Cancer du testiculeL'expression « cancer du testicule » regroupe plusieurs types de tumeurs germinales du testicule. C'est un cancer rare (1 % environ de tous les cancers) mais est en augmentation depuis plusieurs décennies. Il est aussi le cancer le plus fréquent chez l'homme de 15 à 35 ans. Les deux testicules sont rarement touchés simultanément (1 à 2 % des cas), et après guérison d'un cancer du testicule, le risque de développer un cancer sur l'autre testicule est de 2 à 5 % dans les 25 ans.
InterféronLes interférons (IFN) sont des protéines (glycoprotéines de la famille des cytokines). Ils sont naturellement produits par les cellules du système immunitaire, mais également par d'autres types cellulaires (cellules dendritiques, mononucléées, épithéliales) en fonction des sous types. Chez la plupart des vertébrés, ils sont produits en réponse à la présence d'une double hélice d'ARN étranger dans l'organisme (plus généralement par la présence de structures moléculaires associées à des pathogènes).
History of cancer chemotherapyThe era of cancer chemotherapy began in the 1940s with the first use of nitrogen mustards and folic acid antagonist drugs. The targeted therapy revolution has arrived, but many of the principles and limitations of chemotherapy discovered by the early researchers still apply. The beginnings of the modern era of cancer chemotherapy can be traced directly to the German introduction of chemical warfare during World War I. Among the chemical agents used, mustard gas was particularly devastating.
Treatment of cancerCancer can be treated by surgery, chemotherapy, radiation therapy, hormonal therapy, targeted therapy (including immunotherapy such as monoclonal antibody therapy) and synthetic lethality, most commonly as a series of separate treatments (e.g. chemotherapy before surgery). The choice of therapy depends upon the location and grade of the tumor and the stage of the disease, as well as the general state of the patient (performance status). Cancer genome sequencing helps in determining which cancer the patient exactly has for determining the best therapy for the cancer.
NéoplasieLe terme néoplasie (littéralement : nouvelle croissance) désigne une formation nouvelle — le néoplasme — qui se développe par prolifération cellulaire et qui présente une organisation structurale et une coordination fonctionnelle faible, voire nulle, avec le tissu environnant. Le mot « néoplasme » est le terme utilisé en médecine pour désigner une tumeur ou un cancer. Un journal scientifique consacré à la recherche oncologique porte le nom de Neoplasia.
Tumeur germinaleLes tumeurs germinales sont des proliférations des lignées cellulaires germinales : ovulaires dans l'ovaire, spermatocytiques dans le testicule. Elles sont divisées en deux grands types histopathologiques : les séminomes (50 % des cas), qui auraient pour origine une prolifération anarchique de cellules de l'épithélium germinal du tube séminifère. Ils présentent un aspect hypoéchogène et hypovascularisée à l'échographie scrotale. Ils sont radio-sensibles et leur pronostic est bon dans 95 % des cas, mais ils nécessitent un suivi du patient.
Récepteur des œstrogènesLes récepteurs des œstrogènes (ER), et , sont des protéines de la superfamille des récepteurs nucléaires, famille des récepteurs des stéroïdes, liant naturellement les œstrogènes, qui sont les principales hormones stéroïdes sexuelles féminines dans l'organisme. Les récepteurs des œstrogènes furent initialement conceptualisés par Elwood V. Jensen à l'Université de Chicago à la fin des années 1950 ce qui lui valut d'être corécipiendaire du Prix Lasker en 2004. Il s'agissait à l'époque de la première identification d'un récepteur des hormones stéroïdes.
Cancer de l'estomacLe cancer de l'estomac est une forme de cancer se développant aux dépens de la paroi gastrique. Par définition, l'adénocarcinome gastrique est un cancer de l'épithélium dont le centre est à plus de en dessous de la jonction œso-gastrique ; les lésions situées au-dessus de cette limite sont classées dans les tumeurs du cardia. Leur traitement est spécifique. La plupart des cancers de l'estomac semblent dus à la pullulation et à l'installation dans l'estomac d'une bactérie (Helicobacter pylori) qui produit une protéine oncogène (« Cag » ou CagA) et qui est favorisée par un régime riche en sel.
Cancer des voies aérodigestives supérieuresUn cancer des voies aérodigestives supérieures (ou improprement cancer de la tête et du cou) est un cancer localisé au niveau des voies aérodigestives supérieures, ce qui regroupe les sinus, les fosses nasales, le pharynx (composé du nasopharynx, de l'oropharynx et de l'hypopharynx), la cavité buccale et le larynx. Outre la localisation, ce type de cancer partage, pour un certain nombre, plusieurs éléments : survenue liée à la consommation importante d'alcool et de tabac, type histologique de carcinome épidermoïde, exploration médicale ORL stéréotypée.
Interféron gammaL'interféron gamma (ou IFNγ) est une cytokine soluble dimérisée qui est le seul membre de la classe des interférons de type II. L'existence de cet interféron, qui au début de son histoire, était connu sous le nom d'"interféron immunitaire", a été décrite par E. F. Wheelock comme produit des leucocytes humains activés par la phytohémagglutinine, ainsi que par d'autres chercheurs comme un produit des lymphocytes activés par des antigènes.