Étymologie des caractères chinoisL’étymologie des caractères chinois décrit l'origine des signes employés par l'écriture chinoise, c'est-à-dire la manière dont ils ont été composés ou dérivés, en relation avec leur sémantique originelle. Tous les caractères chinois sont des logogrammes, mais on peut en distinguer plusieurs types, suivant leur étymologie. Un petit nombre sont des pictogrammes ( pinyin : xiàngxíng) ; un plus grand nombre sont des idéogrammes au sens strict ( zhǐshì), généralement composés ( huìyì) ; mais une écrasante majorité sont des composés nommés idéophonogrammes ( xíngshēng).
Reconnaissance de l'écriture manuscriteLa reconnaissance de l’écriture manuscrite (en anglais, handwritten text recognition ou HTR) est un traitement informatique qui a pour but de traduire un texte écrit en un texte codé numériquement. Il faut distinguer deux reconnaissances distinctes, avec des problématiques et des solutions différentes : la reconnaissance en-ligne ; la reconnaissance hors-ligne. La reconnaissance de l’écriture manuscrite fait appel à la reconnaissance de forme, mais également au traitement automatique du langage naturel.
Langues chinoisesLes langues chinoises () ou langues sinitiques, souvent désignées dans leur ensemble sous le nom de « chinois » (), appartiennent à la famille des langues sino-tibétaines. On considère la langue écrite (文, wén) comme la plus universelle, qui transcende la prononciation des divers parlers. La langue parlée dans son caractère le plus général est le plus souvent appelée hanyu (汉语), soit « langue des Han », même si d'autres groupes ethniques ont progressivement adopté cette langue.
Shang DiShang Di, Shangdi ou Shang Ti 上帝 (pinyin : Shàngdì) est le nom d’un dieu important, voire suprême, mais mal connu, de la dynastie chinoise des Shang. Il apparait également dans des textes des dynasties ultérieures (Zhou, Qin et Han) sous un aspect similaire au Ciel (tiān 天) régisseur de toutes choses, auquel il sera assimilé dans le culte impérial instauré par les confucéens. Shang signifie « précédent » ou « supérieur » ; di, dont la signification d’origine reste incertaine, fut employé sous les Zhou comme préfixe des noms posthumes des deux derniers empereurs Shang, et des noms de souverains légendaires comme Yao et Shun (Diyao, Dishun).
Artificial intelligence arms raceA military artificial intelligence arms race is an arms race between two or more states to develop and deploy lethal autonomous weapons systems (LAWS). Since the mid-2010s, many analysts have noted the emergence of such an arms race between global superpowers for better military AI, driven by increasing geopolitical and military tensions. An AI arms race is sometimes placed in the context of an AI Cold War between the US and China. Lethal autonomous weapons systems use artificial intelligence to identify and kill human targets without human intervention.
OracleAn oracle is a person or thing considered to provide wise and insightful counsel or prophetic predictions, most notably including precognition of the future, inspired by deities. If done through occultic means, it is a form of divination. The word oracle comes from the Latin verb ōrāre, "to speak" and properly refers to the priest or priestess uttering the prediction. In extended use, oracle may also refer to the site of the oracle, and to the oracular utterances themselves, called khrēsmē 'tresme' (χρησμοί) in Greek.
Projet GutenbergLe projet Gutenberg est une bibliothèque de versions électroniques libres (parfois appelés ou e-content) de livres physiquement existants. Les textes fournis sont essentiellement du domaine public, soit parce qu'ils n'ont jamais été sujets à des droits d'auteur, soit parce que ces derniers sont expirés. Il contient toutefois quelques textes toujours sous droit d'auteur, qui sont rendus disponibles pour le projet avec la permission de l'auteur. Le projet fut lancé par Michael Hart en 1971 et nommé en hommage à l'imprimeur allemand du Johannes Gutenberg.
KanjiLes sont des signes issus des caractères chinois dont le rôle est d'écrire une partie de la langue japonaise. Un kanji représente une ou plusieurs « lectures ». Une lecture est, sur le plan phonologique, une more ou une série de mores ; au niveau sémantique, une lecture est un morphème ou un mot que ce kanji permet d'écrire. Les lectures des kanjis dérivent soit de langues chinoises anciennes (morphèmes sinoxéniques), soit de la langue nipponne originelle (yamato kotoba), laquelle n'a pas de lien de parenté avec les langues chinoises.
Japanese dictionaryhave a history that began over 1300 years ago when Japanese Buddhist priests, who wanted to understand Chinese sutras, adapted Chinese character dictionaries. Present-day Japanese lexicographers are exploring computerized editing and electronic dictionaries. According to Nakao Keisuke (中尾啓介): It has often been said that dictionary publishing in Japan is active and prosperous, that Japanese people are well provided for with reference tools, and that lexicography here, in practice as well as in research, has produced a number of valuable reference books together with voluminous academic studies.
Convergence instrumentaleLa convergence instrumentale est la tendance hypothétique de la plupart agents suffisamment intelligents (humains ou non) à poursuivre des objectifs instrumentaux similaires (par exemple survivre ou acquérir des ressources), même si leurs objectifs ultimes sont différents. Plus précisément, les agents intelligents peuvent poursuivre des objectifs instrumentaux (des objectifs qui n'ont pas de valeur , mais qui aident à atteindre des objectifs ultimes) sans fin, si leurs objectifs ultimes ne soient jamais pleinement satisfaits.