Greenhouse gas monitoringGreenhouse gas monitoring is the direct measurement of greenhouse gas emissions and levels. There are several different methods of measuring carbon dioxide concentrations in the atmosphere, including infrared analyzing and manometry. Methane and nitrous oxide are measured by other instruments. Greenhouse gases are measured from space such as by the Orbiting Carbon Observatory and networks of ground stations such as the Integrated Carbon Observation System.
Cloud albedoCloud albedo is a measure of the albedo or reflectivity of a cloud. Clouds regulate the amount of solar radiation absorbed by a planet and its solar surface irradiance. Generally, increased cloud cover correlates to a higher albedo and a lower absorption of solar energy. Cloud albedo strongly influences the Earth's energy budget, accounting for approximately half of Earth's albedo. Cloud albedo depends on the total mass of water, the size and shape of the droplets or particles and their distribution in space.
Methane emissionsIncreasing methane emissions are a major contributor to the rising concentration of greenhouse gases in Earth's atmosphere, and are responsible for up to one-third of near-term global heating. During 2019, about 60% (360 million tons) of methane released globally was from human activities, while natural sources contributed about 40% (230 million tons). Reducing methane emissions by capturing and utilizing the gas can produce simultaneous environmental and economic benefits.
Assombrissement globalL’assombrissement global ou obscurcissement planétaire est une réduction graduelle, depuis le début des années 1950, de l’intensité lumineuse de la lumière diurne qui atteint la surface terrestre. Cet effet a été mis en évidence, entre autres par Gerry Stanhill, un chercheur anglais installé en Israël, qui a comparé l’intensité des rayonnements solaires depuis les années 1950 jusqu’aux années 1980. L’assombrissement global crée un effet refroidissant qui a peut-être amené les scientifiques à sous-estimer l’effet de serre sur le réchauffement climatique.
Tropopausethumb|Température de l'atmosphère (en °C) en fonction de l'altitude (en km). La tropopause est une zone de l'atmosphère terrestre qui fait la transition entre la troposphère (au-dessous) et la stratosphère (au-dessus). Elle se situe à une altitude qui diminue avec la latitude depuis environ à l'équateur jusqu'à ~ aux pôles, mais qui varie aussi en fonction des saisons. Il s'agit d'une couche atmosphérique plus ou moins épaisse, où la température est stable alors qu'on observe une décroissance dans l'atmosphère à partir du sol et une augmentation par la suite dans la stratosphère à cause de l'absorption des rayons ultraviolets par l'ozone.
Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climatLe Groupe d'experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC, ou IPCC pour l'anglais Intergovernmental panel on climate change) est un organisme intergouvernemental chargé d'évaluer l'ampleur, les causes et les conséquences du changement climatique en cours. Créé en 1988 sous l'égide de l'Organisation météorologique mondiale (OMM) et du Programme des Nations unies pour l'environnement (PNUE) à la suite d'une initiative politique internationale, le GIEC est ouvert à tous les pays membres de l'Organisation des Nations unies.
Brume sècheLa brume sèche est une réduction de la visibilité par des particules hygroscopiques microscopiques suspendues dans l'air et qui donnent une visibilité réduite dans de l'air non saturé de vapeur d'eau. Elle se distingue du brouillard par sa teinte bleuâtre ou jaunâtre. Elle se différencie de la brume de poussière en ce qu'elle ne laisse pas de dépôt visible au sol (la brume de poussière est définie comme étant ).
Cristal de glacevignette|Photo macroscopique d'un cristal de glace. Un cristal de glace est une forme spatialement plus ou moins fractalement organisée de molécules d'eau en glace, avec comme base la symétrie hexagonale. Il résulte de la cristallisation progressive de la vapeur d'eau contenue dans l'air sans passer par la phase liquide, sur un prisme hexagonal initial. La variabilité des formes hautement symétriques obtenues est conditionnée par la température et l'humidité de l'environnement : ce sont des colonnes, des aiguilles, des plaques et des dendrites.
Géoingénierie solairevignette|Proposition de gestion des radiations solaires par diffusion de sulfate sous forme d'aérosol dans la stratosphère. vignette|Injection de particules stratosphériques par dirigeable. La géoingénierie solaire ou gestion du rayonnement solaire, est un type de géoingénierie, très hypothétique et contestée, dans lequel le rayonnement solaire est réfléchi dans l'espace pour limiter le réchauffement climatique. La méthode la plus discutée est la diffusion dans la stratosphère d'aérosols qui refléterait les rayons du soleil directement vers l’espace et l'éclaircissement des nuages marins.
Atmosphère terrestreLatmosphère terrestre est l'enveloppe gazeuse, entourant la Terre, que l'on appelle air. L'air sec se compose à 78,087 % de diazote, à 20,95 % de dioxygène, à 0,93 % d'argon, à 0,041 % de dioxyde de carbone, et de traces d'autres gaz. L'atmosphère protège la vie sur Terre en filtrant le rayonnement solaire ultraviolet, en réchauffant la surface par la rétention de chaleur (effet de serre) et en réduisant partiellement les écarts de température entre le jour et la nuit.