Espèce-réservoirEn épidémiologie animale, écoépidémiologie ou en infectiologie, on nomme espèce-réservoir toute espèce qui participe majoritairement au cycle de reproduction d'un agent pathogène ( virus, bactérie, nématode parasite, prion pathogène, etc.) à partir de laquelle il peut contaminer sporadiquement d'autres espèces. Par exemple, le virus de la rage infecte des chauves-souris comme espèce-réservoir, même s'il peut infecter de nombreuses autres espèces dont les canidés et les humains.
Subclinical infectionA subclinical infection—sometimes called a preinfection or inapparent infection—is an infection by a pathogen that causes few or no signs or symptoms of infection in the host. Subclinical infections can occur in both humans and animals. Depending on the pathogen, which can be a virus or intestinal parasite, the host may be infectious and able to transmit the pathogen without ever developing symptoms; such a host is called an asymptomatic carrier.
EbolavirusThe genus Ebolavirus (iˈboʊlə- or əˈboʊləˌvaɪrəs; - or ) is a virological taxon included in the family Filoviridae (filament-shaped viruses), order Mononegavirales. The members of this genus are called ebolaviruses, and encode their genome in the form of single-stranded negative-sense RNA. The six known virus species are named for the region where each was originally identified: Bundibugyo ebolavirus, Reston ebolavirus, Sudan ebolavirus, Taï Forest ebolavirus (originally Côte d'Ivoire ebolavirus), Zaire ebolavirus, and Bombali ebolavirus.
Upper respiratory tract infectionAn upper respiratory tract infection (URTI) is an illness caused by an acute infection, which involves the upper respiratory tract, including the nose, sinuses, pharynx, larynx or trachea. This commonly includes nasal obstruction, sore throat, tonsillitis, pharyngitis, laryngitis, sinusitis, otitis media, and the common cold. Most infections are viral in nature, and in other instances, the cause is bacterial. URTIs can also be fungal or helminthic in origin, but these are less common. In 2015, 17.
Infection nosocomialeUne est une infection contractée dans un établissement de santé. Le terme « nosocomial » vient du grec ancien nosos (maladie) et de komein (soigner), qui forment le mot nosokomia, . Une infection est dite « nosocomiale » ou « hospitalière », si elle est absente lors de l'admission du patient à l'hôpital et qu'elle se développe au moins après l'admission ou un délai supérieur à la période d'incubation. Ce délai permet de distinguer une infection d'acquisition communautaire d'une infection nosocomiale.
Lymphocyte NKvignette|Lymphocyte NK humain Les cellules tueuses naturelles, ou lymphocytes NK, pour Natural Killer, sont des cellules du système immunitaire inné cytotoxique qui n'éliminent pas directement les agents infectieux notamment en raison de leurs récepteurs invariants. Les cellules NK représentent environ 5 à 16 % des lymphocytes humains Ce sont des cellules provenant de la lignée lymphocytaire proche des cellules des lymphocytes T, mais ne possédant pas de récepteur membranaire aux antigènes comme les lymphocytes.
Immunité cellulaireCell-mediated immunity or cellular immunity is an immune response that does not involve antibodies. Rather, cell-mediated immunity is the activation of phagocytes, antigen-specific cytotoxic T-lymphocytes, and the release of various cytokines in response to an antigen. In the late 19th century Hippocratic tradition medicine system, the immune system was imagined into two branches: humoral immunity, for which the protective function of immunization could be found in the humor (cell-free bodily fluid or serum) and cellular immunity, for which the protective function of immunization was associated with cells.
Système immunitaire adaptatifvignette|Schéma simplifié de l'homéostasie et de la réponse immunitaire au niveau de la barrière intestinale. Le système immunitaire adaptatif comprend les lymphocytes T, qui contribuent à l'immunité à médiation cellulaire, et les lymphocytes B, qui sont responsables de l'immunité à médiation humorale. Ces deux populations cellulaires ont des propriétés et des fonctions distinctes des cellules du système immunitaire inné.
Cannabis médicalvignette|upright=0.6|Extrait liquide de cannabis, distribué par une pharmacie américaine au début du . vignette|upright=0.6|Vaporisateur avec tube flexible. Le cannabis médical (appelé aussi cannabis thérapeutique, marijuana médicale ou marijuana thérapeutique) désigne le Cannabis sativa (désignation botanique du chanvre), et, par extension, l'ensemble des dizaines de phyto-cannabinoïdes destinés à un usage purement médical, généralement prescrits pour leurs vertus antiémétiques.
Cannabis (usage récréatif)vignette|Fleurs de plante femelle du genre végétal Cannabis avec des trichomes visibles. Le cannabis qui se présente sous forme de fleurs, de feuilles, de résine ou d'huile est connu dans le langage populaire sous des dizaines de surnoms plus ou moins imagés comme : le cannabis récréatif en général : cannabis, chanvre récréatif, chanvre indien ; les fleurs (et feuilles) : marijuana, weed, ganja, beuh, pot (en français québécois), zamal (en créole réunionnais) ; la résine (et autres parties pressées) : haschich, hasch, double H, shit, kif, jaune, mousseux ; la cigarette roulée : joint, bedo, pétard, spliff (anglicisme employé lors de mélange de cannabis avec du tabac) ; l’huile de cannabis.