Tissu conjonctifvignette|Section de l'épididyme. Le tissu conjonctif (en bleu) soutenant l'épithélium (en violet). Le tissu conjonctif (TC) est l'un des quatre types de tissus biologiques du règne animal qui soutient, lie, ou distingue différents types de tissus et d'organes du corps. Il tient son origine dans le mésoderme, au moment de la gastrulation, lors du développement embryonnaire. Les trois autres types de tissus sont l'épithélium, le tissu musculaire et le tissu nerveux.
Chronic liver diseaseChronic liver disease in the clinical context is a disease process of the liver that involves a process of progressive destruction and regeneration of the liver parenchyma leading to fibrosis and cirrhosis. "Chronic liver disease" refers to disease of the liver which lasts over a period of six months. It consists of a wide range of liver pathologies which include inflammation (chronic hepatitis), liver cirrhosis, and hepatocellular carcinoma. The entire spectrum need not be experienced.
Adipocytevignette|Adipocytes humains visualisés sur coupe de paraffine Les adipocytes sont des cellules animales présentes dans les tissus adipeux, et spécialisées dans le stockage des lipides (matière grasse). Les adipocytes constituent une partie des réserves d'énergie des organismes animaux. Ils stockent les lipides jusqu’à une taille cellulaire critique située entre 50 et 150 μm. Au-delà de cette taille maximale, l’adipocyte, ne pouvant plus stocker de graisses, . Il existe deux types d'adipocyte, ceux de la graisse blanche et ceux de la graisse brune.
Stéatose hépatiqueLa stéatose hépatique est une lésion du foie correspondant à la surcharge de graisse dans le cytoplasme des hépatocytes. La prévalence de la stéatose hépatique est estimée entre 20 % et 30 % dans les pays développés. Il s'agit donc d'une pathologie extrêmement fréquente. Sa prévalence tend de plus à augmenter parallèlement à l'accroissement de la population obèse ou diabétique. La stéatose est définie comme l'accumulation de matériel lipidique au sein du cytoplasme des hépatocytes.
Cellule souche embryonnaireUne cellule souche embryonnaire (CSE) est une cellule souche pluripotente issue de la masse cellulaire interne ou de l'épiblaste d’un embryon préimplantatoire au stade de blastocyste. Un embryon humain atteint le stade de blastocyste 4 à 5 jours après la fécondation et consiste en un amas de 50 à 150 cellules (masse cellulaire interne et trophectoderme). L'isolation de la masse cellulaire interne requiert de détruire le blastocyste. Les cellules souches embryonnaires sont une source quasi parfaite pour les greffes et l'ingénierie tissulaire.
Stéatohépatite non alcooliqueLa stéatohépatite non alcoolique (ou NASH, de son acronyme anglophone en et par raccourci médiatique, maladie du soda) également appelée maladie du foie gras est une surcharge en graisse du foie (stéatose hépatique) sans rapport avec la prise d'alcool. C’est une maladie le plus souvent asymptomatique, mais dont la prévalence est actuellement en augmentation en raison de la double épidémie mondiale de diabète de type 2 et d'obésité.
Embryonthumb|upright|Embryon dans un œuf de Petite roussette (Scyliorhinus canicula). thumb|Embryon de souris commune. Un embryon (du grec ancien / émbruon) est un organisme en développement depuis la première division de l'œuf ou zygote jusqu'au stade où les principaux organes sont formés. L'embryologie est l'étude de la croissance d'un organisme durant toute la gestation, c'est-à-dire à la fois pendant la période embryonnaire et la période fœtale. alt=Un embryon humain âgé d'environ 7 semaines|thumb|upright|Un embryon humain âgé d'environ 7 semaines.
HoméostasieEn biologie et en systémique, l’homéostasie est un phénomène par lequel un facteur clé (par exemple, la température) est maintenu autour d'une valeur bénéfique pour le système considéré, grâce à un processus de régulation. Des exemples typiques d'homéostasie sont : la température d'une pièce grâce à un thermostat, la température du corps d'un animal homéotherme, le taux de sucre sanguin, le degré d'acidité d'un milieu, la pression interne d'un milieu, etc.
Récepteur NMDAthumb|Représentation schématique d'un récepteur NMDA activé. Le glutamate et la glycine occupent leurs sites de liaison. S'il était occupé, le site allostérique causerait l'inactivation du récepteur. Les récepteurs NMDA requièrent la liaison de deux molécules de glutamate ou d'aspartate et deux de glycine. thumb|Structure de la molécule de NMDA. Les récepteurs NMDA (récepteur au N-méthyl-D-aspartate) sont des récepteurs ionotropes activés dans des conditions physiologiques par le glutamate et la glycine qui sont essentiels à la mémoire et à la plasticité synaptique.
Récepteur (biochimie)En biochimie, un récepteur est une protéine de la membrane cellulaire ou du cytoplasme ou du noyau cellulaire qui se lie spécifiquement à un facteur spécifique (un ligand, tels un neurotransmetteur, une hormone, une molécule médicamenteuse, une toxine, un ion calcium, ou une protéine spécifique de la membrane d'un virus...), induisant une réponse cellulaire à ce ligand. Les modifications du comportement du récepteur protéique induites par le ligand conduisent à des modifications physiologiques qui constituent les « effets biologiques » du ligand.