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Ce que les machines ont vu et que nous ne savons pas encore
Frédéric Kaplan, Isabella Di Lenardo
Cet article conceptualise l’idée qu’il existe une « matière noire » composée des structurations latentes identifiées par le regard machinique sur de grandes collections photographiques patrimoniales. Les campagnes photographiques de l’histoire de l’art, au ...
2023Gospel of the Marseille Docker - Nicholas Derybolsky from 1952
This text, accompanied by a ‘gospel’ that I made by montaging the US-recorded captions, is an attempt for re-narrating Marshall Plan’s discourse on the working class, aka the so-called ‘free labor’ of the US against the ‘communist labor’ of the “Soviet thr ...
EPFL Press2023CMPS45: architecture pionnière pour en finir avec le campus de l’EPFL
Par sa perte d’espace libre, le campus de l’EPFL est marqué par un ensemble de bâtiments hétéroclites. Avec sa dépendance fonctionnelle, il devient le réceptacle d’une vie partielle, cadrée par des horaires stricts. Stipulé comme point essentiel de l’université, la vie sociale n’est que partielle, prouvant une inadaptabilité du campus à accueillir ses dynamiques intrinsèques. Revenant à la définition du campus comme champ, le projet s’articule autour d’une surface unique. Il s’inscrit comme interface avec son contexte. Sa position est cruciale, au croisement des centres d’intérêt actuels de l’université tels que le développement économique, la recherche, l’enseignement et la vie étudiante. Se définissant comme un nouveau sol commun pour la foule universitaire, cette nouvelle surface devient réceptacle de fonctions non désirables du campus : lieux de vie associative, ateliers étudiants, loisirs, etc. Cette nouvelle proposition offre un équilibre en réponse aux activités proposées sur le campus, fondées sur le travail. Les espaces intérieurs, conséquents de cette surface permettent une adaptabilité sur le court terme, tout en gardant une identité forte sur une plus longue durée. Par l’usage de matériaux recyclés, le projet ouvre un dialogue autre qu’un simple rapport de bâti, mais aussi un échange constant de flux, matériel et social. Le projet illustre une nouvelle typologie de bâtiment possible pour le campus de l’EPFL, proposant un nouveau dialogue avec celui-ci.
2022L'urbain trans-formé par Internet et les TIC
On découvre en pensant leurs pratiques dans l'espace urbain que les Technologies de l'Information et de la Communication sont probablement mal nommées. Il n'y aurait pas de mise en forme unilatérale et fixe, d'information, mais bien des trans-formations de ...
Presses des Mines ParisTech2014Les systèmes coopératifs dans les transports : une approche coordonnée qui nécessite une affirmation des champs de compétence
Les nouvelles technologies de l’information révolutionnent l’organisation de notre société avec un impact sur le monde du travail, sur notre rapport avec les autres et sur notre mobilité. Le domaine des transports avec ses multiples challenges liés à la ge ...
2013Nouvelles Technologies d'Efficacité Energétique et Développement de Grappes Eco-Industrielles dans l'Industrie Papetière : Etude de Faisabilité (E3PAP)
L'objectif de ce travail est de démontrer que l’intégration d’usines papetières dans des grappes éco-industrielles est techniquement faisable et économiquement rentable grâce à l’utilisation de cycles thermiques à absorption pour en accroître l’efficacité énergétique. Le projet consiste en une étude de cas en trois parties effectuées en parallèle, soit : - Une analyse énergétique poussée de l’usine partenaire afin d’en réduire la consommation de combustible fossile de façon radicale voire de l’éliminer totalement. - Une cueillette des données en ligne des communautés adjacentes aux usines papetières canadiennes pour déterminer l’utilisation éventuelle de la puissance électrique et de la chaleur excédentaire qui pourraient être produites par ces usines. - La conception optimale du point de vue rentabilité économique de technologies de conversion et de revalorisation de l’énergie.
2009Futur 2.0: Comprendre les 20 prochaines années
Comment vivrons-nous dans 20 ans ? Unique en son genre, ce beau livre illustré, accessible à tous, est le compagnon idéal des rêveurs de futur, de ceux qui souhaitent le comprendre pour mieux le construire. Sous forme d'une pédagogie du futur et grâce à un contenu riche de sens, Futur 2.0 sensibilise le lecteur à tout ce qui pourrait changer son quotidien dans les deux prochaines décennies. Comment les mutations technologiques amorcées vont-elles influer sur notre façon de se déplacer, travailler, se soigner, se cultiver, jouer, se nourrir, agir dans notre environnement, seul et avec les autres ? Chercheurs, philosophes, sociologues ou encore artistes exposent de façon claire et précise les enjeux socioculturels, économiques et écologiques de notre futur. Ils imaginent et racontent leur vision du monde de demain en soulevant un coin du rideau sur les défis et la créativité qui permettront à chacun de nous de construire notre avenir. Depuis 20 ans, le Futuroscope prône la pédagogie douce en faisant des désirs d'avenir et des envies de renouvellement de soi son territoire. Mêlant fiction, sciences et technologies avancées, cet ouvrage collectif et optimiste est une invitation à inventer, à ouvrir notre esprit, à diversifier nos connaissances, pour s'interroger ensemble sur les 20 prochaines années, tenter d'en dessiner les contours et réenchanter le futur.
Fyp editions2007Les Technologies de l'Information Géographique: aubaine ou obstacle pour produire ensemble des données sur le territoire ?
François Golay, Matthieu Noucher
Le déploiement des Systèmes d'Information Géographiques dans les collectivités, les administrations ou les entreprises se révèle être un véritable catalyseur de l'ouverture inter-organisationnelle. Aini, la création de partenariats autour de l'information géographique est en forte croissance depuis plusieurs années. Initiées généralement pour acquérir à frais partagés des référentiels cartographiques, les dynamiques partenariales tentent de diversieifer leurs champs d'action: elles s'intéressent désormais à la mise en place de plate-forme d'échange voire de co-production des données géographiques. A travers ces initiatives, les acteurs du territoire passent ainsi d'une logique du "décider seul avec les données des autres" à un premier niveau de "décider ensemble" puisqu'ils tentent de produire à plusieurs des représentations cartographiques du territoire.
2006Management de projet et groupware
Au cours des deux dernières décennies, les technologies d’aide au management de projet se sont surtout concentrées sur les processus d’action, principalement la planification et le contrôle opérationnel. Prenant acte des critiques qui ont été formulées à leur encontre quant à la non prise en charge des aspects dynamiques de la gestion d’un projet, en particulier la répercussion dynamique des changements en cours d’exécution sur les plans de management, les efforts des développeurs ont été surtout portés sur une implémentation plus poussée des processus et des effets de feed-back. Parallèlement, la dernière décennie a vu l’apparition et le développement de nouvelles technologies visant à prendre en charge les volets collaboratifs de manière générale, indépendamment du management de projet, et fondées sur une discipline ou champ de recherche relativement récent qu’est le travail coopératif assisté par ordinateur ou Computer-supported Cooperative Work (CSCW). Les modèles issus du CSCW ont servi de base conceptuelle pour le développement de ces nouvelles technologies d’assistance à la collaboration, appelées aussi collecticiels ou groupware. Il est très important de noter que ces technologies ne sont pas dirigées vers le management de projet de manière spécifique, mais plutôt vers un large éventail de disciplines, telles que la reconfiguration des processus, la prise en charge des flux de tâches, l’assistance aux réunions de créativité et de prise de décision, le management des connaissances, etc. Mais depuis l’an 2000, les concepteurs de logiciels d’aide au management de projet tentent de résoudre la problématique posée par la complexité dynamique en développant des modules prenant en charge les volets collaboratifs avec comme principal objectif d’aller vers plus d’efficacité en matière de prise de décision, et donc en dirigeant leurs efforts vers plus d’intégration.
2002