K-théorieEn mathématiques, la K-théorie est un outil utilisé dans plusieurs disciplines. En topologie algébrique, la sert de théorie de cohomologie. Une variante est utilisée en algèbre sous le nom de K-théorie algébrique. Les premiers résultats de la K-théorie ont été dans le cadre de la topologie algébrique, comme une théorie de cohomologie extraordinaire (elle ne vérifie pas l'axiome de dimension). Par la suite, ces méthodes ont été utilisées dans beaucoup d'autres domaines comme la géométrie algébrique, l'algèbre, la théorie des nombres, la théorie des opérateurs, etc.
Lie algebroidIn mathematics, a Lie algebroid is a vector bundle together with a Lie bracket on its space of sections and a vector bundle morphism , satisfying a Leibniz rule. A Lie algebroid can thus be thought of as a "many-object generalisation" of a Lie algebra. Lie algebroids play a similar same role in the theory of Lie groupoids that Lie algebras play in the theory of Lie groups: reducing global problems to infinitesimal ones. Indeed, any Lie groupoid gives rise to a Lie algebroid, which is the vertical bundle of the source map restricted at the units.
IsotropieL'isotropie caractérise l’invariance des propriétés physiques d’un milieu en fonction de la direction. Elle qualifie une propriété d'un milieu, ou le milieu directement, la propriété concernée étant sous-entendue. L'isotropie est significative pour une grandeur portée par un vecteur, comme la vitesse ; une grandeur scalaire ne dépend pas d'une direction et est par nature isotrope. Le contraire de l’isotropie est l’anisotropie. Le mot isotrope dérive des termes grecs isos (ἴσος, "égal") et tropos (τρόπος, "conduite, manière").
Correspondance de GaloisEn mathématiques, une correspondance de Galois antitone est une généralisation, pour deux ordres partiels quelconques, de la correspondance entre sous-corps d'une extension galoisienne et sous-groupes de son groupe de Galois. Une correspondance de Galois isotone se définit de façon analogue, en inversant l'ordre sur le deuxième ensemble. Cette notion est reliée à celle d'opérateur de clôture. Soient et des fonctions définies sur deux ensembles ordonnés et . On vérifie facilement l'équivalence des deux définitions suivantes.