Agriculture itinéranteL'agriculture itinérante est une forme d'agriculture essentiellement basée sur l'autoconsommation, et caractérisée par le défrichement, la mise en culture puis l'abandon (retour à la friche) d'une parcelle dont la fertilité a beaucoup diminué au profit de la culture d'un autre terrain plus fertile. Les familles, groupes ou tribus voyagent alors de terrain en terrain, en laissant en quelque sorte le sol en jachère longue durée. Quelques décennies ou siècles plus tard, il peut à nouveau être mis en culture. .
Densité de populationthumb|upright=1.5|Densité de population humaine en 2020, région par région. La densité de population est une mesure du nombre d'individus ou d'habitants occupant une surface donnée. Elle est le plus souvent exprimée en individus par unité de surface (par exemple, habitants/km). La densité de population est une mesure biologique courante et est souvent utilisée par les protecteurs de la nature comme une valeur plus appropriée que les nombres absolus.
Human population planningHuman population planning is the practice of managing the growth rate of a human population. The practice, traditionally referred to as population control, had historically been implemented mainly with the goal of increasing population growth, though from the 1950s to the 1980s, concerns about overpopulation and its effects on poverty, the environment and political stability led to efforts to reduce population growth rates in many countries.
Base de donnéesUne base de données permet de stocker et de retrouver des données structurées, semi-structurées ou des données brutes ou de l'information, souvent en rapport avec un thème ou une activité ; celles-ci peuvent être de natures différentes et plus ou moins reliées entre elles. Leurs données peuvent être stockées sous une forme très structurée (base de données relationnelles par exemple), ou bien sous la forme de données brutes peu structurées (avec les bases de données NoSQL par exemple).
Surpopulationthumb|upright=1.5|Taux de croissance de la population, 2018source : CIA thumb|200px|La densité de population est facteur de promiscuité (ici à Taipei) pouvant augmenter le risque épidémique et pandémique thumb|200px|L'empreinte écologique de l'urbanisation est l'un des facteurs en jeu dans les évaluations de la surpopulation (ici : New York, Manhattan) La surpopulation est un état démographique caractérisé par le fait que le nombre d'individus d'une espèce vivante excède la capacité de charge de son habitat, c'est-à-dire sa capacité à : fournir les ressources nécessaires pour assurer la pérennité de cette espèce ; réparer les agressions (pollutions, perturbation des régulations écologiques naturelles) infligées par cette espèce à son environnement.
Forçage radiatifEn climatologie, le forçage radiatif est approximativement défini comme la différence entre la puissance radiative reçue et la puissance radiative émise par un système climatique donné, comme le système Terre. Un forçage radiatif positif tend à réchauffer le système (plus d'énergie reçue qu'émise), alors qu'un forçage radiatif négatif va dans le sens d'un refroidissement (plus d'énergie perdue que reçue). Ce terme prend une définition légèrement différente et possède une importance capitale dans les questions liées aux changements climatiques.
Démécologiethumb|350px|Groupes familiaux d'éléphants, au sein d'une population régionale thumb|350px|Un groupe de « populations » constitue une métapopulation. Les populations d'animaux, plantes, champignons, microbes... contribuent au fonctionnement des écosystèmes, qui eux-mêmes forment des biomes et la biosphère ou symbiosphère (expression de Joël de Rosnay est le niveau planétaire d'intégration de toutes les échelles du Vivant (du gène à la somme des biomes (sans laquelle l'oxygène et donc la couche d'ozone n'existeraient pas) ; Le gène est représenté à part, car non vivant en tant que tel, mais support d'information et base du vivant.
Base de données relationnellethumb|upright=1.2|Structure générale d'une base de données relationnelle. En informatique, une base de données relationnelle (en anglais: relational database management system (RDBMS)) est une base de données où l'information est organisée dans des tableaux à deux dimensions appelés des relations ou tables, selon le modèle introduit par Edgar F. Codd en 1960. Selon ce modèle relationnel, une base de données consiste en une ou plusieurs relations. Les lignes de ces relations sont appelées des nuplets ou enregistrements.
Base de données temporelleUne base de données temporelle est une base de données avec des aspects de temps intégrés, c'est-à-dire un modèle de données temporel et une version temporelle du langage structuré de requêtes (Structured Query Language - SQL). Plus spécifiquement, les aspects temporels contiennent habituellement le temps-valide et le temps-transaction. Ces attributs marchent ensemble pour former une donnée bitemporelle. Le temps-valide dénote la période durant laquelle un fait est vrai par rapport à la réalité.
Modèle climatiqueUn modèle climatique est une modélisation mathématique du climat dans une zone géographique donnée. Historiquement, le premier modèle atmosphérique date de 1950, et a été testé sur le premier ordinateur existant, l'ENIAC. À la date du sixième rapport d'évaluation du GIEC (2021), autour de 100 modèles indépendants étaient utilisés par 49 différents laboratoires de climatologie à travers le monde. Les modèles varient en complexité. Les plus simples permettent de faire des simulations couvrant de plus larges domaines et étendues de temps.