Corde (physique)En physique théorique, les cordes sont les objets principaux étudiés dans la théorie des cordes. Une corde est un objet unidimensionnel. Avec la théorie des cordes, les composantes de la matière les plus fondamentales de notre univers ne sont plus des particules, mais de minuscules cordes vibrantes d'une taille théorique de 10-35 m. Se propageant dans l'espace-temps, la surface bidimensionnelle engendrée par son déplacement, appelée feuillet d'univers ou surface d'univers, peut être comparée à la ligne d'univers engendrée par une particule ponctuelle.
Causal structureIn mathematical physics, the causal structure of a Lorentzian manifold describes the causal relationships between points in the manifold. In modern physics (especially general relativity) spacetime is represented by a Lorentzian manifold. The causal relations between points in the manifold are interpreted as describing which events in spacetime can influence which other events. The causal structure of an arbitrary (possibly curved) Lorentzian manifold is made more complicated by the presence of curvature.
Fuzzball (théorie des cordes)284px|vignette|droite|Selon la théorie, les fuzzballs, tout comme les trous noirs classiques, déforment l'espace-temps et courbent la lumière. Ici, le bord de la tache noire centrale, l'horizon des événements, correspond non seulement à la surface où sa vitesse de libération est égale à la vitesse de la lumière mais aussi la surface physique de la fuzzball. (Vue d'artiste.
Symétrie miroirEn géométrie algébrique et en physique théorique, la symétrie miroir est une relation entre des objets géométriques appelés variétés de Calabi–Yau. Le terme fait référence à une situation où deux variétés de Calabi–Yau ont une apparence géométrique très différente mais sont néanmoins équivalentes lorsqu'elles sont utilisées comme dimensions supplémentaires de la théorie des cordes. La symétrie miroir a été découverte par des physiciens.
Théorie des cordes topologiquesEn physique théorique, la théorie des cordes topologiques est une version simplifiée de la théorie des supercordes où seule la topologie de la feuille d’univers (i.e. la surface générée par l’évolution temporelle de la corde) entre en compte dans le calcul de la . La théorie des cordes topologiques correspond au cas où la théorie conforme couplée à la gravité est un modèle sigma non linéaire en deux dimensions dont l’espace-cible est une variété de Calabi-Yau.
Théorie du toutLa théorie du tout est une théorie physique susceptible de décrire de manière cohérente et unifiée l'ensemble des interactions fondamentales. Une telle théorie n'a pas été découverte à l'heure actuelle, principalement en raison de l'impossibilité de trouver une description de la gravitation qui soit compatible avec le modèle standard de la physique des particules, qui est le cadre théorique utilisé pour la description des trois autres interactions connues (électromagnétisme, interaction faible et interaction forte).
Instrument à cordesUn instrument à cordes est un instrument de musique dans lequel le son est produit par la vibration d'une ou plusieurs cordes. L'organologie les classe dans la catégorie des cordophones. L'histoire des instruments à cordes est vieille de plusieurs milliers d'années. Les premiers n'avaient probablement qu'une seule corde, comme l'arc musical. Dès l'Égypte ancienne, on connaissait les joueurs de harpe. Au Moyen Âge, les ménestriers s'accompagnaient au luth, etc. La vibration de la corde seule est peu audible.
Censure cosmiqueEn astrophysique, le terme de censure cosmique (cosmic censorship en anglais) désigne une conjecture à propos de la nature des singularités dans l'espace-temps. Selon elle, il n'existe pas de processus physique donnant naissance à une singularité nue, c'est-à-dire une région de l'espace dont le champ gravitationnel prend des valeurs infinies et qui ne serait pas cachée derrière un horizon des événements. Le terme de « censure cosmique » est entre autres l'œuvre du mathématicien britannique Roger Penrose.
Univers de GödelL'univers de Gödel est une solution aux équations de la relativité générale publiée par le mathématicien Kurt Gödel en 1949. Cette solution possède plusieurs propriétés remarquables. Elle décrit un univers en rotation, c'est-à-dire un univers qui possède une direction privilégiée que l'on peut localement assimiler à un axe de rotation. Par ailleurs, la structure de l'espace-temps permet l'existence de courbes de genre temps refermées sur elles-mêmes. Ces travaux sont à l'origine de la recherche d'un plus grand nombre de solutions exactes aux équations d'Einstein.
Hagedorn temperatureThe Hagedorn temperature, TH, is the temperature in theoretical physics where hadronic matter (i.e. ordinary matter) is no longer stable, and must either "evaporate" or convert into quark matter; as such, it can be thought of as the "boiling point" of hadronic matter. It was discovered by Rolf Hagedorn. The Hagedorn temperature exists because the amount of energy available is high enough that matter particle (quark–antiquark) pairs can be spontaneously pulled from vacuum.