Consensus scientifique sur le réchauffement climatiqueLe consensus scientifique sur le réchauffement climatique est reflété par les rapports de synthèse, les déclarations d'organisations scientifiques d'importance nationale et internationale, ainsi que les sondages d'opinion auprès des climatologues. La communauté scientifique dans son ensemble endosse la position du Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC) de janvier 2001, statuant qu'un nombre grandissant d'observations démontrent la réalité du réchauffement planétaire, et que le réchauffement observé depuis les 50 dernières années est en grande partie attribuable à l'activité humaine.
Méthane atmosphériquevignette|redresse=1.2|Augmentation annuelle de la moyenne mondiale du méthane atmosphérique depuis 2004. Le méthane atmosphérique désigne la quantité de méthane présent dans l'atmosphère terrestre. Sa concentration est intéressante car il s'agit de l'un des gaz à effet de serre les plus puissants et qu'elle est en hausse depuis plusieurs décennies. Le potentiel de réchauffement planétaire du méthane sur 20 ans est de 84, c'est-à-dire que sur une période de 20 ans, il piège 84 fois plus de chaleur par unité de masse que le dioxyde de carbone () et 105 fois plus si l'on tient compte des interactions avec les aérosols.
Climat désertiqueLe climat désertique (dans la classification des climats de Köppen BWh et BWk ou encore BWn) parfois appelé climat aride est un climat caractérisé par une sécheresse et une aridité permanente qui dure toute l'année, un manque important d'eau liquide au sol et dans l'air ambiante (on parle plus précisément d'aridité) ce qui restreint fortement le développement de la vie animale et végétale. Ainsi, sauf exception, la présence humaine y est peu importante.
Couverture du solLa couverture du sol, aussi appelée occupation du sol, est constituée des matériaux physiques à la surface de la Terre, qu’ils soient naturels ou anthropogéniques, et incluant l’eau, le sol nu, l’herbe, les arbres, le pavage, les constructions, etc. Il existe deux méthodes principales, et complémentaires pour obtenir de l’information sur la couverture du sol : les enquêtes terrain complétant la cartographie traditionnelle ; la télédétection. La nature de la « couverture du sol » est discutée dans Comber et al (2005).
Composé organique volatilvignette|redresse=1.5|Les brumes gris bleuté au-dessus des zones ensoleillées riches en formations végétales, résultent de l'émission de COV par les feuilles des plantes, notamment celles des arbres. Elles ont deux rôles : effet de rafraîchissement (consommation de chaleur latente relative à la volatilisation des gouttelettes) par temps chaud et effet photoprotecteur (filtration des ultra-violets). Les composés organiques volatils, ou COV sont des composés organiques pouvant facilement se trouver sous forme gazeuse dans l'atmosphère terrestre.
Protocole de MontréalLe protocole de Montréal est un accord multilatéral international sur l'environnement qui fait suite à la convention de Vienne sur la protection de la couche d'ozone adoptée le . Il a pour objectif de réduire et à terme d'éliminer complètement les substances qui réduisent la couche d'ozone. Il a été signé par 24 pays et par la Communauté économique européenne le dans la ville de Montréal, au Canada, et est entré en vigueur le .
Non-methane volatile organic compoundNon-methane volatile organic compounds (NMVOCs) are a set of organic compounds that are typically photochemically reactive in the atmosphere—marked by the exclusion of methane. NMVOCs include a large variety of chemically different compounds, such as benzene, ethanol, formaldehyde, cyclohexane, 1,1,1-trichloroethane and acetone. Essentially, NMVOCs are identical to volatile organic compounds (VOCs), but with methane excluded. Methane is excluded in air-pollution contexts because it is not toxic.
MondialisationLe terme de mondialisation correspond à un libre échange des marchandises, des capitaux, des services, des personnes, des techniques et de l'information. Il désigne le processus d'intégration des marchés et de rapprochement des humains qui résulte notamment de la libéralisation des échanges, du développement des moyens de transport de personnes et de marchandises, et des retombées des technologies de l'information et de la communication (TIC) à l'échelle planétaire.
Greenhouse gas emissionsGreenhouse gas emissions (abbreviated as GHG emissions) from human activities strengthen the greenhouse effect, contributing to climate change. Carbon dioxide (), from burning fossil fuels such as coal, oil, and natural gas, is one of the most important factors in causing climate change. The largest emitters are China followed by the US, although the United States has higher emissions per capita. The main producers fueling the emissions globally are large oil and gas companies.
Carbon dioxide in Earth's atmosphereIn Earth's atmosphere, carbon dioxide is a trace gas that plays an integral part in the greenhouse effect, carbon cycle, photosynthesis and oceanic carbon cycle. It is one of several greenhouse gases in the atmosphere of Earth. The current global average concentration of CO2 in the atmosphere is (0.04%) 421 ppm as of May 2022. This is an increase of 50% since the start of the Industrial Revolution, up from 280 ppm during the 10,000 years prior to the mid-18th century. The increase is due to human activity.