Atomeredresse=1.25|vignette|Représentation d'un atome d' avec, apparaissant rosé au centre, le noyau atomique et, en dégradé de gris tout autour, le nuage électronique. Le noyau d', agrandi à droite, est formé de deux protons et de deux neutrons. redresse=1.25|vignette|Atomes de carbone à la surface de graphite observés par microscope à effet tunnel. Un atome est la plus petite partie d'un corps simple pouvant se combiner chimiquement avec un autre. Les atomes sont les constituants élémentaires de toutes les substances solides, liquides ou gazeuses.
Théorie synthétique de l'évolutionvignette|Julian Huxley nomme cette théorie théorie synthétique en 1942 (image 1922). La (ou TSE) est une théorie darwinienne de l'évolution basée sur la sélection naturelle de variations aléatoires du génome. Elle est aussi appelée synthèse néodarwinienne, théorie néodarwinienne de l'évolution ou plus simplement néodarwinisme. Cette théorie est une synthèse de diverses théories biologiques du et du début du , dont les lois de Mendel, la génétique des populations et la sélection naturelle.
Synthèse néoclassiqueLa synthèse néoclassique est une école de pensée économique majeure issue de l'intégration de certaines théories de l'école néoclassique au keynésianisme originel. Courant dominant dans le monde économique et politique pendant les Trente Glorieuses, ses fondateurs sont Paul Samuelson et John Hicks. L'école de la synthèse a été dépassée par la Nouvelle économie classique et par la Nouvelle économie keynésienne. Le keynésianisme originel naît avec la publication, en 1936, de la Théorie générale de l'emploi, de l'intérêt et de la monnaie par John Maynard Keynes.
EicosanoïdeLes eicosanoïdes (du grec ancien / eíkosi , signifiant « vingt ») ou icosanoïdes sont une vaste famille de dérivés d'oxydation d'acides gras polyinsaturés à 20 atomes de carbone comme l'acide arachidonique (C20:4 (ω-6)). Cycliques ou linéaires (leucotriènes), ils sont rangés en deux types : les leucotriènes (LT) ; les prostanoïdes, parmi lesquelles : les prostaglandines (PG), les thromboxanes (TX), les prostacyclines (PGI). Ils dérivent d’acides gras polyinsaturés (AGPI) à 20 atomes de carbone.
Key managementKey management refers to management of cryptographic keys in a cryptosystem. This includes dealing with the generation, exchange, storage, use, crypto-shredding (destruction) and replacement of keys. It includes cryptographic protocol design, key servers, user procedures, and other relevant protocols. Key management concerns keys at the user level, either between users or systems. This is in contrast to key scheduling, which typically refers to the internal handling of keys within the operation of a cipher.