Culture cellulaireLa culture cellulaire est un ensemble de techniques de biologie utilisées pour faire croître des cellules hors de leur organisme (ex-vivo) ou de leur milieu d'origine, dans un but d'expérimentation scientifique ou de fécondation in vitro. Les cellules mises en culture peuvent être: des micro-organismes libres (bactéries ou levures) des cellules « saines » prélevées fraîchement d'un organisme (biopsie...), on parle alors de « culture primaire ».
Cancer de la peauLes cancers de la peau sont des tumeurs malignes d'histologie variée, développées aux dépens des cellules de la peau. On distingue principalement : les épithéliomes, dérivant du tissu épithélial, eux-mêmes composés de deux grands groupes de carcinomes : le carcinome basocellulaire et le carcinome spinocellulaire ; les mélanomes, développés à partir des cellules næviques, qui peuvent résulter de la transformation d'un nævus ou se développer de novo ; et les sarcomes, développés à partir du tissu conjonctif.
Carcinome spinocellulaireLe carcinome spinocellulaire (CSC), ou carcinome épidermoïde cutané, est un cancer de la peau développé à partir des kératinocytes. Plus superficiel que le carcinome basocellulaire, il a la particularité de pouvoir métastaser, d'où son caractère malin. Le carcinome spinocellulaire se développe le plus souvent sur des lésions précancéreuses : kératose actinique (ou kératose précarcinomateuse), maladie de Bowen, papulose bowenoïde.
Carcinome épidermoïdeUn carcinome épidermoïde ou carcinome malpighien est un carcinome développé aux dépens d'un épithélium malpighien et pouvant atteindre un épithélium malpighien, paramalpighien ou glandulaire. Ce type de cancer peut être retrouvé au niveau de plusieurs organes et s'oppose classiquement à l'adénocarcinome qui se développe aux dépens d'un épithélium glandulaire. En cancérologie humaine, le carcinome épidermoïde fait partie, avec le carcinome basocellulaire, des tumeurs malignes développées aux dépens d'un épithélium malpighien.
Phase-contrast X-ray imagingPhase-contrast X-ray imaging or phase-sensitive X-ray imaging is a general term for different technical methods that use information concerning changes in the phase of an X-ray beam that passes through an object in order to create its images. Standard X-ray imaging techniques like radiography or computed tomography (CT) rely on a decrease of the X-ray beam's intensity (attenuation) when traversing the sample, which can be measured directly with the assistance of an X-ray detector.
Lymphocyte T auxiliaireLes lymphocytes T auxiliaires (en anglais T helper, Th), parfois appelés lymphocytes T CD4+, sont un type original de lymphocytes T, non cytotoxiques, au centre de la réponse immunitaire adaptative (aussi appelé réponse immunitaire acquise). Ils prolifèrent seulement lorsqu'ils reconnaissent certains antigènes pathogènes présentés par une cellule présentatrice d'antigène. Ils activent une quantité d'autres types de cellules qui agiront de manière plus directe sur la réponse, d'où leur autre nom de « lymphocytes T auxiliaires ».
Microscope à contraste de phasethumb|Photographie d'un cellule épithéliale de joue vue par un Microscope à contraste de phase Le microscope à contraste de phase est un microscope qui exploite les changements de phase d'une onde lumineuse traversant un échantillon. Cet instrument fut développé par le physicien hollandais Frederik Zernike dans les années 1930, ce qui lui valut le prix Nobel de physique en 1953. Emilie Bleeker, physicienne reconnue pour le développement d'instruments, est la première à mettre le microscope à contraste de phase en utilisation.
Feuillevignette|redresse=1.5|Feuille simple captant la lumière du soleil (cf. Colocasia) vignette|redresse=1.5|Tous les végétaux renferment des pigments photosynthétiques : chlorophylles (pigments verts), caroténoïdes (pigment orangés, bleus et rouges). Les pigments chlorophylliens, de loin les plus abondants, possèdent deux bandes d'absorption (bleu et rouge) dans le spectre lumineux, ce qui se traduit par une valeur maximale de la réflectance autour du vert, d'où la couleur verte des plantes grâce à la présence de lacunes aérifères dont les cavités d'air renvoient ce rayonnement dans toutes les directions.
Peau humaineLa peau humaine est l'organe le plus grand et étendu et le plus lourd du corps (environ 10 % de la masse corporelle totale d'un adulte moyen) ; chez l'adulte sa surface est d'environ , son épaisseur varie de (paupières) à 4-5 mm (haut du dos notamment). Sa surface d'échange est cependant bien plus petite que celle du poumon () ou de l'intestin (, environ deux terrains de tennis) et elle est bien moins perméable. Elle est l'habitat du Microbiote cutané humain. La spécialité de médecine traitant de la peau et de ses affections est la dermatologie.
Peauvignette|Photographie rapprochée de la peau humaine. vignette|Dermatome (chaque couleur correspond à la partie de la peau innervée par un nerf différent, à partir de la moelle épinière). La peau (, provenant du pellis) est un organe composé de plusieurs couches de tissus. Elle est la première barrière de protection de l’organisme chez les Chordés. C’est l’organe le plus étendu et le plus lourd du corps humain ; chez l’adulte sa surface est d’environ , l’épaisseur varie de .