Mer de NorvègeLa mer de Norvège est une mer bordière de l'océan Arctique qui borde essentiellement la péninsule Scandinave à l'est et le Nord-Est de l'Islande à l'ouest. En 2008, la déclaration d'Ilulissat [uniquement signée par les cinq États circumpolaires : le Danemark (Groenland), la Norvège, la Russie, les États-Unis et le Canada] définissait comme limite sud de l'océan Arctique le cercle polaire arctique, ce qui placerait par conséquent une partie de la mer de Norvège dans l'océan Atlantique.
Tortue marineLes tortues marines sont les tortues de la super-famille des Chelonioidea. Elles sont présentes dans tous les océans du monde à l'exception de l'océan Arctique. La tortue luth est la plus grande, mesurant de long, de à de large et pesant . La taille moyenne des autres espèces va de à et est proportionnellement moins large. Ces espèces sont toutes vulnérables ou menacées. Elles font localement l'objet de protection ou de plan de restauration, mais la pollution, le braconnage et les prises accidentelles par engins de pêche restent des causes préoccupantes de recul de populations, déjà très relictuelles.
Mesure de JordanEn mathématiques, la mesure de Peano-Jordan est une extension de la notion de taille (longueur, aire, volume), aisément définie pour des domaines simples tels que le rectangle ou le parallélépipède, à des formes plus compliquées. La mesure de Jordan s'avère trop restrictive pour certains ensembles qu'on pourrait souhaiter être mesurables. Pour cette raison, il est maintenant plus fréquent de travailler avec la mesure de Lebesgue, qui est une extension de la mesure de Jordan à une plus grande classe d'ensembles.
Dérive des continentsvignette|Illustration de la dérive des continents avec la dislocation de la Pangée (du Trias à aujourd'hui). On appelle dérive des continents l'ensemble des déplacements horizontaux des continents (ou des blocs continentaux) les uns par rapport aux autres. L'hypothèse de la dérive des continents a été suggérée dès 1596. Elle a ensuite été développée et popularisée par Alfred Wegener en 1912. L'absence d’éléments connus lui permettant de l'expliquer le conduit néanmoins à l'attribuer à tort à d'autres mécanismes tels que la fuite des pôles, ce qui contribue au rejet de son hypothèse.