Lac de barragevignette|Lac de barrage de la Plate-Taille en Belgique avec sa tour d'observation. Un lac de barrage, lac de retenue ou réservoir est un plan d'eau dont le niveau est contrôlé par un ou plusieurs ouvrages d'art et qui est utilisé à des fins utilitaires. Un lac de barrage est alimenté par le ruissellement des eaux et la confluence de cours d'eau situés en amont.
Peaking power plantPeaking power plants, also known as peaker plants, and occasionally just "peakers", are power plants that generally run only when there is a high demand, known as peak demand, for electricity. Because they supply power only occasionally, the power supplied commands a much higher price per kilowatt hour than base load power. Peak load power plants are dispatched in combination with base load power plants, which supply a dependable and consistent amount of electricity, to meet the minimum demand.
Pic pétrolierthumb|upright=1.6|Courbes cumulées de production de pétrole (graphique de 2005). À cette époque, le pic pétrolier était attendu pour l'année 2006, année où le pétrole conventionnel a effectivement atteint son pic. Toutefois, l'essor du pétrole de schiste américain dans les années 2010 a repoussé les perspectives du pic pétrolier mondial vers 2025.
Pic gazierMoins médiatique que le pic pétrolier, le pic gazier ou Peak Gas est le moment où la production mondiale de gaz naturel culminera, et où les réserves mondiales seront donc à moitié consommées. La Russie, l'Iran et le Qatar détiennent tous trois près des 2/3 des réserves mondiales de gaz naturel, avec respectivement 27 %, 15 % et 14 % du total. Viennent ensuite "16 nains", avec des réserves comprises entre 1 et 5 % du total (par ordre décroissant des réserves) : Arabie saoudite, Émirats arabes unis, États-Unis, Nigeria, Algérie, Venezuela, Irak, Kazakhstan, Turkménistan, Indonésie, Malaisie, Australie, Norvège, Chine, Ouzbékistan et Égypte.
Limnologievignette|Le lac Hawea (Nouvelle-Zélande) right|vignette|Lac Léman (Suisse) vignette|Lac de Grand-Lieu (France), qui fait partie des systèmes lacustres peu profond dits « plans d’eau pelliculaires » (shallow lakes pour les anglophones), réagissant plus fortement et rapidement aux changements environnementaux La limnologie est la « science des eaux continentales », ce qui la différencie de l'océanographie.
Stockage de l'énergieLe stockage de l'énergie consiste à mettre en réserve une quantité d'énergie provenant d'une source pour une utilisation ultérieure. Il a toujours été utile et pratiqué, pour se prémunir d'une rupture d'un approvisionnement extérieur ou pour stabiliser à l'échelle quotidienne les réseaux électriques, mais il a pris une acuité supplémentaire depuis l'apparition de l'objectif de transition écologique.
Énergie potentielleL'énergie potentielle d'un système physique est l'énergie liée à une interaction, qui a la capacité de se transformer en d'autres formes d'énergie, le plus souvent en énergie cinétique, une énergie de mouvement. La force qui modélise l'interaction est une force conservative c'est-à-dire que son travail ne dépend pas du chemin suivi lors du déplacement, mais uniquement du point de départ et du point d'arrivée : .
Concentration molaireLa concentration molaire ou molarité, ou parfois taux molaire, d'une espèce chimique est sa quantité rapportée au volume total du mélange qui contient cette espèce. Elle est exprimée en moles par unité de volume. Cette notion est essentiellement utilisée pour des espèces en solution. La concentration molaire d'un soluté est notée ou .
ThermoclineLa thermocline est la zone de transition thermique rapide entre les eaux superficielles de l'océan (généralement plus chaudes et oxygénées) et les eaux profondes (généralement plus froides et anoxiques et parfois plus salées). Pour la faune, quand elle est très marquée, la thermocline peut être un écotone, voire jouer le rôle d'une véritable barrière, surtout si elle est associée à une différence forte de salinité, ou à une chute d'oxygène (d'un côté ou de l'autre de la thermocline).
Trophic state indexThe Trophic State Index (TSI) is a classification system designed to rate water bodies based on the amount of biological productivity they sustain. Although the term "trophic index" is commonly applied to lakes, any surface water body may be indexed. The TSI of a water body is rated on a scale from zero to one hundred. Under the TSI scale, water bodies may be defined as: oligotrophic (TSI 0–40, having the least amount of biological productivity, "good" water quality); mesotrophic (TSI 40–60, having a moderate level of biological productivity, "fair" water quality); or eutrophic to hypereutrophic (TSI 60–100, having the highest amount of biological productivity, "poor" water quality).