Tornado codeIn coding theory, Tornado codes are a class of erasure codes that support error correction. Tornado codes require a constant C more redundant blocks than the more data-efficient Reed–Solomon erasure codes, but are much faster to generate and can fix erasures faster. Software-based implementations of tornado codes are about 100 times faster on small lengths and about 10,000 times faster on larger lengths than Reed–Solomon erasure codes. Since the introduction of Tornado codes, many other similar erasure codes have emerged, most notably Online codes, LT codes and Raptor codes.
Block codeIn coding theory, block codes are a large and important family of error-correcting codes that encode data in blocks. There is a vast number of examples for block codes, many of which have a wide range of practical applications. The abstract definition of block codes is conceptually useful because it allows coding theorists, mathematicians, and computer scientists to study the limitations of all block codes in a unified way.
Concatenated error correction codeIn coding theory, concatenated codes form a class of error-correcting codes that are derived by combining an inner code and an outer code. They were conceived in 1966 by Dave Forney as a solution to the problem of finding a code that has both exponentially decreasing error probability with increasing block length and polynomial-time decoding complexity. Concatenated codes became widely used in space communications in the 1970s.
Turbo codeTurbo code est le nom générique d'un code correcteur imaginé dans les années 1990, qui permet de s'approcher aussi près qu'on le souhaite de la limite de Shannon. Les turbo codes représentent une percée majeure dans le domaine des communications numériques. Ils sont utilisés dans de nombreux standards de téléphonie mobile (UMTS, LTE), de communications par satellites (Inmarsat, DVB-RCS) ou de courants porteurs en ligne. Leur inventeur est Claude Berrou qui breveta cette technologie pour le compte de France Télécom et TDF.
Code d'effacementEn théorie de l'information, un code d'effacement est un code de correction d'erreur directe pour le canal binaire d'effacement qui transforme un message composé de symboles en un message plus long composé de symboles tel que le message original peut être retrouvé à partir d'un sous-ensemble de ces symboles. La fraction est appelé « débit du code ». La fraction , où représente le nombre de symboles requis pour restaurer le message est appelée efficacité de la réception.
Fonction de dérivation de cléEn cryptographie, une fonction de dérivation de clé (en anglais, key derivation function ou KDF) est une fonction qui dérive une ou plusieurs clés secrètes d'une valeur secrète comme un mot de passe ou une phrase secrète en utilisant une fonction pseudo-aléatoire. Les fonctions de dérivation de clé peuvent être utilisées pour renforcer des clés en les étirant ou pour obtenir des clés d'un certain format. Les fonctions de dérivation de clé sont souvent utilisées conjointement avec des paramètres non secrets (appelés sels cryptographiques) pour dériver une ou plusieurs clés à partir d'une valeur secrète.
Secret partagéEn cryptographie, un secret partagé () est une donnée connue seulement des parties impliquées dans une communication sécurisée. Le secret partagé peut être un mot de passe, une phrase secrète, un grand nombre ou une suite aléatoire de bits. Le secret partagé est soit partagé à l'avance entre les parties communicantes, auquel cas il peut également être appelé une clé prépartagée, soit il est créé au début de la session de communication en utilisant un protocole d'accord de clé, par exemple en utilisant la cryptographie asymétrique comme l'échange de clés Diffie-Hellman ou en utilisant la cryptographie symétrique comme le protocole Kerberos.
Key-agreement protocolIn cryptography, a key-agreement protocol is a protocol whereby two or more parties can agree on a cryptographic key in such a way that both influence the outcome. If properly done, this precludes undesired third parties from forcing a key choice on the agreeing parties. Protocols that are useful in practice also do not reveal to any eavesdropping party what key has been agreed upon. Many key exchange systems have one party generate the key, and simply send that key to the other party—the other party has no influence on the key.
Binary erasure channelIn coding theory and information theory, a binary erasure channel (BEC) is a communications channel model. A transmitter sends a bit (a zero or a one), and the receiver either receives the bit correctly, or with some probability receives a message that the bit was not received ("erased") . A binary erasure channel with erasure probability is a channel with binary input, ternary output, and probability of erasure . That is, let be the transmitted random variable with alphabet .
Attaque par clé apparentéeUne attaque par clé apparentée est une forme de cryptanalyse où l'adversaire peut observer les opérations d'un algorithme de chiffrement lorsqu'il est utilisé avec différentes clés, aux valeurs inconnues, mais qui sont liées entre elles par des propriétés mathématiques connues de l'attaquant. Par exemple, une telle propriété pourrait être une séquence comme 1100 qui apparaît dans chaque clé au même endroit, alors que le reste des bits composants la clé sont inconnus.