Nuage anthropogéniquevignette|upright=1.5|Panache de vapeur d'eau issu des tours de refroidissement de la Centrale nucléaire de Gundremmingen, en train de former un nuage artificiel (Homomutatus), en Allemagne vignette|Photo aérienne montrant 3 nuages issus des panaches de vapeur des centrales thermiques de Frimmersdorf (à gauche), de Neurath (au centre) et de Niederaussem (à droite), qui tous ont traversé la couche nuageuse dense (Nord-Ouest de Cologne) Un nuage anthropogénique (ou nuage anthropique ou nuage artificiel), ou encore « homogenitus » selon l'Atlas international des nuages de 2017, est un nuage dont la formation et/ou la persistance sont artificiellement induites par les activités humaines (volontairement ou involontairement).
Forçage radiatifEn climatologie, le forçage radiatif est approximativement défini comme la différence entre la puissance radiative reçue et la puissance radiative émise par un système climatique donné, comme le système Terre. Un forçage radiatif positif tend à réchauffer le système (plus d'énergie reçue qu'émise), alors qu'un forçage radiatif négatif va dans le sens d'un refroidissement (plus d'énergie perdue que reçue). Ce terme prend une définition légèrement différente et possède une importance capitale dans les questions liées aux changements climatiques.
Nuage en champignonvignette|redresse=0.75|Nuage en champignon créé par le bombardement atomique de Nagasaki. Un nuage en champignon est un type de nuage d'une forme caractéristique : il s'agit d'un pyrocumulus en forme de champignon constitué de vapeur d'eau condensée ou de débris résultant d'une explosion très importante. Ils sont le plus souvent associés à des explosions atomiques (« champignon atomique »), mais toute explosion suffisamment grande donne le même genre d'effet, à l'instar d'une explosion volcanique.
Protéine antigelLes protéines antigel sont des qui correspondent à une classe de polypeptides naturellement produites par certaines espèces de vertébrés à sang froid, de plantes, de fungis et de bactéries et qui leur permettent d'être congelés sans mourir et/ou de vivre activement dans des environnements très froids (jusqu'à des températures inférieures à , dans l'eau de mer par exemple). Elles sont souvent nommées AFPs (de l'anglais : Antifreeze proteins).