In common usage, evaluation is a systematic determination and assessment of a subject's merit, worth and significance, using criteria governed by a set of standards. It can assist an organization, program, design, project or any other intervention or initiative to assess any aim, realisable concept/proposal, or any alternative, to help in decision-making; or to ascertain the degree of achievement or value in regard to the aim and objectives and results of any such action that has been completed.
Impact evaluation assesses the changes that can be attributed to a particular intervention, such as a project, program or policy, both the intended ones, as well as ideally the unintended ones. In contrast to outcome monitoring, which examines whether targets have been achieved, impact evaluation is structured to answer the question: how would outcomes such as participants' well-being have changed if the intervention had not been undertaken? This involves counterfactual analysis, that is, "a comparison between what actually happened and what would have happened in the absence of the intervention.
La Mission d'évaluation des politiques publiques (MEPP) est un service rattaché à la Direction générale de la modernisation de l'État, placé sous l'autorité fonctionnelle du cabinet du Ministère du Budget, des Comptes publics, de la Fonction publique et de la Réforme de l'État et chargé de piloter les structures d'évaluation interne de l'administration. La Mission d’évaluation des politiques publiques doit supporter à l’échelle interministérielle la gouvernance de l'évaluation et la coordination des Comités ministériels d’évaluation (CME).
L'analyse du cycle de vie (ACV) est une méthode d'évaluation normalisée (ISO 14040 et 14044) permettant de réaliser un bilan environnemental multicritère et multi-étape d'un système (produit, service, entreprise ou procédé) sur l'ensemble de son cycle de vie. Son but est de connaître et pouvoir comparer les impacts environnementaux d'un système tout au long de son cycle de vie, de l'extraction des matières premières nécessaires à sa fabrication à son traitement en fin de vie (mise en décharge, recyclage...
Les concepts d’évaluation formative et sommative ont été apportés par Michael Scriven en 1967, dans le contexte de l’évaluation de programmes éducatifs (curriculum evaluation). Pour Scriven, une évaluation formative devait permettre à un établissement scolaire d’estimer la capacité de ses programmes scolaires à atteindre leurs objectifs, de façon à guider les choix de l’école pour les améliorer progressivement, au contraire d’une évaluation sommative qui cherche à poser un jugement final sur les programmes : « marchent-ils » ou pas ? Et en conséquence, faut-il les maintenir, les étendre ou les abandonner ? Benjamin Bloom reprend dans les années suivantes cette distinction pour l’appliquer au processus d’apprentissage, notamment dans son ouvrage Handbook on formative and summative evaluation of student learning.