Digital subscriber lineLe terme Digital subscriber line, DSL ou encore xDSL (signifiant « ligne d'accès numérique » ou « ligne numérique d'abonné ») renvoie à l'ensemble des techniques mises en place pour un transport numérique de l'information sur une ligne de raccordement filaire téléphonique ou liaisons spécialisées. Il s’agit d’un mode d’exploitation étendu de lignes en cuivre existantes partant du principe suivant : une ligne téléphonique permet de véhiculer des ondes comprises dans une certaine plage de fréquences ; or la voix n’utilise qu’une partie très restreinte de cette plage (côté fréquences basses), et il est même possible de la réduire encore sans gêner la qualité vocale perçue.
Filtre linéaireUn filtre linéaire est, en traitement du signal, un système qui applique un opérateur linéaire à un signal d'entrée. Les filtres linéaires sont rencontrés le plus souvent en électronique, mais il est possible d'en trouver en mécanique ou dans d'autres technologies. Une réponse impulsionnelle est la sortie d'un système dont l'entrée est une impulsion de Dirac(). Les filtres linéaires peuvent être divisés en deux groupes : les filtres à réponse impulsionnelle infinie et les filtres à réponse impulsionnelle finie.
Filtre à phase linéaireUn filtre à phase linéaire est un filtre dont la réponse en phase est linéaire (modulo ) par rapport à la fréquence. Le délai de groupe pour ce filtre est constant, ce qui signifie que les composantes fréquentielles se voient infligées un même délai - ce délai se réfère au retard de phase. Un système à réponse de phase linéaire ne connaît pas d'effet de distorsion de phase. Un filtre à réponse impulsionnelle finie (RIF) symétrique et dont la transformée de Fourier est une fonction de signe constant est un filtre à phase linéaire.
Potentiomètrethumb|upright|Un potentiomètre rotatif standard. thumb|upright|Symboles du potentiomètre (en haut, symbole européen et international, en bas uniquement américain). Un potentiomètre (appelé familièrement potard) est un type de résistance variable à trois bornes, dont une est reliée à un curseur se déplaçant sur une piste résistante terminée par les deux autres bornes. Ce système permet de recueillir, entre la borne reliée au curseur et une des deux autres bornes, une tension qui dépend de la position du curseur et de la tension à laquelle est soumise la résistance.
Histoire évolutive de l'œilthumb|350px|Un modèle théorique de l’évolution de l’œil chez les vertébrés. L'œil est un système sensoriel utilisé dans l'ensemble du règne animal. En effet, la lumière donnant un grand nombre d'informations sur l'environnement, elle est, et a été, une force sélective majeure, qui a conduit à la formation d'une grande variété de systèmes capables de percevoir la lumière. La définition de l'œil varie selon les biologistes, certains considérant qu'un œil est un organe capable de produire une image à partir de différences d'intensités entre photorécepteurs.
Sécheresse oculaireLa sécheresse oculaire, ou « syndrome de l'œil sec » est un type d'affection touchant le système lacrymal chez l'humain ou chez l'animal. Ce syndrome peut être congénital ou acquis. En rapport avec une carence en rétinol, il a pour conséquence une « xérophtalmie ». L'œil sec est une maladie multifactorielle des larmes et de la surface oculaire qui résulte en des symptômes d'inconfort, de perturbation visuelle et instabilité du film lacrymal avec des dommages potentiels à la surface oculaire.
Orbite (anatomie)En anatomie, l'orbite est la cavité du crâne dans laquelle l'œil et ses appendices sont situés. Le massif facial est composé de deux cavités orbitaires. Le terme anatomique d’« orbite » pour désigner cette partie du crâne a été inventé par Gérard de Crémone. D'un point de vue ostéologique, l'orbite humaine est formée par les prolongements ou les parties de sept os : l'os frontal, l'os zygomatique, l'os maxillaire, l'os sphénoïde (corps, petite aile et grande aile), l'os palatin, l'os ethmoïde et l'os lacrymal.
CollyreLes collyres ou gouttes ophtalmiques sont des préparations pharmaceutiques, définies selon la Pharmacopée comme des solutions ou des suspensions aqueuses ou huileuses contenant un ou plusieurs principes actifs, destinées à l'instillation oculaire (voie ophtalmique). Ce sont des médicaments liquides qu'on applique sur la conjonctive de l'œil. Les collyres ont une action locale et permettent de traiter les infections des yeux ou des paupières. Un collyre est généralement un soluble.