Concept

Sanctuaire shinto

Concepts associés (85)
Nichiren
'Nichiren Daishōnin (日蓮大聖人), Nichiren Shōnin' (日蓮聖人) ou simplement, Nichiren est un moine bouddhiste japonais de l’époque de Kamakura au (né le , mort le ). Il fonde une nouvelle école du bouddhisme mahayana, le , la Nichiren Shū appelée initialement Hokke-shū (法華宗, lit. : École du Lotus) : le nom vient de la dévotion totale du bouddhisme nichirenien pour le Sūtra du Lotus comme en témoigne le mantra dont le sens premier est “Dévotion à la Loi merveilleuse du Sūtra du Lotus”.
Yorishiro
vignette|200 px|Un yorishiro classique : un arbre géant. Un , dans la terminologie shinto, est un objet capable d'attirer les esprits appelés kamis, leur donnant ainsi un espace physique à occuper durant les cérémonies religieuses. Les yorishiro sont employés au cours des cérémonies pour appeler les kamis à participer au culte. Le mot lui-même signifie littéralement « substitut d'approche ». Une fois qu'un yorishiro héberge véritablement un kami, il est appelé un shintai.
Sumiyoshi-taisha
vignette|Le Taiko-bashi à Sumiyoshi-taisha. vignette|Entrée du Sumiyoshi-taisha. vignette|Entrée arrière du Sumiyoshi-taisha. Le , aussi connu sous le nom de grand sanctuaire Sumiyoshi, est un sanctuaire shinto situé dans l'arrondissement de Sumiyoshi à Osaka au Japon. C'est le plus important de tous les sanctuaires Sumiyoshi du Japon. Le plus ancien sanctuaire où sont vénérés les , les trois kamis Sumiyoshi, est le sanctuaire Sumiyoshi de Hakata.
Kagura
vignette|upright=0.7|, une sorte de . Le est un rite artistique shintoïste, consistant globalement en une danse théâtrale. vignette|Kagura (1914). Les ouvrages historiques Kojiki et Nihon Shoki décrivent l'origine mythologique de cette danse. Dans ces textes est narrée la légende d'Amaterasu, déesse du soleil qui s'était retirée dans la grotte d'Iwayado ou Amano-Iwato, provoquant obscurité et froid sur le reste du monde.
Préfecture de Tochigi
est une préfecture du Japon située au centre de l'île de Honshū. Elle comprend , dont sa capitale : la ville d'Utsunomiya. Elle a été créée en 1873 sur un territoire du nord de la plaine de Kantō délimité par l'ancienne province de Shimotsuke. La préfecture de Tochigi est située dans le nord de la plaine de Kantō, sur l'île principale de l'archipel japonais : Honshū. Elle est bordée au nord par la préfecture de Fukushima, d'Ibaraki à l'est, les préfectures de Saitama, Gunma et Ibaraki au sud, et Gunma à l'ouest.
Sakura
Les sont les cerisiers ornementaux du Japon (dont Prunus serrulata) ainsi que leurs fleurs. La vient d'une autre espèce de Prunus. Les premiers sakura sont originaires de Chine et ont été aperçus pour la première fois au pied de l’Himalaya. Ce n’est qu’un millier d’années après, pendant la dynastie Tang, que les cerisiers ont commencé à être exporté au Japon et en Corée du Sud. Ces arbres sont beaucoup associés au Japon du fait de la forte présence culturelle des sakura dans la culture japonaise et qu’on leur attribue la dénomination de « sakura », qui est l’appellation japonaise.
Kamidana
200px|vignette|Un kamidana. Un est une sorte de sanctuaire shintô miniature, posé ou accroché au mur dans certaines maisons japonaises. Le kamidana contient divers objets liés aux cérémonies shintoïstes. L'adoration devant le kamidana consiste à dire des prières, faire des offrandes de nourriture (par exemple de riz, d'eau...) et de fleurs. Avant cela, il est rituellement important de se purifier en se lavant les mains. Le kamidana est destiné à abriter l'o-fuda, symbole annuel des kamis.
Haibutsu kishaku
vignette|La combustion de sūtras durant le haibutsu kishaku. (littéralement « Abolissez le bouddhisme et détruisez Shākyamuni ») est un terme qui désigne un courant de pensée continue dans l'histoire du Japon et qui prône l'expulsion du bouddhisme en dehors du pays. De façon plus restreinte, il renvoie également à un mouvement historique particulier et à des événements historiques précis basés sur l'idéologie qui, pendant la restauration de Meiji, entraîne la destruction des temples, des images et des textes bouddhistes ainsi que le retour forcé à la vie laïque des moines bouddhistes.
Gongen
vignette|250px|Nikkō Tōshō-gū vénère Tokugawa Ieyasu sous le nom posthume de Tōshō Daigongen. Honji suijaku Durant l'époque du shinbutsu shūgō (syncrétisme religieux des kamis et des Bouddhas) au Japon, un est considéré être un kami japonais qui n'est autre que la manifestation locale d'un Bouddha indien, entité venue pour guider les Japonais vers le salut. Les mots et sont synonymes de gongen. Le est la croyance en l'existence des gongen.
Vingt-deux sanctuaires
vignette|400px|Manuscrit du Nijūnisha-chūshiki. Les du Japon est un système de classement des sanctuaires shinto mis en place au cours de l'époque de Heian (794-1185). Les sanctuaires énumérés ci-dessous reçoivent des offrandes spéciales de la cour impériale et la plupart sont situés dans les environs de Kyoto, la capitale du Japon à l'époque.

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