Code automodifiableUn code automodifiable est, en programmation informatique, un programme qui peut se modifier lui-même, c’est-à-dire appeler des routines, fonctions ou méthodes qui seront créées par le programme lui-même. En dehors de l'idée, qui relève pour le moment de la fiction, d'un robot qui modifierait lui-même sa finalité, l'utilisation la plus courante du code automodifiable est l'optimisation de la vitesse d'exécution d'un programme : par exemple un interpréteur peut analyser le code source qu'il est en train d'exécuter, se rendre compte qu'une fonction est appelée fréquemment, et en réaliser à la volée une version compilée, qui sera exécutée plus rapidement.
Génération de code natifLa génération de code natif est l'étape du processus de compilation transformant l'arbre syntaxique abstrait enrichi d'informations sémantiques en code machine ou en bytecode spécialisé pour la plateforme cible. C'est l'avant-dernière étape du processus de compilation qui se situe avant l'édition des liens. La phase de génération de code natif inclut généralement : Le choix des instructions à émettre ; L'ordonnancement des instructions : dans quel ordre émettre les instructions.
Automatic programmingIn computer science, automatic programming is a type of computer programming in which some mechanism generates a computer program to allow human programmers to write the code at a higher abstraction level. There has been little agreement on the precise definition of automatic programming, mostly because its meaning has changed over time. David Parnas, tracing the history of "automatic programming" in published research, noted that in the 1940s it described automation of the manual process of punching paper tape.
Third-generation programming languageA third-generation programming language (3GL) is a high-level computer programming language that tends to be more machine-independent and programmer-friendly than the machine code of the first-generation and assembly languages of the second-generation, while having a less specific focus to the fourth and fifth generations. Examples of common and historical third-generation programming languages are ALGOL, BASIC, C, COBOL, Fortran, Java, and Pascal. 3GLs are much more machine-independent and more programmer-friendly.
Langage de programmation de quatrième générationLes langages de programmation de quatrième génération (L4G) (4GL en anglais) sont un type de langage de programmation apparu en 1980, proche des langues naturelles, qui permet d'écrire plus de choses avec moins de lignes de programmes et moins d'erreurs. Ces langages permettent de décrire certaines opérations de manière non procédurale et permettent d'obtenir rapidement des résultats à partir de courts programmes. Il n'existe pas de distinction formelle entre les et générations de langages de programmation.
Second-generation programming languageThe label of second-generation programming language (2GL) is a generational way to categorize assembly languages. The term was coined to provide a distinction from higher level machine independent third-generation programming languages (3GLs) (such as COBOL, C, or JavaScript) and earlier first-generation programming languages (machine code) Second-generation programming languages have the following properties: Lines within a program correspond directly to processor commands, essentially acting as a mnemonic device overlaying a first generation programming language.
First-generation programming languageA first-generation programming language (1GL) is a machine-level programming language. A first generation (programming) language (1GL) is a grouping of programming languages that are machine level languages used to program first-generation computers. Originally, no translator was used to compile or assemble the first-generation language. The first-generation programming instructions were entered through the front panel switches of the computer system. The instructions in 1GL are made of binary numbers, represented by 1s and 0s.
Calcul distribuéUn calcul distribué, ou réparti ou encore partagé, est un calcul ou un traitement réparti sur plusieurs microprocesseurs et plus généralement sur plusieurs unités centrales informatiques, et on parle alors d'architecture distribuée ou de système distribué. Le calcul distribué est souvent réalisé sur des clusters de calcul spécialisés, mais peut aussi être réalisé sur des stations informatiques individuelles à plusieurs cœurs. La distribution d'un calcul est un domaine de recherche des sciences mathématiques et informatiques.
Error correction codeIn computing, telecommunication, information theory, and coding theory, forward error correction (FEC) or channel coding is a technique used for controlling errors in data transmission over unreliable or noisy communication channels. The central idea is that the sender encodes the message in a redundant way, most often by using an error correction code or error correcting code (ECC). The redundancy allows the receiver not only to detect errors that may occur anywhere in the message, but often to correct a limited number of errors.
Programme informatiqueUn programme informatique est un ensemble d'instructions et d’opérations destinées à être exécutées par un ordinateur. Un programme source est un code écrit par un informaticien dans un langage de programmation. Il peut être compilé vers une forme binaire ou directement interprété. Un programme binaire décrit les instructions à exécuter par un microprocesseur sous forme numérique. Ces instructions définissent un langage machine.