Taxon monotypiqueUn taxon monotypique est un taxon qui comporte un seul sous-taxon immédiatement subordonné. Un genre est qualifié de monotypique s'il ne comprend qu'une espèce. Cette espèce est donc le type de son genre. Un tel genre est alors dit unispécifique ou monospécifique. De la même manière, une espèce est dite monotypique si elle ne possède pas de sous-espèce. En général, on n'a établi qu'un seul holotype. Une famille ne comportant qu'un genre, comme les Nepenthaceae ou les Chionididae, est aussi dite monotypique ou, plus précisément monogénérique.
Champignon lignivorevignette|Le Polypore est un champignon saprotrophe lignicole qui s'infiltre par les racines de l'arbre dans le cœur du tronc et provoque une forte pourriture brune. Un champignon lignivore, appelé scientifiquement champignon saprotrophe lignicole, saproxylique ou lignolytique (lignivore signifiant littéralement « qui se nourrit du bois », le mode d'alimentation des champignons étant l'absorbotrophie) est un champignon qui se nourrit de bois, en causant sa décomposition.
FungivoreFungivory or mycophagy is the process of organisms consuming fungi. Many different organisms have been recorded to gain their energy from consuming fungi, including birds, mammals, insects, plants, amoebas, gastropods, nematodes, bacteria and other fungi. Some of these, which only eat fungi, are called fungivores whereas others eat fungi as only part of their diet, being omnivores. Many mammals eat fungi, but only a few feed exclusively on fungi; most are opportunistic feeders and fungi only make up part of their diet.
Relative species abundanceRelative species abundance is a component of biodiversity and is a measure of how common or rare a species is relative to other species in a defined location or community. Relative abundance is the percent composition of an organism of a particular kind relative to the total number of organisms in the area. Relative species abundances tend to conform to specific patterns that are among the best-known and most-studied patterns in macroecology. Different populations in a community exist in relative proportions; this idea is known as relative abundance.
Parasitismevignette|Femelle de , une des très nombreuses espèces de petites guêpes (parasitoïdes de la famille des Pteromalidae, souvent spécialisées dans le parasitage d'une seule autre espèce d'insectes). vignette|Diagramme simplifié des six principales interactions biologiques. Le parasitisme (du grec ancien : , « à côté », et , « grain, blé, pain, nourriture », signifiant littéralement « qui prend la nourriture à côté de » et désignant à l'origine une fonction honorifique, celle de l’officier chargé de l'alimentation au prytanée d'Athènes) est une relation biologique durable entre deux êtres vivants hétérospécifiques où un des protagonistes — le parasite — tire profit d'un organisme hôte pour se nourrir, s'abriter ou se reproduire.
Champignon entomopathogèneUn champignon entomopathogène est un champignon parasite d'insectes ou d'autres arthropodes, entraînant leur mort. thumb|Criquets tués par le champignon Beauveria bassiana (Ascomycota, Hypocreales) thumb|left|Puceron vert du pêcher (Myzus persicae) tué par le champignon Pandora neoaphidis (Zygomycota, Entomophthorales). Échelle, trait = 0,3 mm. Le cycle biologique des champignons entomopathogènes diffère légèrement selon les groupes taxonomiques, mais il comprend toujours une phase parasitaire (de l'infection de l'hôte jusqu'à la mort de ce dernier) et une phase saprophyte (après la mort de l'insecte-hôte).
MycoremédiationLa mycoremédiation (parfois aussi appelée fongoremédiation) est l'ensemble des techniques utilisant une ou plusieurs espèces de champignons pour épurer un milieu (eau, air, sol) ou un substrat de culture d'un ou plusieurs polluants ou éléments chimiques indésirables. C'est une technique initialement promue par Paul Stamets et d'autres mycologues qui préconisent de développer la culture de champignons, et qui considèrent la fungiculture comme une source importante de nourriture et de molécules utiles pour le futur, mais aussi comme un moyen d'améliorer les techniques de bioremédiation.
Interaction biologiquevignette|Diagramme simplifié des six principales interactions biologiques. Une interaction biologique, appelée aussi interaction biotique ou interaction écologique, désigne un processus impliquant des échanges ou relations réciproques entre plusieurs individus ou espèces dans un écosystème (relations interspécifiques), ou entre deux ou plusieurs individus d'une même population (relations intraspécifiques).
TaraxacumTaraxacum est un genre de plantes dicotylédones anémochores appartenant à la famille des Asteraceae (Composées). C'est le genre des « pissenlits » véritables. Plusieurs hypothèses se proposent d'expliquer l'origine du nom scientifique de la plante. Taraxacum provient peut-être du grec ancien / táraxis, qui désignait une inflammation de l'œil et akeomai, « guérir », le latex du pissenlit passant en effet pour calmer les irritations oculaires.
Climax (écologie)vignette|La forêt de Daintree dans le Queensland australien est un exemple de climax en écologie forestière. Dans le domaine de l'écologie, le climax (du grec κλῖμαξ, klĩmax, escalier, échelle, gradation) désigne l'état final d'une succession écologique, l'état le plus stable dans les conditions abiotiques existantes. C'est un état théorique ; en réalité, différents stades de la succession écologique coexistent. Lorsque cet état est atteint, l'énergie et les ressources ne servent théoriquement qu'à maintenir cet état.