Snub (geometry)In geometry, a snub is an operation applied to a polyhedron. The term originates from Kepler's names of two Archimedean solids, for the snub cube (cubus simus) and snub dodecahedron (dodecaedron simum). In general, snubs have chiral symmetry with two forms: with clockwise or counterclockwise orientation. By Kepler's names, a snub can be seen as an expansion of a regular polyhedron: moving the faces apart, twisting them about their centers, adding new polygons centered on the original vertices, and adding pairs of triangles fitting between the original edges.
Diamant triangulaireLe diamant triangulaire est une figure géométrique faisant partie des solides de Johnson (J12). Comme son nom le suggère, il peut être réalisé en rassemblant deux tétraèdres par une face, c'est un deltaèdre convexe. Bien que toutes ses faces soient en situation de congruence et qu'elles soient toutes uniformes, ce n'est pas un solide de Platon car certains de ses sommets joignent trois faces alors que d'autres en relient quatre. Les 92 solides de Johnson furent nommés et décrits par Norman Johnson en 1966.
DeltaèdreUn deltaèdre est un polyèdre dont toutes les faces sont des triangles équilatéraux. Le nom est issu de la lettre majuscule du grec delta (Δ), qui a la forme d'un triangle. Il existe une infinité de deltaèdres, mais de ceux-ci, seuls huit sont convexes, ayant quatre, six, huit, dix, douze, quatorze, seize et vingt faces. Le nombre de faces, arêtes et sommets est listé ci-dessous pour chacun des huit deltaèdres convexes. Les deltaèdre ne doivent pas être confondus avec les deltoèdres (épelé avec un "o"), les polyèdres dont les faces sont des cerfs-volants.
Antiprisme carréEn géométrie, l'antiprisme carré est le deuxième solide de l'ensemble infini des antiprismes. Celui-ci peut être regardé comme un prisme carré droit dont on a opéré une fraction de tour sur une des deux faces carrées supérieure ou inférieure pour faire un sommet avec le milieu de l'arête correspondante. Ce qui a pour résultat une suite de triangles en nombre pair sur les côtés, et deux faces carrées supérieure et inférieure. Si toutes ses faces sont régulières, c'est un polyèdre semi-régulier.
Simplicial polytopeIn geometry, a simplicial polytope is a polytope whose facets are all simplices. For example, a simplicial polyhedron in three dimensions contains only triangular faces and corresponds via Steinitz's theorem to a maximal planar graph. They are topologically dual to simple polytopes. Polytopes which are both simple and simplicial are either simplices or two-dimensional polygons. Simplicial polyhedra include: Bipyramids Gyroelongated dipyramids Deltahedra (equilateral triangles) Platonic tetrahedron, octahed
Polyèdre uniformeUn polyèdre uniforme est un polyèdre dont les faces sont des polygones réguliers et qui est isogonal, c'est-à-dire que pour tout couple de sommets, il existe une isométrie qui applique un sommet sur l'autre. Il en découle que tous les sommets sont congruents et que le polyèdre possède un haut degré de symétrie par réflexion et rotation. La notion de polyèdre uniforme est généralisée, pour un nombre de dimensions quelconque, par celle de . Les polyèdres uniformes peuvent être réguliers, quasi réguliers ou semi-réguliers.
Well-covered graphIn graph theory, a well-covered graph is an undirected graph in which every minimal vertex cover has the same size as every other minimal vertex cover. Equivalently, these are the graphs in which all maximal independent sets have equal size. Well-covered graphs were defined and first studied by Michael D. Plummer in 1970. The well-covered graphs include all complete graphs, balanced complete bipartite graphs, and the rook's graphs whose vertices represent squares of a chessboard and edges represent moves of a chess rook.
Coupole (géométrie)En géométrie, une coupole est un solide formé en joignant deux polygones, un (la base) avec deux fois autant d'arêtes que l'autre, par une bande alternée de triangles et de rectangles. Si les triangles sont équilatéraux et les rectangles sont carrés, et que la base et sa face opposée sont des polygones réguliers, alors la coupole est dite « régulière ». Les coupoles hexagonales, octogonales et décagonales sont des solides de Johnson, et peuvent être formées en prenant des sections du cuboctaèdre, du petit rhombicuboctaèdre et du petit rhombicosidodécaèdre, respectivement.
Solide de JohnsonEn géométrie, un solide de Johnson est un polyèdre strictement convexe dont chaque face est un polygone régulier et qui n'est pas isogonal (qui n'est donc ni un solide de Platon, ni un solide d'Archimède, ni un prisme ni un antiprisme). Il n'est pas nécessaire que chaque face soit un polygone identique, ou que les mêmes polygones se rejoignent autour de chaque sommet. Un exemple de solide de Johnson est la pyramide à base carrée avec des côtés triangulaires équilatéraux (J1) ; il possède une face carrée et quatre faces triangulaires.
AntiprismeUn antiprisme à n faces est un polyèdre composé de deux copies d'un certain polygone particulier à n côtés, connecté par une bande de triangles alternés. Les antiprismes sont une sous-classe des prismatoïdes. Les antiprismes sont similaires aux prismes excepté le fait que les bases sont tournées relativement l'une à l'autre, et que les faces des côtés sont des triangles, plutôt que des quadrilatères : les sommets sont symétriquement alternés. Dans le cas d'une base régulière à n côtés, on considère généralement le cas où sa copie est tournée d'un angle de 180°/n.