Site actifLe site actif désigne en catalyse la partie du catalyseur qui va interagir avec le(s) substrat(s) pour former le(s) produit(s). Cette notion concerne tous les types de catalyseurs, mais on l'associe généralement aux enzymes. Le site actif des catalyseurs fait l'objet d'études poussées dans le cadre de la recherche de nouveaux catalyseurs et de l'étude des mécanismes réactionnels en biochimie.. Or, si la structure du site actif est modifié, la catalyse ne peut avoir lieu.
Spectroscopie RMNvignette|redresse|Spectromètre RMN avec passeur automatique d'échantillons utilisé en chimie organique pour la détermination des structures chimiques. vignette|redresse|Animation présentant le principe de la Résonance Magnétique Nucléaire (RMN). La spectroscopie RMN est une technique qui exploite les propriétés magnétiques de certains noyaux atomiques. Elle est basée sur le phénomène de résonance magnétique nucléaire (RMN), utilisé également en sous le nom d’.
Réaction de Borodine-HunsdieckerLa réaction de Borodine-Hunsdiecker est une réaction chimique qui implique que les sels d'argent d'un acide carboxylique réagissent avec des halogènes pour former un intermédiaire instable qui subit ensuite une décarboxylation thermique conduisant à la formation d'un halogénure d'alkyle. 750px|centre|Méchanisme de la réaction de Borodine-Hunsdiecker Le compositeur et chimiste russe Alexandre Borodine fut le premier à écrire et publier une démonstration de ce type de réaction, en 1861, alors qu'il travaillait au côté de Dmitri Mendeleïev et de Nicolaï Zinine.
Anhydrase carboniqueL'anhydrase carbonique est une enzyme présente à la surface plasmique intracellulaire (liée à l'échangeur anionique AE1 Cl/HCO3) des globules rouges (ou hématies ou encore érythrocytes) qui transforme le en et inversement. La plupart des anhydrases carboniques contiennent un atome de zinc. C'est une des enzymes les plus rapides connues. Équation : + − + . Dans les reins, elle sert à libérer les protons . Dans les os compacts, l'anhydrase carbonique permet de maintenir les lacunes de Howship dans un milieu acide (pH=4,5) grâce à un apport en H+ Catégorie:EC 4.
Dodécacarbonyle de triosmiumLe dodécacarbonyle de triosmium, souvent appelé triosmium dodécacarbonyle par anglicisme, est un composé chimique de formule . Il s'agit d'un carbonyle de métal, constitué de carbonyle CO et de trois atomes d'osmium Os formant un complexe appartenant au groupe de symétrie D3h, dans lequel les trois centres Os forment un triangle équilatéral portant chacun deux ligands CO axiaux et deux ligands CO équatoriaux. Il possède la même structure que le dodécacarbonyle de triruthénium , tandis que le dodécacarbonyle de trifer appartient au groupe de symétrie C2v en raison de ses deux ligands pontants CO.
Isolobal principleIn organometallic chemistry, the isolobal principle (more formally known as the isolobal analogy) is a strategy used to relate the structure of organic and inorganic molecular fragments in order to predict bonding properties of organometallic compounds. Roald Hoffmann described molecular fragments as isolobal "if the number, symmetry properties, approximate energy and shape of the frontier orbitals and the number of electrons in them are similar – not identical, but similar.
Acide maloniqueL'acide malonique est un diacide carboxylique aliphatique de formule HOOC-CH-COOH. Ce composé organique dénommé également acide propanedioïque a été découvert et identifié en 1858 à partir de produits d'oxydation de jus de pommes. Il se présente sous forme de poudre cristalline blanche, sans odeur, mais avec une forte tension de vapeur à température ambiante. Ces dérivés sont des intermédiaires de synthèse industrielle pour la condensation de Knoevenagel ou de Döbner-Knoevenagel, dont on peut découvrir un exemple avec l'acide cinnamique.
LawrenciumLe lawrencium est un élément chimique, de symbole Lr (anciennement Lw jusqu'en 1963) et de numéro atomique 103. Produit artificiellement en 1961 par Albert Ghiorso, Torbjørn Sikkeland, Almon E. Larsh et Robert M. Latimer (États-Unis), il porte le nom d'Ernest Orlando Lawrence, qui découvrit le principe du cyclotron en 1929. Son point de fusion prédit est d'environ .