vignette|Vue d'artiste de la planète (Osiris), un Jupiter chaud bien connu.
vignette|Vue d'artiste de la planète Jupiter chaud de HD 188753
Un Jupiter chaud ou une Jupiter chaude (en anglais : hot Jupiter), aussi nommé quoique rarement planète jovienne épistellaire (epistellar jovian planet) ou pégaside (pegasid), est une planète géante gazeuse de masse comparable ou supérieure à celle de Jupiter () dont la température est supérieure à (~). Lorsque la température dépasse localement , on parle alors de .
Ces caractéristiques font de ces planètes les astres les plus simples à détecter par la méthode des vitesses radiales, dans la mesure où leur proximité à leur étoile confère à celle-ci des oscillations radiales rapides faciles à suivre depuis la Terre.
L'une des exoplanètes de type Jupiter chaud les plus connues est , première exoplanète découverte autour d'une étoile semblable au Soleil. en est une autre, connue pour perdre de de tonnes d'hydrogène par seconde sous l'effet de l'intense vent stellaire de son étoile au niveau de son orbite de de rayon.
Ces planètes appartiennent généralement à la de la classification de Sudarsky, bien que leur composition puisse s'écarter sensiblement du paradigme — par exemple à l'instar de , dont la nature chimique est proche de celle d'une planète carbonée.
vignette|right|Jupiter chauds découverts en date du : le graphique illustre la distribution des masses des planètes versus le grand axe, en échelle logarithmique
L'existence de planètes de type Jupiter chaud et leur détection par la méthode spectroscopique des vitesses radiales ont été suggérées, dès 1952, par l'astronome russo-américain Otto Struve (1897-1963).
En 1995, le Jupiter chaud est la première exoplanète découverte autour d'une étoile semblable au Soleil.
En 2001, la première détection d’une atmosphère d’exoplanète est celle du Jupiter chaud HD 209458 b
On y a même détecté des vents de 3 km/s.
Atmosphère de HD 209458 b
Les exoplanètes de type Jupiter chaud possèdent un certain nombre de caractéristiques communes.
Cette page est générée automatiquement et peut contenir des informations qui ne sont pas correctes, complètes, à jour ou pertinentes par rapport à votre recherche. Il en va de même pour toutes les autres pages de ce site. Veillez à vérifier les informations auprès des sources officielles de l'EPFL.
vignette|Vue d'artiste de la planète (Osiris), un Jupiter chaud bien connu. vignette|Vue d'artiste de la planète Jupiter chaud de HD 188753 Un Jupiter chaud ou une Jupiter chaude (en anglais : hot Jupiter), aussi nommé quoique rarement planète jovienne épistellaire (epistellar jovian planet) ou pégaside (pegasid), est une planète géante gazeuse de masse comparable ou supérieure à celle de Jupiter () dont la température est supérieure à (~). Lorsque la température dépasse localement , on parle alors de .
thumb|upright=1.6|Illustration de la taille de la super-terre GJ 1214 b (au centre) en comparaison avec la Terre et Neptune. Une super-Terre, super-terre ou superterre est une exoplanète ayant une masse comprise entre celle de la Terre et celle d'une planète géante, avec une limite supérieure de dix fois la masse de la Terre, la limite inférieure variant entre un et cinq fois la masse de la Terre selon les sources.
En astronomie, la recherche des exoplanètes fait appel à plusieurs méthodes de détection. La majorité de ces méthodes sont à l'heure actuelle indirectes, puisque la proximité de ces planètes avec leur étoile est si grande que leur lumière est complètement noyée dans celle de l'étoile. Méthode des vitesses radiales La méthode des vitesses radiales est la méthode qui a permis aux astronomes suisses Michel Mayor et Didier Queloz de détecter la première exoplanète autour de l'étoile 51 Peg.
Couvre des sujets de physique avancée liés aux forces gravitationnelles et les contributions de Johannes Kepler à la compréhension du mouvement planétaire.