Water-use efficiencyWater-use efficiency (WUE) refers to the ratio of water used in plant metabolism to water lost by the plant through transpiration. Two types of water-use efficiency are referred to most frequently: photosynthetic water-use efficiency (also called instantaneous water-use efficiency), which is defined as the ratio of the rate of carbon assimilation (photosynthesis) to the rate of transpiration, and water-use efficiency of productivity (also called integrated water-use efficiency), which is typically defined as the ratio of biomass produced to the rate of transpiration.
Forest restorationForest restoration is defined as “actions to re-instate ecological processes, which accelerate recovery of forest structure, ecological functioning and biodiversity levels towards those typical of climax forest” i.e. the end-stage of natural forest succession. Climax forests are relatively stable ecosystems that have developed the maximum biomass, structural complexity and species diversity that are possible within the limits imposed by climate and soil and without continued disturbance from humans (more explanation here).
Micro-irrigationLa micro-irrigation est une méthode d'irrigation utilisée en zone aride car elle réduit au maximum l'utilisation de l'eau et de l'engrais. Il existe plusieurs types de micro-irrigation, le plus répandu aujourd'hui étant le « goutte-à-goutte » (souvent raccourci par l'acronyme GAG), où l'eau s'égoutte lentement vers les racines des plantes par un système de tuyaux, soit en coulant à la surface du sol soit en irriguant directement la rhizosphère (on parle alors de goutte à goutte enterré Cette technique israélienne est l'innovation la plus importante dans l'agriculture depuis l'invention des asperseurs dans les , qui avait déjà remplacé à l'époque une irrigation nécessitant trop d'eau.
Forêt boréale canadiennevignette|Vue sur le fleuve Yukon près de Carmacks (Yukon), Canada. La forêt boréale canadienne couvre environ 28% de la forêt boréale planétaire. Elle est constituée d'arbres tolérants au froid, conifères et de nombreuses espèces résineuses (pins, épinettes, mélèzes, sapins et thuyas) et de quelques espèces feuillues (peupliers et bouleaux). À l'intérieur de la zone boréale, la répartition actuelle des espèces boréales s'explique par la capacité de ces espèces à supporter le climat froid et par l'histoire postglaciaire de la zone.
Événement climatique extrêmeUn événement climatique extrême ou événement météorologique extrême est un phénomène météorologique caractérisé par sa rareté, son intensité ou les dégâts qu'il provoque, selon la définition retenue. Les canicules, vagues de froid, cyclones tropicaux, sécheresses en sont des exemples. La fréquence et l'intensité de certains événements climatiques extrêmes augmentent en conséquence du réchauffement climatique d'origine anthropique.
Feuillevignette|redresse=1.5|Feuille simple captant la lumière du soleil (cf. Colocasia) vignette|redresse=1.5|Tous les végétaux renferment des pigments photosynthétiques : chlorophylles (pigments verts), caroténoïdes (pigment orangés, bleus et rouges). Les pigments chlorophylliens, de loin les plus abondants, possèdent deux bandes d'absorption (bleu et rouge) dans le spectre lumineux, ce qui se traduit par une valeur maximale de la réflectance autour du vert, d'où la couleur verte des plantes grâce à la présence de lacunes aérifères dont les cavités d'air renvoient ce rayonnement dans toutes les directions.
Sécheresse en Australiethumb|Moutons dans un enclos touché par la sécheresse près d'Uranquinty en Nouvelle-Galles du Sud. La sécheresse en Australie est définie comme les précipitations sur une période de trois mois dans leur plus bas décile de ce qui a été enregistré dans la région par le passé. Cette définition prend en compte que la sécheresse est un terme relatif et que les déficits en précipitations doivent être comparés aux modèles de précipitations typiques comprenant les variations saisonnières.
Réchauffement climatiquevignette|redresse=1.35|Températures moyennes de l'air en surface de 2011 à 2020 par rapport à une moyenne de référence de 1951 à 1980. vignette|redresse=1.35|Température observée par la NASA par rapport à la moyenne de 1850-1900 comme référence préindustrielle. Le principal facteur d'augmentation des températures mondiales à l'ère industrielle est l'activité humaine, les forces naturelles ajoutant de la variabilité. vignette|redresse=1.35|L'énergie circule entre l'espace, l'atmosphère et la surface de la Terre.
Déni du réchauffement climatiquevignette| Dérision du déni du réchauffement climatique. Le « déni du réchauffement climatique » est une attitude de dénégation face au consensus scientifique sur le réchauffement climatique. Certaines personnes admettent qu'il y a un réel changement, allant dans le sens d'un réchauffement global, mais nient que ce changement a une origine ou une part anthropique ; ils l'attribuent exclusivement aux variations naturelles du climat.
Soil moistureSoil moisture is the water content of the soil. It can be expressed in terms of volume or weight. Soil moisture measurement can be based on in situ probes (e.g., capacitance probes, neutron probes) or remote sensing methods. Water that enters a field is removed from a field by runoff, drainage, evaporation or transpiration.