Divergence de BregmanEn mathématiques, la divergence de Bregman est une mesure de la différence entre deux distributions dérivée d'une fonction potentiel U à valeurs réelles strictement convexe et continûment différentiable. Le concept a été introduit par en 1967. Par l'intermédiaire de la transformation de Legendre, au potentiel correspond un potentiel dual et leur différentiation donne naissance à deux systèmes de coordonnées duaux. Soit une fonction à valeurs réelles, strictement convexe et continûment différentiable définie sur un domaine convexe fermé .
Théorème de Frobenius (géométrie différentielle)Le théorème de Frobenius donne une condition nécessaire et suffisante d'intégrabilité locale d'un système d'équations aux dérivées partielles du premier ordre dont le membre de droite dépend des variables, des inconnues, mais ne dépend pas de dérivées partielles de ces inconnues : un tel système d'équations aux dérivées partielles est appelé un « système de Pfaff ». Les fonctions du second membre sont supposées seulement de classe , ce qui rend impossible l'application du théorème de Cauchy-Kowalevski, qui suppose ces fonctions analytiques.
Gravitoélectromagnétismevignette|redresse=1.8|Diagramme d'effets mesurés par la sonde Gravity Probe B et décrits par le gravitoélectromagnétisme. Le gravitoélectromagnétisme, aussi nommé GEM, est une analogie entre les équations de l'électromagnétisme et celles de la gravitation, plus précisément entre les équations de Maxwell et une approximation, valide selon certaines conditions, des équations d'Einstein pour la relativité générale.
Superalgèbre de LieUne superalgèbre de Lie est une extension de la notion d'algèbre de Lie par l'ajout d'une Z-graduation. Cette graduation sépare la superalgèbre en la somme directe d'une partie paire et d'une partie impaire. Cette structure est utilisée en physique théorique pour décrire la supersymétrie. Les éléments de l'algèbre peuvent y être représentés par des opérateurs différentiels. Dans la plupart de ces théories, les éléments pairs correspondent aux bosons et les éléments impairs aux fermions.
Constant of motionIn mechanics, a constant of motion is a quantity that is conserved throughout the motion, imposing in effect a constraint on the motion. However, it is a mathematical constraint, the natural consequence of the equations of motion, rather than a physical constraint (which would require extra constraint forces). Common examples include energy, linear momentum, angular momentum and the Laplace–Runge–Lenz vector (for inverse-square force laws). Constants of motion are useful because they allow properties of the motion to be derived without solving the equations of motion.