Politiques d'identité

Les politiques d'identité ou politique identitaire, sont une approche politique où des facteurs d'identification particuliers développent des programmes politiques fondés sur ces identités. Le terme est utilisé de diverses manières pour décrire des phénomènes aussi variés que le multiculturalisme, les mouvements de femmes, les droits civils, les mouvements de lesbiennes et de gays, et les mouvements séparatistes régionaux. Des défenseurs de la politique identitaire adoptent une perspective intersectionnelle, qui dit tenir compte de la gamme des systèmes d'oppression en interaction qui peuvent affecter leur vie et provenir de leurs diverses identités. Selon des personnes qui se décrivent comme des défenseurs de la politique identitaire, celle-ci est centrée sur les expériences vécues par ceux et celles qui sont confrontés à des oppressions systémiques. Le but est de comprendre l'interaction des oppressions raciales, économiques, fondées sur le sexe et le genre (entre autres) et de s'assurer qu'aucun groupe n'est affecté de manière disproportionnée par les actions politiques, présentes et futures. Ces applications contemporaines de la politique identitaire décrivent des personnes de race, d'ethnie, de sexe, d'identité de genre, d'orientation sexuelle, d'âge, de classe économique, de statut de handicap, d'éducation, de religion, de langue, de profession, de parti politique, de statut de vétéran et d'emplacement géographique spécifiques. Ces étiquettes identitaires ne s'excluent pas mutuellement, mais sont souvent combinées en une seule pour décrire des groupes hyper-spécifiques. Des personnes qui adoptent une perspective intersectionnelle, comme Kimberle Crenshaw, critiquent des formes plus étroites des politiques identitaire qui mettent trop l'accent sur les différences intergroupes et ignorent les différences intragroupes et les formes d'oppression. Des critiques de la politique identitaire la considèrent comme particulariste, contrairement à l'universalisme des perspectives libérales, ou affirment qu'elle détourne l'attention des structures d'oppression et d'exploitation non identitaires.

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Feminization (sociology)

In sociology, feminization is the shift in gender roles and sex roles in a society, group, or organization towards a focus upon the feminine. It can also mean the incorporation of women into a group or a profession that was once dominated by men. Feminization of education – Majority female teachers, a female majority of students in higher education and a curriculum which is better suited to the learning process of women.

Identité juive

La judéité est « l'ensemble des critères qui constituent l’identité juive », elle-même considérée comme le résultat d’un processus plurimillénaire. Elle commence comme un fait ethnique, avec un peuple établi sur un territoire, caractérisé par ses coutumes et croyances, qui lui permettent de survivre à l’assimilation dans les nations des vainqueurs.

Masculinizing hormone therapy

Masculinizing hormone therapy, also known as transmasculine hormone therapy, or female-to-male (or FTM) hormone therapy, is a form of hormone therapy and gender affirming therapy which is used to change the secondary sexual characteristics of transgender people from feminine or androgynous to masculine. It is a common type of transgender hormone therapy (another being feminizing hormone therapy), and is predominantly used to treat transgender men and other transmasculine individuals.

Care. Emerging Natures

Pieter Versteegh

The work addresses research by design as a subject and a method. It explores theorizations, experimentations, and verifications, all of them engaged in writing, drawing and building. It is discovery-led, and starts from a blurry "state of the arts". It oscillates between architectural processes, products and performance without considering any of them isolated as research. Its relevance emerges. It is the design process that constructs, delimits the research corpus and produces architectural insight and knowledge. The first part addresses architectural meaning. It engages interdisciplinary connections: structuralism in linguistics and philosophy, color theory, and a displacement into deconstruction. It concludes that, although an architectural design process can deliberately try to produce and uphold determinate architectural meaning, such (objective) meaning is immediately deviated, notably by the appearance of architectural usages, scale, and possibilities of appropriation. The second part investigates deviation as a substantial part of architectural creation. If noise is irreducible, it must also structure architectural creation. It connects to domains resisting to reductionist thought: complexity sciences, literary critics, archaeological processes, and theorizations dealing with the secondary such as psychoanalysis and gender studies. The work is marked by a dilemma related to empowerment: the originality and authenticity of design and its delivery at a certain moment always seem to prohibit inhabitation, appropriation. The secondary, subject to dominant, single authorship, becomes primary. Architecture seems resistant to modernity in the Kantian sense. The work re-centers on psychiatry, gender studies and (health) care: the understanding of natures rather than appearance, structure or essence. In the third part, it moves from the production of difference to inscriptions of memories and future possibilities; from design as making to design as the initiation and care of a shared transformation process, accompaniment of differance. The understanding of architectural reality shifts from the finality of object to a process beyond control, co-construction between different authors/users occurring in minor events, in a very local and specific context. The work proposes a design process driven by care, encounter of authors and users in quality, accompanying different and specific emerging natures of (territorial) identity.

EPFL2012

Perspective intersectorielle sur l'égalité entre les sexes : recherche sur la mise en oeuvre

Analyse l'importance de l'intégration d'une perspective sexospécifique intersectionnelle dans la recherche sur la mise en œuvre des maladies infectieuses de la pauvreté.

Sexe, sexe et intersectionnalité: Chapitre 2

Explore l'importance de l'analyse comparative entre les sexes dans la recherche de mise en oeuvre sur les maladies de la pauvreté, en mettant l'accent sur les objectifs transformatifs et l'inclusivité.

Comprendre la dysphorie de genre BIO-450: Molecular endocrinology

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Les théories sociologiques tentent d'expliquer les phénomènes et comportements sociaux. Parmi elles, deux points de vue sont souvent opposés : le paradigme holistique ou structuraliste d'Émile Durkheim et le paradigme de l'action individuelle défini par Max Weber. Néanmoins, cette distinction est devenue trop caricaturale et ne permet pas de rendre compte de l'ensemble des paradigmes sociologiques. Établir une typologie des paradigmes sociologiques est une tâche compliquée voire impossible en tant que la sociologie comporte un nombre important de théories qu'il s'agit ici de classer en un nombre restreint.

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