Code (information)vignette|redresse|Code morse international. En sciences et techniques, notamment en informatique et en théorie de l'information, un code est une règle de transcription qui, à tout symbole d'un jeu de caractères (alphabet source) assigne de manière univoque un caractère ou une chaîne de caractères pris dans un jeu de caractères éventuellement différent (alphabet cible). Un exemple est le code morse qui établit une relation entre lettres de l'alphabet latin et des séquences de sons courts et longs.
Canal de communication (théorie de l'information)vignette En théorie de l'information, un canal de communication ou canal de transmission est un support (physique ou non) permettant la transmission d'une certaine quantité d'information, depuis une source (ou émetteur) vers un destinataire (ou récepteur). Souvent, le canal altère l'information transmise, par exemple en ajoutant un bruit aléatoire. La quantité d'information qu'un canal de communication peut transporter est limitée : on parle de capacité du canal.
Théorème du codage de canalEn théorie de l'information, le théorème du codage de canal aussi appelé deuxième théorème de Shannon montre qu'il est possible de transmettre des données numériques sur un canal bruité avec un taux d'erreur arbitrairement faible si le débit est inférieur à une certaine limite propre au canal. Ce résultat publié par Claude Shannon en 1948 est fondé sur des travaux antérieurs de Harry Nyquist et Ralph Hartley. La première preuve rigoureuse fut établie par Amiel Feinstein en 1954.
Capacité d'un canalLa capacité d'un canal, en génie électrique, en informatique et en théorie de l'information, est la limite supérieure étroite du débit auquel l'information peut être transmise de manière fiable sur un canal de communication. Suivant les termes du théorème de codage du canal bruyant, la capacité d'un canal donné est le débit d'information le plus élevé (en unités d'information par unité de temps) qui peut être atteint avec une probabilité d'erreur arbitrairement faible. La théorie de l'information, développée par Claude E.
Alphabetthumb|Lettres de l'alphabet phénicien. Un alphabet (de alpha et bêta, les deux premières lettres de l’alphabet grec) est un système d'écriture constitué d'un ensemble de symboles dont chacun représente, par exemple, un des phonèmes d’une langue. Chacun des symboles d'un alphabet ou graphèmes, est appelé « lettre ». Dans les cas les plus simples, chaque lettre correspond à un phonème de la langue et inversement.
Latin alphabetThe Latin alphabet, also known as the Roman alphabet, is the collection of letters originally used by the ancient Romans to write the Latin language. Largely unaltered with the exception of extensions (such as diacritics), it forms the Latin script that is used to write many modern European languages, including English. With modifications, it is also used for other alphabets, such as the Vietnamese alphabet. Its modern repertoire is standardised as the ISO basic Latin alphabet.
Viterbi decoderA Viterbi decoder uses the Viterbi algorithm for decoding a bitstream that has been encoded using a convolutional code or trellis code. There are other algorithms for decoding a convolutionally encoded stream (for example, the Fano algorithm). The Viterbi algorithm is the most resource-consuming, but it does the maximum likelihood decoding. It is most often used for decoding convolutional codes with constraint lengths k≤3, but values up to k=15 are used in practice. Viterbi decoding was developed by Andrew J.
Taux de natalitéLe taux de natalité (ou taux brut de natalité) est le rapport entre le nombre annuel de naissances vivantes et la population totale moyenne sur une période et dans un territoire donné. Il s'exprime souvent en pour mille (‰). TN s'exprime habituellement en ‰ (pour mille). Le taux de natalité se calcule : n est le nombre de naissances par année et p est la population totale moyenne au cours de la même année, souvent estimée comme la moyenne des effectifs de cette population en début et en fin d'année.
Méthode syllabiqueLa méthode syllabique, couramment appelée « b.a. – ba », est une méthode d'apprentissage de la lecture consistant à identifier les lettres présentes dans un mot, afin de pouvoir les combiner en syllabes pour arriver à la formation d’un mot. Il s’agit d’un mécanisme associatif. Une fois que la relation entre le phonème – élément sonore distinctif du langage – et le graphème – s, c, ss, sc, ç sont des graphèmes correspondant au phonème [s] – est maîtrisée, l’enfant apprend à lire les assemblages de graphèmes sous forme de syllabes ou de mots.
Alphabet araméenL'alphabet araméen est un ancien alphabet consonantique. Cet alphabet est historiquement important car quasiment tous les alphabets moyen-orientaux modernes en descendent, ainsi que de nombreuses écritures non chinoises d'Asie du Centre et de l'Est, du fait de l'usage répandu de l'araméen comme langue véhiculaire et langue officielle de l'Empire néo-assyrien et de l'Empire achéménide. Parmi les écritures contemporaines, l'alphabet hébreu est le plus proche de l'alphabet araméen impérial du , comportant les mêmes lettres et, pour la majeure partie, des formes identiques.