Constructive neutral evolutionConstructive neutral evolution (CNE) is a theory that seeks to explain how complex systems can evolve through neutral transitions and spread through a population by chance fixation (genetic drift). Constructive neutral evolution is a competitor for both adaptationist explanations for the emergence of complex traits and hypotheses positing that a complex trait emerged as a response to a deleterious development in an organism.
Histoire évolutive du vivantvignette|Représentation visuelle de l'évolution de la faune et de la flore au cours des temps géologiques. L'histoire évolutive du vivant, ou histoire de l'évolution, est l'histoire des processus par lesquels des populations d'organismes vivants ont acquis et transmis des traits biologiques nouveaux de génération en génération. La répétition de ces processus sur une grande échelle de temps explique l'apparition de nouvelles variétés et espèces, et finalement la vaste diversité du monde vivant.
OrthogenèseL'orthogenèse (du grec « ortho » (droit) et « genesis » (génération)) est une théorie biologique néo-lamarckienne. L'orthogenèse suppose l'idée d'une direction à l'œuvre dans l'évolution. thumb|Papillons du genre Papilio dans Die Artbildung und Verwandtschaft bei den Schmetterlingen de Gustav Eimer (1889-1895). Le terme « orthogenèse » est né en 1893 sous la plume du biologiste néo-lamarckien Johann Wilhelm Haacke (1855-1912). Il fut popularisé par Gustav Eimer (1843-1898), un zoologiste suisse-allemand, qui formula en 1897 une « loi d’orthogenèse ».
Théorie neutraliste de l'évolutionLa , aussi appelée « théorie de la mutation et de la dérive aléatoire », est une théorie de l'évolution moléculaire selon laquelle la plupart des mutations sont neutres et ont une influence négligeable sur la valeur sélective. Elle explique la diversité génétique par la dérive génétique principalement, et ne donne qu'un rôle ponctuel à la sélection naturelle, sans contester cependant la prépondérance de celle-ci du point de vue de l'évolution morphologique.
LamarckismeLe lamarckisme est aujourd'hui quasiment synonyme de la théorie transformiste de la transmission des caractères acquis, en référence à un aspect de la théorie de l'évolution du vivant due à Jean-Baptiste de Lamarck, bien que la réduction de cette théorie à ce seul aspect soit très largement discutable.
Génétique des populationsLa génétique des populations (GDP) est l'étude de la distribution et des changements de la fréquence des versions d'un gène (allèles) dans les populations d'êtres vivants, sous l'influence des « pressions évolutives » (sélection naturelle, dérive génétique, recombinaison, mutation, et migration). Les changements de fréquence des allèles sont un aspect majeur de l'évolution, la fixation de certains allèles conduit à une modification génétique de la population, et l'accumulation de tels changements dans différentes populations peut conduire au processus de spéciation.
Adaptation (biologie)En biologie, l'adaptation peut se définir d’une manière générale comme l’ajustement fonctionnel de l’être vivant au milieu, et, en particulier, comme l’appropriation de l’organe à sa fonction. L’adaptation correspond à la mise en accord d'un organisme vivant avec les conditions qui lui sont extérieures. Elle perfectionne ses organes, les rend plus aptes au rôle qu’ils semblent jouer dans la vie de l’individu. Elle met l’organisme tout entier en cohérence avec le milieu.
Richard DawkinsRichard Dawkins, né le à Nairobi, est un biologiste, vulgarisateur, théoricien de l'évolution et éthologiste britannique, membre de la Royal Society. Professeur émérite au New College de l'université d'Oxford, Richard Dawkins est l'un des académiciens britanniques les plus célèbres. Il acquiert la consécration avec son livre de 1976 intitulé Le Gène égoïste, qui popularise la théorie de l'évolution centrée sur les gènes et introduit le terme de « mème ».
Évolution (biologie)En biologie, l’évolution est la transformation du monde vivant au cours du temps, qui se manifeste par des changements phénotypiques des organismes à travers les générations. Ces changements généralement graduels (mais pouvant être rapides ou lents) peuvent aboutir, à partir d’une seule espèce (dite « espèce-mère »), à la formation de nouvelles variétés périphériques devenant progressivement des « espèces-filles ». Inversement, la fusion de deux lignées par hybridation ou par symbiogenèse entre deux populations d'espèces différentes peuvent produire une troisième espèce nouvelle.