Sérine/thréonine protéine kinaseredresse=.67|vignette|O-Phosphothréonine. Une sérine/thréonine protéine kinase est une protéine kinase qui catalyse la phosphorylation de protéines sur certains de leurs résidus de sérine ou de thréonine, dont la chaîne latérale est semblable, pour former des résidus de O-phosphosérine ou de O-phosphothréonine respectivement. Fichier:L-Serin - L-Serine.svg | {{Centrer|[[Sérine]].}} Fichier:L-Threonin - L-Threonine.svg | {{Centrer|[[Thréonine]].}} Fichier:L-Phosphoserine.png | {{Centrer|[[O-Phosphosérine|''O''-Phosphosérine]].
Extracellular signal-regulated kinasesLes protéines ERK1/2 sont des enzymes, des kinases, qui ajoutent des groupements phosphate à d'autres protéines afin de les activer. ERK1/2 font partie de la famille des MAP kinases qui sont des protéines jouant un rôle dans la division, la croissance et la prolifération cellulaires. Les protéines ERK-1 et ERK-2 signifiant Extracellular signal-regulated kinases sont des protéines codées par les gènes 16p11.2 pour ERK-1 et 22p11.2 pour ERK-2.
Lymphome à cellules du manteauLes lymphomes à cellules du manteau (appelé couramment lymphome du manteau) sont une forme de lymphome non hodgkinien. Ils sont causés par des lymphocytes B du manteau des follicules des ganglions lymphatiques. Ce lymphome touche plus fréquemment des sujets caucasiens, masculins avec un age médian de 60-70 ans et représente 5 à 7 % des lymphomes. Le diagnostic est souvent fait à un stade avancé car indolore et souvent non décelable sur un examen sanguin.
T-cell lymphomaT-cell lymphoma is a rare form of cancerous lymphoma affecting T-cells. Lymphoma arises mainly from the uncontrolled proliferation of T-cells and can become cancerous. T-cell lymphoma is categorized under Non-Hodgkin lymphoma (NHL) and represents less than 15% of all Non-Hodgkin's diseases in the category. T-cell lymphomas are often categorised based on their growth patterns as either; aggressive (fast-growing) or indolent (slow-growing).
Syndrome myéloprolifératifUn syndrome myéloprolifératif est une maladie caractérisée par une production anormale, d'allure cancéreuse, de certains types de cellules sanguines dans la moelle osseuse. Il s'agit d'une prolifération clonale des cellules souches et progénitrices hématopoïétiques myéloïdes qui conservent une capacité de différenciation à l'inverse des leucémies aiguës. Il peut éventuellement évoluer en leucémie aiguë myéloïde, ou encore en myélofibrose secondaire. La prolifération prédomine sur un secteur médullaire selon la maladie.
Maladie de WaldenströmLa (macroglobulinémie de Waldenström, lymphome lymphoplasmocytaire ou immunocytome) est un cancer hématologique caractérisé par des lymphoplasmocytes (stade intermédiaire entre lymphocyte B et plasmocyte) proliférant au niveau de la moelle osseuse et synthétisant une immunoglobuline monoclonale. La maladie de Waldenström est rare puisque l’on recense chaque année trois à cinq nouveaux cas par million d’habitants, soit environ en France. L’âge moyen au moment du diagnostic est de . L’origine de cette maladie demeure inconnue.
Inhibiteur mixteUn inhibiteur mixte est un inhibiteur enzymatique qui agit en se liant à un site allostérique de l'enzyme, distinct du site actif de cette dernière, sans bloquer la liaison du substrat au site catalytique. La liaison du substrat au site catalytique module l'affinité du site allostérique pour l'inhibiteur, et réciproquement. Un inhibiteur mixte présente donc une affinité plus grande ou bien pour le complexe enzyme-substrat, ou bien pour l'enzyme libre ; dans le cas où l'affinité de l'inhibiteur est indépendante de la liaison du substrat, il s'agit d'un inhibiteur non compétitif.
Humoral immune deficiencyHumoral immune deficiencies are conditions which cause impairment of humoral immunity, which can lead to immunodeficiency. It can be mediated by insufficient number or function of B cells, the plasma cells they differentiate into, or the antibody secreted by the plasma cells. The most common such immunodeficiency is inherited selective IgA deficiency, occurring between 1 in 100 and 1 in 1000 persons, depending on population. They are associated with increased vulnerability to infection, but can be difficult to detect (or asymptomatic) in the absence of infection.