Weak and strong sustainabilityAlthough related, sustainable development and sustainability are two different concepts. Weak sustainability is an idea within environmental economics which states that 'human capital' can substitute 'natural capital'. It is based upon the work of Nobel laureate Robert Solow, and John Hartwick. Contrary to weak sustainability, strong sustainability assumes that 'human capital' and 'natural capital' are complementary, but not interchangeable. This idea received more political attention as sustainable development discussions evolved in the late 1980s and early 1990s.
Loi des trois secteursdroite|vignette|La production industrielle en 2005 droite|vignette|Production de service en 2005 La loi des trois secteurs est une théorie économique qui divise les économies en trois secteurs d'activité : exploitation et extraction de ressources naturelles (primaire), transformation des matières premières issues du secteur primaire (secondaire), et services (tertiaire). Elle a été développée par Allan Fisher, Colin Clark et Jean Fourastié.
Secteur secondairevignette|Hypothèse des 3 secteurs : les productions industrielles en 2005. En économie, le secteur secondaire ou secteur industriel est le second secteur défini dans la loi des trois secteurs. Il est parmi les trois secteurs économiques définis dans la comptabilité nationale et regroupe les activités liées à la transformation des matières premières issues du secteur primaire (industrie manufacturière, construction) Ce secteur, même s’il représente une part relativement modeste du PIB des pays développés (par exemple 13,2 % aux États-Unis en 2006, 20,6 % en France en 2006 et 26,3 % en Suisse en 2005), est considéré comme stratégique ; il fournit des emplois d’ingénieur et fournit du travail de recherche et développement à des entreprises du secteur tertiaire.
Agriculturethumb|Culture intensive de pomme de terre en plein champ, Maine (États-Unis), 2002|alt= vignette|Production de blé à Oman L’agriculture (du latin agricultura, composé à partir de ager, « champ », et de cultura, « culture ») est un processus par lequel les êtres humains aménagent leurs écosystèmes et contrôlent le cycle biologique d'espèces domestiquées, dans le but de produire des aliments et d'autres ressources utiles à leurs sociétés.
Prise de décision collectiveLa prise de décision collective (en anglais, collaborative decision making ou CDM) est une situation où des individus sont rassemblés en un groupe pour résoudre des problèmes. Selon l'idée de synergie, les décisions prises collectivement ont tendance à être plus efficaces que les décisions prises individuellement. Cependant, il existe des situations dans lesquelles les décisions prises en groupe aboutissent à un mauvais jugement. En psychologie sociale, la prise de décision collective peut être définie comme .
Méthode du consensusDans le monde politique et technique et dans les groupes, tout ou partie des acteurs ont souvent besoin d'appuyer leurs choix et décisions stratégiques sur des « preuves » rationnelles et scientifiques. Or ils sont souvent confrontés à des incertitudes. Pour réduire cette incertitude diverses méthodes ont été au cours du élaborées et affinées, dont les conférences de consensus qui aboutissent parfois à des résultats provisoires mais plus ou moins relativement consensuels. C'est un des moyens de résolution non violente de conflits.
Participation (politique)La participation désigne les procédures, démarches ou tentatives faites pour donner un rôle aux individus dans la prise de décision affectant la communauté ou l'organisation dont ils font partie. La participation, représentant tout à la fois l’outil le plus basique et le plus complet de la démocratie participative, consisterait ainsi à prendre part.
Prise de décisionvignette|Lorsqu'il s'agit de prendre une décision, il est bon de savoir que des situations différentes nécessitent une approche différente. Il n'y a pas de façon unique de penser/d'agir. la plupart du temps, nous errons dans l'espace du désordre, sans savoir ce qui se passe, sans savoir comment agir. Dans ce cas, nous avons tendance à entrer dans l'espace avec lequel nous nous sentons le plus à l'aise et à commencer à agir. Lorsque vous avez trouvé le Saint Graal, la solution unique pour chaque problème, vous feriez mieux de faire attention.
Évaluation sommativeLes concepts d’évaluation sommative et formative ont été apportés par Michael Scriven en 1967. Selon Scriven, une évaluation formative devait permettre à un établissement scolaire d’estimer la capacité de ses programmes scolaires à atteindre leurs objectifs, de façon à guider les choix de l’école pour les améliorer progressivement, au contraire d’une évaluation sommative qui cherche à poser un jugement final sur les programmes : « marchent-ils » ou pas ? Et en conséquence, faut-il les maintenir, les étendre ou les abandonner ? Pour Scriven, toutes les techniques d’évaluation peuvent être sommatives, mais seules certaines sont formatives.
PapierLe papier est un matériau en feuilles minces fabriqué à partir de fibres végétales. C'est un support d'écriture et de dessin avec de nombreuses autres applications. On appelle carton un papier épais et rigide. L'usage du papier est attesté il y a en Chine. Il s'y fabrique à partir de plantes riches en cellulose. L'invention de la xylographie au en augmente l'usage et la fabrication. À la même époque, il se diffuse dans le monde musulman, où les fabricants utilisent le chiffon, puis en Occident où on lui ajoute de la colle pour l'adapter à l'écriture à la plume.