Espèce clé de voûteUne espèce clé de voûte est « une espèce qui a un effet important et disproportionné par rapport à son abondance » sur la stabilité et la diversité spécifique d'une communauté. La caractère clé de voûte d'une espèce n'est pas intrinsèque. En effet, le rôle d'une espèce au sein d'une communauté dépend des conditions biotiques et abiotiques du milieu dans lequel elle se trouve. Ce concept a été introduit pour la première fois par R. T. Paine dans son article « A note on trophic Complexity and Community stability », publié en 1969.
Landscape connectivityIn landscape ecology, landscape connectivity is, broadly, "the degree to which the landscape facilitates or impedes movement among resource patches". Alternatively, connectivity may be a continuous property of the landscape and independent of patches and paths. Connectivity includes both structural connectivity (the physical arrangements of disturbance and/or patches) and functional connectivity (the movement of individuals across contours of disturbance and/or among patches).
DefaunationDefaunation is the global, local, or functional extinction of animal populations or species from ecological communities. The growth of the human population, combined with advances in harvesting technologies, has led to more intense and efficient exploitation of the environment. This has resulted in the depletion of large vertebrates from ecological communities, creating what has been termed "empty forest". Defaunation differs from extinction; it includes both the disappearance of species and declines in abundance.
Dynamique des populationsLa dynamique des populations est une branche de l'écologie qui s’intéresse à la fluctuation dans le temps du nombre d'individus au sein d'une population d’êtres vivants. Elle a également pour but de comprendre les influences environnementales sur les effectifs des populations. La structuration de la population par âge, poids, l'environnement, la biologie des groupes, et les processus qui influent sur ces changements font également partie de son champ d'étude.
Espèce parapluiethumb|upright=1.3|Protéger le tigre, c'est protéger tout un cortège de biodiversité associée : des proies, des charognards, des commensaux, des décomposeurs et surtout de vastes habitats naturels comme des forêts où des marais. Ainsi les nombreuses réserves de tigres en Inde comptent parmi les principaux et derniers refuges de vie sauvage dans ce pays densément peuplé et anthropisé. Une espèce parapluie ou espèce paravent (umbrella species, en anglais) est, en écologie, une espèce dont l'étendue du territoire ou de la niche écologique permet la protection d'un grand nombre d'autres espèces si celle-ci est protégée.
Espèce envahissantevignette|Renouée du Japon et autres plantes exotiques envahissantes qui affectent les écosystèmes indigènes. thumb| Miconia calvescens, originaire d'Amérique centrale est pointée dans l'accélération de l'érosion de la biodiversité d'archipels du Pacifique comme Hawaii. thumb|En Europe, les (Trachemys spp.) et autres émydidées nord-américaines relâchées par leurs propriétaires dans la nature pourraient concurrencer les espèces natives comme la cistude.
Croissance économiquethumb|upright=2|Contribution (en %) de la croissance des pays à celle mondiale (2011). La croissance économique désigne la variation positive de la production de biens et de services dans une économie sur une période donnée, généralement une longue période. En pratique, l'indicateur le plus utilisé pour la mesurer est le produit intérieur brut (PIB). Il est mesuré « en volume » ou « à prix constants » pour corriger les effets de l'inflation. Le taux de croissance, lui, est le taux de variation du PIB.
Démécologiethumb|350px|Groupes familiaux d'éléphants, au sein d'une population régionale thumb|350px|Un groupe de « populations » constitue une métapopulation. Les populations d'animaux, plantes, champignons, microbes... contribuent au fonctionnement des écosystèmes, qui eux-mêmes forment des biomes et la biosphère ou symbiosphère (expression de Joël de Rosnay est le niveau planétaire d'intégration de toutes les échelles du Vivant (du gène à la somme des biomes (sans laquelle l'oxygène et donc la couche d'ozone n'existeraient pas) ; Le gène est représenté à part, car non vivant en tant que tel, mais support d'information et base du vivant.
Génétique des populationsLa génétique des populations (GDP) est l'étude de la distribution et des changements de la fréquence des versions d'un gène (allèles) dans les populations d'êtres vivants, sous l'influence des « pressions évolutives » (sélection naturelle, dérive génétique, recombinaison, mutation, et migration). Les changements de fréquence des allèles sont un aspect majeur de l'évolution, la fixation de certains allèles conduit à une modification génétique de la population, et l'accumulation de tels changements dans différentes populations peut conduire au processus de spéciation.
Ecological extinctionEcological extinction is "the reduction of a species to such low abundance that, although it is still present in the community, it no longer interacts significantly with other species". Ecological extinction stands out because it is the interaction ecology of a species that is important for conservation work. They state that "unless the species interacts significantly with other species in the community (e.g. it is an important predator, competitor, symbiont, mutualist, or prey) its loss may result in little to no adjustment to the abundance and population structure of other species".