Bilan carboneLe bilan carbone lié à la fabrication d'un produit ou à l'activité d'une entité humaine (individu, groupe, collectivité) est un outil de comptabilisation de ses émissions de gaz à effet de serre. Il tient compte de l'énergie primaire et de l'énergie finale de ces produits et services. Le bilan carbone vise à renseigner les systèmes d'échange de type bourse du carbone, à poser les bases de solutions efficaces de réduction de la consommation énergétique, et peut optimiser la fiscalité écologique (taxe carbone.
ExternalitéL'externalité caractérise le fait qu'un agent économique crée, par son activité, un effet externe en procurant à autrui, sans contrepartie monétaire, une utilité ou un avantage de façon gratuite, ou au contraire une nuisance, un dommage sans compensation (coût social, coût écosystémique, pertes de ressources pas, peu, difficilement, lentement ou coûteusement renouvelables...).
Taxe carboneLa taxe carbone est une taxe environnementale sur les émissions de dioxyde de carbone, le gaz à effet de serre qui contribue le plus au forçage radiatif d'origine anthropique, qu'elle vise à réduire, dans le but de contrôler le réchauffement climatique. Cette taxe pigouvienne, en faisant payer les pollueurs à proportion de leurs émissions, vise à modifier leurs comportements et à orienter leurs achats et leurs investissements. Elle est le plus souvent appliquée « en amont », sur les énergies fossiles.
Obstacle non tarifaire aux échangesUn obstacle non tarifaire aux échanges (aussi appelé mesure non tarifaire ou barrière non tarifaire ou BNT ; en anglais, non-tariff barriers to trade ou non-tariff measures) est une barrière commerciale qui restreint les importations ou les exportations de biens ou de services par des mécanismes autres que la simple imposition des droits de douane. Les instruments les plus communs de réglementation directe des importations (et parfois des exportations) sont les licences et les quotas.
Intégration européennevignette|300px| (Kosovo, non reconnu par certains membres de l'UE) L'expression désigne le transfert volontaire par un État européen d'une partie de ses compétences juridiques et de sa souveraineté nationale aux institutions des Communautés européennes puis de l'Union européenne ou à d'autres grandes institutions supranationales européennes telles que le Conseil de l'Europe. Il est ainsi question d'intégration économique et politique. Alan Milward définit l'intégration européenne comme un .
Atténuation du changement climatiquethumb|Consommation globale d'énergie entre 2000 et 2020. L'atténuation du changement climatique ou « atténuation du réchauffement climatique » (en anglais, climate change mitigation) regroupe les actions visant à atténuer l'ampleur du réchauffement mondial d'origine humaine par la réduction des émissions de gaz à effet de serre ou la capture et séquestration du dioxyde de carbone de l'atmosphère.
Zone monétaire optimaleEn économie, une zone monétaire optimale (ZMO) est une région géographique dans laquelle il serait bénéfique d'établir une monnaie unique. La théorie de la zone monétaire optimale a été développée dans les années 1960, principalement par Robert Mundell. Une zone monétaire optimale peut regrouper plusieurs pays ; elle peut aussi ne concerner que quelques régions d'un grand pays. right|thumb|upright=1.5|L'avantage de l'union monétaire serait une fonction croissante de l'intégration économique.
Barrières au commerceLes barrières commerciales sont des restrictions gouvernementale sur le commerce international. Ces barrières peuvent prendre de nombreuses formes, dont les suivantes : Droit de douane Les obstacles Non tarifaires au commerce Licences d'importation Licences d'exportation Quotas d'importation(par exemple Quotas textiles) Subventions Autolimitation des exportations Embargo Dévaluation de la monnaie Restrictions au commerces La plupart des barrières commerciales fonctionnent toutes sur le même principe: l'imposition d'un coût sur le commerce qui augmente finalement le prix des produits pour les consommateurs.
Action des entreprises sur le réchauffement climatiqueL'action des entreprises sur le réchauffement climatique comprend un éventail d'activités liées au réchauffement climatique et l'influence des entreprises sur les décisions politiques concernant la réglementation, comme le Protocole de Kyoto ou l'accord de Paris. Les grandes multinationales ont joué et, dans une certaine mesure, continuent de jouer un rôle important dans la politique climatique, en particulier aux États-Unis, par leur lobbying auprès du gouvernement et par le financement des négateurs du réchauffement climatique.