Vix Grave | EPFL Graph Search

The Vix Grave is a burial mound near the village of Vix in northern Burgundy. The broader site is a prehistoric Celtic complex from the Late Hallstatt and Early La Tène periods, consisting of a fortified settlement and several burial mounds. The grave of the Lady of Vix, dating to circa 500 BC, had never been disturbed and thus contained remarkably rich grave offerings. Known in French as the Trésor de Vix, these included a great deal of jewellery and the "Vix krater", the largest known metal vessel from Western classical antiquity, being 1.63 m (5'4") in height. The sites are located near the village of Vix, about 6 km north of Châtillon-sur-Seine, in the department of Côte-d'Or, in northeastern Burgundy. The complex is centred on Mont Lassois, a steep, flat-topped hill that dominates the area. It was the site of a fortified Celtic settlement, or oppidum. To the southeast of the hill, there was a 42-hectare necropolis with graves ranging from the Late Bronze Age via the Hallstatt Culture to Late La Tène. Other finds indicate activity up to Late Antiquity. During the sixth and fifth centuries BC, the Vix (or Mont Lassois) settlement appears to have controlled a major trading node, where the Seine, an important riverine transport route linking eastern and western France, crossed the land route leading from the Mediterranean to northern Europe. Additionally, Vix is at the centre of an agriculturally rich plain. Discovery of archaeological material in the area, originally by a locally based amateur, began in April 1930. Increasingly systematic work throughout the following decades revealed thousands of pottery sherds, fibulae, jewellery, and other bronze and iron finds. The burial mound with the krater was excavated in early 1953 by René Joffroy. In 1991 new archaeological research on and around Mont Lassois began under the direction of Bruno Chaume. Since 2001 a programme of research titled "Vix et son environnement" began, uniting the resources of several universities.

Du territoire au détail

Articulé autour d'éléments issus d'activités académiques et pratiques, l’ouvrage évoque les enjeux qu’induisent pour la pratique architecturale les questions liées à la prise en compte de la durabilité de l’environnement construit. Sa structure est plus particulièrement basée sur l'exploration théorique de six thématiques fondamentales et sur la présentation de six projets illustrant des démarches concrètes pour les prendre en compte. L'ouvrage permet ainsi de démontrer que, loin d'être une contrainte, la durabilité peut constituer une véritable "matière première" pour le projet architectural.

Quart Editions2014

Pèlerinage patrimonial. Un concept alternatif au tourisme patrimonial à Saint-Guilhem-le-Désert (Languedoc, France)

Michael Ulmer

Saint-Guilhem-le-Désert est un village à 252 hab. au Sud de la France qui attire plus de 250'000 touristes journaliers par an. Jugé “héritage mondiale” par l'UNESCO, il est connu pour son charme médiéval, issu d'un âge d'or comme étape sur le chemin du pèlerinage. Le projet propose le concept du pèlerinage patrimonial. Il s'agit de montrer Saint-Guilhem-le-Désert ni comme musée ni comme un shopping mall, mais comme un lieu intègre et original dans son environnement. Ceci est réalisé par une série d'interventions inspirée des trois espaces spécifiques au pèlerinage: un lieu d'assemblement, des chemins avec des étapes et un lieu d'arrivée. Le lieu d'assemblement s'offre par une opportunité construite il y a 2 ans. C'est un parking à 4 km qui – en déplaçant le stationnement là-bas – déchargera les routes au et autour du village. De là sont proposés une navette et un nouveau chemin piéton pour rejoindre le lieu. Ces interventions comme celles similaires au village servent à augmenter la capacité du réseau des rues en permettant la simultanéité. En même temps sont montrés d'autres aspects du patrimoine du lieu – particulièrement le rapport à l'eau. Ceci aide à garder la diversité du patrimoine. Finalement, en réaménageant l'espace des fêtes du village, en le connectant à travers l'ancien monastère à la place du village et en l'intégrant au réseau des rues, y est créée une véritable interface entre les visiteurs et les habitants du village.

2011