Concepts associés (19)
Super-Terre
thumb|upright=1.6|Illustration de la taille de la super-terre GJ 1214 b (au centre) en comparaison avec la Terre et Neptune. Une super-Terre, super-terre ou superterre est une exoplanète ayant une masse comprise entre celle de la Terre et celle d'une planète géante, avec une limite supérieure de dix fois la masse de la Terre, la limite inférieure variant entre un et cinq fois la masse de la Terre selon les sources.
Méthodes de détection des exoplanètes
En astronomie, la recherche des exoplanètes fait appel à plusieurs méthodes de détection. La majorité de ces méthodes sont à l'heure actuelle indirectes, puisque la proximité de ces planètes avec leur étoile est si grande que leur lumière est complètement noyée dans celle de l'étoile. Méthode des vitesses radiales La méthode des vitesses radiales est la méthode qui a permis aux astronomes suisses Michel Mayor et Didier Queloz de détecter la première exoplanète autour de l'étoile 51 Peg.
Zone habitable
300px|vignette|Exemple d’étude basée sur la luminosité d’une étoile pour la prédiction de l'emplacement de la zone habitable autour de différents types d'étoiles (échelle non respectée) Une zone habitable ou ZH est, en astronomie et en exobiologie, une région de l'espace où les conditions sont favorables à l'apparition de la vie telle que nous la connaissons sur Terre. Il existe deux types de régions qui peuvent être conjointement favorables, l'une au niveau d'un système planétaire, l'autre au niveau d'une galaxie.
Méthode des vitesses radiales
La méthode des vitesses radiales, également appelée spectroscopie Doppler, vélocimétrie Doppler ou encore spectrovélocimétrie, est une méthode spectroscopique utilisée pour mesurer la vitesse relative d'objets, le long de l'axe de visée. Elle complète les mesures astrométriques (dans le plan du ciel) en donnant la troisième composante de la vitesse. Aujourd'hui, cette technique est notamment utilisée dans la recherche d'exoplanètes, où la précision de cette technique est poussée à l'extrême : la précision aujourd'hui atteinte est de l'ordre du mètre par seconde, voire moins, pour des instruments tels que HARPS.
Mouvement prograde ou rétrograde
vignette|Le satellite (rouge) est rétrograde car il orbite dans la direction opposée à la rotation de sa planète (bleu/noir). vignette|Dans cette animation, le satellite orange décrit un mouvement rétrograde autour de sa planète, contrairement aux trois autres.
Masse jovienne
En astronomie, la masse jovienne (M, M ou encore M) est une unité de masse couramment employée pour exprimer la masse des objets substellaires, notamment des exoplanètes géantes gazeuses et des naines brunes. Elle représente la masse de la planète Jupiter, qui vaut , soit (M) ou (M). En , la générale de l'Union astronomique internationale a défini la « masse jovienne nominale », une valeur devant rester constante quelles que soient les améliorations ultérieures de la précision des mesures de M.
Planète géante de glaces
vignette|upright=1.5|Uranus et Neptune, les géantes de glaces du système solaire. Les géantes de glaces, parfois appelée planète géante glacée ou planète sous-géante, ou encore, d'après le nom des deux exemples présent dans notre système solaire, un(e) Uranus ou un(e) Neptune (le second étant plus couramment utilisé), sont une sous-classe de planètes géantes qui ne sont pas principalement composées d'hydrogène et d'hélium, mais plutôt d'éléments volatils tels le méthane, l'ammoniac et l'eau.
Formation et évolution du Système solaire
vignette|Disque protoplanétaire de HL Tauri (image réalisée par l'Atacama Large Millimeter Array). La formation et l'évolution du Système solaire, le système planétaire qui abrite la Terre, sont déterminées par un modèle aujourd'hui très largement accepté et connu sous le nom d'« hypothèse de la nébuleuse solaire ». Ce modèle a été développé au par Emanuel Swedenborg, Emmanuel Kant et Pierre-Simon de Laplace. Les développements consécutifs à cette hypothèse ont fait intervenir une grande variété de disciplines scientifiques comprenant l'astronomie, la physique, la géologie et la planétologie.
Migration planétaire
Une migration planétaire, ou migration orbitale, a lieu lorsqu'une planète interagit avec le disque de gaz ou les planétoïdes en orbite autour d'une étoile. Cette interaction résulte en une modification des paramètres orbitaux de l'objet, en particulier de son demi-grand axe. Le phénomène de la migration planétaire est l'explication la plus commune apportée à l'existence des Jupiters chauds, des planètes extrasolaires d'une masse jovienne mais d'une période orbitale de quelques jours seulement.
Lune extrasolaire
vignette|Vue d'artiste depuis une exolune. Sa planète hôte ainsi que son étoile sont visibles. vignette|Vue de Pandora et Polyphème de l'univers d'Avatar. Une lune extrasolaire, exolune, un satellite extrasolaire, ou encore un exosatellite, est un satellite naturel qui orbite autour d’une exoplanète ou d'un autre corps extrasolaire plus grand que lui. Bien qu'aucun objet de ce type n’ait encore été formellement découvert, il est raisonnable de penser que leur existence est très probable et qu'ils existent en très grand nombre, d'après l'étude empirique des satellites naturels de notre Système solaire ; quelques candidats sont déjà suspectés d'être des exolunes.

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