Processus adiabatiquevignette|250px|Récipient aux parois adiabatiques : le vase de Dewar. En thermodynamique, un processus adiabatique est une transformation effectuée sans qu'aucun transfert thermique n'intervienne entre le système étudié et son environnement, c'est-à-dire sans échange de chaleur entre les deux milieux. Le mot « adiabatique » a été construit à partir du grec (« infranchissable »), dérivé de , « traverser, franchir ». Un matériau adiabatique est imperméable à la chaleur.
Processus thermodynamiqueUn processus thermodynamique, ou une transformation thermodynamique, est une transformation (ou une série de transformations) chimique ou physique d’un système partant d’un état d’équilibre initial pour aboutir à un état d’équilibre final.
Procédé kraftvignette|250x250px|International Paper, usine de papier kraft. Le procédé kraft (aussi connu comme en ou processus de sulfure) est un processus de conversion du bois en pâte à papier, qui se compose presque uniquement de fibres de cellulose, le composant principal du papier. Le procédé kraft implique le traitement des copeaux de bois avec un mélange chaud d'eau, d'hydroxyde de sodium, et de sulfure de sodium, connu sous l'appellation « liqueur blanche », qui brise les fibres du bois, séparant la lignine et l'hémicellulose de la cellulose.
Impact environnemental du papierL'impact environnemental du papier et du carton comprend l'effet sur les ressources naturelles, la consommation d'énergie, et les dégâts associés à la dispersion de substances plus ou moins nocives, soit incorporées au papier, soit provenant des encres et autres matières qui le recouvrent. Au début du , les problèmes écologiques, liés à la déforestation, à des problèmes quantitatifs et qualitatifs de gestion de l'eau et à la raréfaction de nombreuses ressources, poussent au retour au-devant de la scène des méthodes de recyclage ainsi qu’au retour progressif de la production de plantes à fibres à pousse rapide et écologique comme le chanvre ou le lin.
Plaquette forestièreLa plaquette forestière est, avec les bûches, les granulés de bois (ou pellets) et les déchets connexes de scieries, l’une des quatre sources d’approvisionnement des chaudières au bois énergie. thumb|upright= 1.3|Tas de plaquettes forestières La plaquette forestière est le résultat du broyage par des engins mécanisés (broyeurs à couteaux) des rémanents d’une exploitation forestière ou de bois de faible diamètre ou de faible qualité dont c'est souvent la seule valorisation possible.
Valeur ajoutéeLa valeur ajoutée est une notion des domaines fiscaux et comptable, ainsi que dans l’ingénierie industrielle, où elle permet de spécifier les résultats des opérations de transformation ainsi que d'évaluer et de faire évoluer la conception de produits. Elle s'inscrit en particulier dans l'analyse de la valeur. Selon l'INSEE, la valeur ajoutée se définit ainsi : .
Value productThe value product (VP) is an economic concept formulated by Karl Marx in his critique of political economy during the 1860s, and used in Marxian social accounting theory for capitalist economies. Its annual monetary value is approximately equal to the netted sum of six flows of income generated by production: wages and salaries of employees. profit including distributed and undistributed profit. interest paid by producing enterprises from current gross income rent paid by producing enterprises from current gross income, including land rents.
Plus-value (marxisme)La plus-value (ou parfois survaleur) est un concept forgé par Proudhon, puis repris et développé par Karl Marx dans sa critique de l'économie politique et de l'exploitation capitaliste, et ensuite détaillé dans Le Capital. Karl Marx reprend et complète la théorie de la valeur des économistes classiques (Adam Smith, David Ricardo, etc.), et développe l'idée que la source de la valeur d’échange d’une marchandise est la quantité de travail (socialement nécessaire) qui y est incorporée.
Valeur-travail (économie)La valeur-travail est un concept d'économie selon lequel le travail, créateur de richesse, est ce qui donne sa valeur au bien. Cette approche théorique est utilisée notamment par Adam Smith, David Ricardo puis Karl Marx. Pour les économistes classiques et marxistes, la valeur d'un bien peut être objectivement déterminée par le travail. Cette théorie de la valeur est contestée par les tenants de l'école néo-classique, qui lui préfèrent une conception subjective de la valeur.