PhytoplanctonLe phytoplancton (du grec φυτόν, phyton, pour « plante » et πλαγκτός, planktos, errante) est le plancton autotrophe vis-à-vis du carbone, obtenant son énergie par la photosynthèse (comme les plantes). Le phytoplancton inclut des protistes, comme des dinoflagellés, et des bactéries telles que les cyanobactéries (anciennement « algues bleu-vert »). La plupart de ces organismes sont trop petits pour être visibles à l’œil nu, mais s'ils sont en quantité suffisante, ils apparaissent à la surface de l'eau comme des étendues colorées.
Zone photiquethumb|right|250px|Diagramme des couches de la zone pélagique. La zone photique, aussi nommée zone euphotique, zone épipélagique ou couche photique, est la zone aquatique d’un lac ou d’un océan exposée à une lumière suffisante pour que la photosynthèse s'y produise. La profondeur de la zone photique peut être grandement affectée par la turbidité et la latitude. Elle s’étend jusqu’à une profondeur à laquelle l’intensité lumineuse résiduelle correspond à 1 % de celle en surface (également appelée « profondeur euphotique »).
ZooplanctonLe zooplancton (du grec ancien , « animal ») est un plancton animal. Il se nourrit de matière vivante, certaines espèces étant herbivores et d’autres carnivores. Il descend pendant la nuit vers des eaux plus profondes, et remonte pendant la journée vers la surface, pour se nourrir de phytoplancton attiré par la lumière. Ce mouvement du zooplancton (dit de migration verticale quotidienne) suit un rythme nycthéméral commandé par la lumière du Soleil.
Pompe biologiqueDans la biogéochimie des océans, la pompe biologique, qui relève du cycle du carbone océanique, est une série de processus biologiques conduisant à transporter le carbone de la zone photique vers les fonds marins. C'est un élément majeur du cycle du carbone. Grâce à cette pompe, l'océan a ainsi depuis le début de l'ère industrielle pu absorber 41 % du carbone anthropique émis par la consommation des énergies fossiles et la fabrication du ciment.
Zone aphotiqueLa zone aphotique est la zone d'un lac, d'une mer ou d'un océan qui débute à la profondeur à partir de laquelle la photosynthèse n'est plus possible en raison du manque de lumière naturelle. La zone aphotique se situe en dessous de la zone photique, partie de la masse d'eau où la lumière pénétrante permet la photosynthèse. Cette zone aphotique correspond, dans l'océan, aux zones mésale, bathyale et abyssale. Le terme aphotique vient du grec φοτος (photos, « lumière ») et du préfixe a- qui signifie « sans ».
Mesopelagic zoneThe mesopelagic zone (Greek μέσον, middle), also known as the middle pelagic or twilight zone, is the part of the pelagic zone that lies between the photic epipelagic and the aphotic bathypelagic zones. It is defined by light, and begins at the depth where only 1% of incident light reaches and ends where there is no light; the depths of this zone are between approximately 200 to 1,000 meters (~656 to 3,280 feet) below the ocean surface.
Zone de minimum d'oxygèneLa zone de minimum d'oxygène (ZMO ou OMZ, de l'anglais Oxygen minimum zone), parfois appelée zone d'ombre (shadow zone), est la zone sous-marine où la saturation en oxygène de l'eau de mer dans l'océan est à son plus bas. Cette zone est habituellement atteinte à des profondeurs de 200 à , selon les contextes locaux. thumb|upright=1.5|Moyenne annuelle de l'oxygène dissous (graphique du haut) et la consommation apparente d'oxygène (graphique du bas) à partir du World Ocean Atlas.
Sediment trapSediment traps are instruments used in oceanography and limnology to measure the quantity of sinking particulate organic (and inorganic) material in aquatic systems, usually oceans, lakes, or reservoirs. This flux of material is the product of biological and ecological processes typically within the surface euphotic zone, and is of interest to scientists studying the role of the biological pump in the carbon cycle. Sediments traps normally consist of an upward-facing funnel that directs sinking particulate matter (e.
Relative species abundanceRelative species abundance is a component of biodiversity and is a measure of how common or rare a species is relative to other species in a defined location or community. Relative abundance is the percent composition of an organism of a particular kind relative to the total number of organisms in the area. Relative species abundances tend to conform to specific patterns that are among the best-known and most-studied patterns in macroecology. Different populations in a community exist in relative proportions; this idea is known as relative abundance.
Marine microorganismsMarine microorganisms are defined by their habitat as microorganisms living in a marine environment, that is, in the saltwater of a sea or ocean or the brackish water of a coastal estuary. A microorganism (or microbe) is any microscopic living organism or virus, that is too small to see with the unaided human eye without magnification. Microorganisms are very diverse. They can be single-celled or multicellular and include bacteria, archaea, viruses and most protozoa, as well as some fungi, algae, and animals, such as rotifers and copepods.