : .
A bracket, as used in British English, is either of two tall fore- or back-facing punctuation marks commonly used to isolate a segment of text or data from its surroundings. Typically deployed in symmetric pairs, an individual bracket may be identified as a 'left' or 'right' bracket or, alternatively, an "opening bracket" or "closing bracket", respectively, depending on the directionality of the context. There are four primary types of brackets.