Protection de l'eauvignette|redresse=1.5|Économies d'émissions de gaz à effet de serre associées à différents changements de mode de vie (en kg équivalent par an). Les équipements qui allègent la consommation d'eau permettent de réduire l'empreinte carbone (liée au captage, au transport de l'eau, à l'entretien des réseaux des eaux usés, etc.). La protection de l'eau est l'effort humain de garder l'eau. Il faut garder l'équilibre écologique. Les océans et d'autres eaux sont touchées par la pollution. L'acidification des océans a lieu.
Haute merOn désigne par eaux internationales ou par haute mer, ce dernier terme étant le seul employé en droit de la mer, les zones maritimes qui ne sont sous l'autorité d'aucun État (par opposition aux « eaux sous juridiction d'un État côtier »). Plus précisément il s'agit de toutes les parties de la mer qui sont , selon l’article 86 de la convention des Nations unies sur le droit de la mer (CNUDM). vignette|500px|Les eaux internationales qui sont hors de la zone économique d’États apparaissent en bleu foncé.
Zone de minimum d'oxygèneLa zone de minimum d'oxygène (ZMO ou OMZ, de l'anglais Oxygen minimum zone), parfois appelée zone d'ombre (shadow zone), est la zone sous-marine où la saturation en oxygène de l'eau de mer dans l'océan est à son plus bas. Cette zone est habituellement atteinte à des profondeurs de 200 à , selon les contextes locaux. thumb|upright=1.5|Moyenne annuelle de l'oxygène dissous (graphique du haut) et la consommation apparente d'oxygène (graphique du bas) à partir du World Ocean Atlas.
Eaux territorialesright|thumb|upright|Les zones maritimes du droit international de la mer Les eaux territoriales ou mers territoriales sont la partie de mer côtière sur laquelle s'étend la souveraineté d'un État côtier. Sa largeur maximale est fixée à (soit ) par la Convention des Nations unies sur le droit de la mer, ou résulte d'un partage médian du littoral pour les États voisins dont les côtes sont distantes de moins de . La largeur de la mer territoriale est comptée à partir de la ligne de base, ou à partir de la ligne de base archipélagique pour les États archipels.
Conservation ex situLa conservation ex situ signifie littéralement la conservation « hors site ». La conservation ex situ est une technique de conservation de la faune et de la flore sauvages qui intervient hors du milieu naturel. Ce processus de protection d'une espèce menacée de plante ou d’animal permet d’enlever une partie de la population de l'habitat menacé et de la placer dans un nouvel environnement, qui peut être une aire sauvage ou sous les soins de l'homme.
Réintroductionthumb|upright=1.5|Le Castor Castor fiber est l'une des espèces qui en Europe a fait l'objet du plus grand nombre de réintroductions, souvent avec succès. Il a été réintroduit pour des raisons d'éthique environnementale ou pour sa fourrure, puis, et de plus en plus en tant qu'espèce-ingénieur capable de restaurer des zones humides plus riches en biodiversité et de contribuer à la régulation du cycle de l'eau. La réintroduction d'espèces animales ou végétales dans leur milieu naturel est une des stratégies de colonisation assistée mises en œuvre par la biologie de la conservation.