Justice environnementaleLe concept de justice environnementale applique les théories de la justice au champ de l'environnement et de l'écologie. Il découle de la prise en compte de l'environnement et des services écosystémiques qu'il permet comme du « bien commun. » La justice environnementale peut aussi concerner les effets du dérèglement climatique ; dans ce contexte on parle parfois d'injustice et/ou de « justice climatique ».
Racisme environnementalvignette| Des personnes protestent contre la crise de l'eau à Flint, dans le Michigan, qui affecte de manière disproportionnée les personnes de couleur et les communautés à faible revenu. Le racisme environnemental est un concept du mouvement pour la justice environnementale, qui s'est développé aux États-Unis et à l'étranger dans les années 1970 et 1980. Le terme est utilisé pour décrire l'injustice environnementale qui se produit dans un contexte racialisé, tant dans la pratique que dans la politique.
Politique agricole communeLa politique agricole commune (PAC) est une politique mise en place à l'échelle de l'Union européenne. À l'origine, elle est fondée principalement sur des mesures de contrôle des prix et de subventionnement, visant à moderniser et développer l'agriculture. Elle est gérée par la Direction Générale « Agriculture et développement rural » de la Commission européenne. Au niveau français, elle est exécutée principalement via deux offices agricoles sous tutelle du Ministère de l'Agriculture (l'Agence de services et de paiement et France AgriMer).
Économie des États-UnisLes États-Unis sont la première puissance économique mondiale. En 2016, le PIB (en PPA) est de de dollars, soit environ un cinquième du PIB mondial. Son État le plus riche, la Californie, serait la sixième puissance économique mondiale (PIB PPA) s'il était indépendant. Pays industrialisé, intéressé par le secteur tertiaire et misant massivement sur l'innovation, les États-Unis sont également riches en ressources naturelles et un grand exportateur de biens culturels.
Vente à perteLa vente à perte, ou plus exactement la revente à perte, est une pratique qui consiste à revendre des produits en l'état, c'est-à-dire sans aucune transformation, à un tarif inférieur au coût d'acquisition ou au coût de revient. Elle est réglementée en France par les articles L.420-5 et L.442-5 du code de commerce. La revente à perte est interdite comme pratique illicite et déloyale.