Multi-junction solar cellMulti-junction (MJ) solar cells are solar cells with multiple p–n junctions made of different semiconductor materials. Each material's p-n junction will produce electric current in response to different wavelengths of light. The use of multiple semiconducting materials allows the absorbance of a broader range of wavelengths, improving the cell's sunlight to electrical energy conversion efficiency. Traditional single-junction cells have a maximum theoretical efficiency of 33.16%.
Rétrocoordination πvignette|En haut : orbitales hautes occupées () et basses vacantes () du monoxyde de carbone CO.Au centre : exemple d'orbitale σ liante dans laquelle le CO cède des électrons de son orbitale au métal.En bas : exemple dans lequel le métal cède des électrons via une orbitale d à l'orbitale du CO. En chimie de coordination, une rétrocoordination π (π backbonding ou π back-donation en anglais) est un type de liaison chimique caractérisé par la cession d'électrons d'une orbitale atomique d'un métal vers une orbitale antiliante π* sur un ligand π-accepteur.
Third-generation photovoltaic cellThird-generation photovoltaic cells are solar cells that are potentially able to overcome the Shockley–Queisser limit of 31–41% power efficiency for single bandgap solar cells. This includes a range of alternatives to cells made of semiconducting p-n junctions ("first generation") and thin film cells ("second generation"). Common third-generation systems include multi-layer ("tandem") cells made of amorphous silicon or gallium arsenide, while more theoretical developments include frequency conversion, (i.e.
Géométrie moléculaire tétraédriqueEn chimie, la géométrie moléculaire tétraédrique est la géométrie des molécules où un atome central, noté A, est lié à quatre atomes, notés X, aux sommets d'un tétraèdre régulier (ou presque régulier). Ces composés appartiennent à la classe AX4E0 selon la théorie VSEPR. Les angles de liaison sont de ≈ 109,47° (double de l'angle dit « magique ») lorsque tous les substituants sont les mêmes, comme dans le cas du méthane (CH4).
Géométrie moléculaire bipyramidale pentagonaleEn chimie, une géométrie moléculaire bipyramide pentagonale est la géométrie des molécules où un atome central, noté A, est lié à sept atomes, groupes d'atomes ou ligands, notés X, aux sommets d'une bipyramide pentagonale ou « diamant pentagonal ». Cette configuration est notée AX7E0 selon la théorie VSEPR. C'est l'un des rares cas où les angles de liaison ne sont pas identiques (voir aussi géométrie moléculaire bipyramidale trigonale). Les autres géométrie de coordination à sept incluent l'octaèdre monocappé et le prisme triangulaire monocappé.
Géométrie moléculaire plane carréeEn chimie, une géométrie moléculaire plane carrée ou plan-carré est la géométrie des molécules où un atome central, noté A, est lié à quatre atomes, groupes d'atomes ou ligands, notés X, aux sommets d'un carré plan. Elle se rencontre en particulier pour les atomes centraux liés à quatre substituants mais possédant aussi deux doublets non-liants, notés E, qui viennent se placer de part et d'autre du plan. Cette configuration est notée AX4E2 selon la théorie VSEPR.
Cellule photoélectrochimiqueUne cellule photoélectrochimique utilise la lumière et des réactions chimiques pour produire de l'électricité. C'est un composant électronique qui, exposé à la lumière (photon), décompose l'eau en oxygène et hydrogène. On peut ensuite utiliser cet hydrogène dans des piles à combustible ou des moteurs à hydrogène. Une telle cellule photoélectrochimique est formée d'une électrode photosensible immergée dans un électrolyte ou dans de l'eau.
Effet photovoltaïqueL'effet photovoltaïque est un des effets photoélectriques. Il permet la production d'électricité à partir du rayonnement solaire et est mis en œuvre en particulier dans les cellules photovoltaïques. Ce phénomène physique a été découvert par le physicien français Edmond Becquerel. Lorsqu'un photon d'énergie suffisante frappe la zone de transition d’une cellule photovoltaïque composée de matériau semi-conducteur, typiquement de deux couches de silicium dopées différemment (N et P), il arrache un électron à l'atome de silicium en y laissant un trou.
Théorie du champ de ligandsLa théorie du champ de ligands ou modèle du champ de ligands décrit la liaison chimique, l'arrangement des orbitales et certaines autres caractéristiques de complexes de coordination impliquant un ion d'un métal de transition. Ce concept a été introduit en 1957 par Griffith et Orgel comme une description des complexes de métaux de transition plus exacte que celle proposée par la théorie du champ cristallin.
Récolte d'énergieLa récolte d'énergie (energy harvesting ou energy scavenging en anglais) est le processus par lequel de l'énergie est tirée de sources externes (solaire, éolienne, thermique, vibratoire, cinétique, chimique, etc.) en quantités infinitésimales, puis emmagasinée pour servir au fonctionnement autonome d'appareils portables de petite taille comme ceux de l'électronique vestimentaire (wearable electronics en anglais), les réseaux de capteurs sans fil mais aussi des applications de grande taille, notamment pour les sources thermiques: fonderies, spatial (générateur thermoélectrique à radioisotope), etc.