vignette|redresse=1.2|Structure interne de la Terre :
Croûte continentale
Croûte océanique
Manteau supérieur
Manteau inférieur (ou Mésosphère)
Noyau externe
Noyau interne (ou graine terrestre)
A. Discontinuité de Mohorovičić
B. Discontinuité de Gutenberg
C. Discontinuité de Lehmann
La structure interne de la Terre est la répartition de l'intérieur de la Terre en enveloppes emboîtées : principalement la croûte, le manteau et le noyau, selon le modèle géologique actuel, qui s'efforce de décrire leurs propriétés et leurs comportements au cours des temps géologiques.
Ces couches sont délimitées par des discontinuités, repérables grâce à la sismologie. Celle-ci a permis de déterminer l'état de la matière à des profondeurs inaccessibles.
Cette constitution se comprend en remontant à la formation de la Terre par accrétion de planétésimaux, dont les météorites primitives, ou chondrites, constituent la mémoire. Les différentes couches se sont ensuite mises plus ou moins progressivement en place sous l'influence de divers paramètres physiques, comme la densité et la rhéologie des différentes phases constituant les matériaux premiers, ainsi que les affinités chimiques des éléments pour les diverses phases minérales, c'est-à-dire la différenciation chimique.
redresse=1.2|vignette|Structure détaillée :(1) Croûte continentale(2) Croûte océanique(3) Subduction(4) Manteau supérieur(5) Point chaud(6) Manteau inférieur(7) Panache(8) Noyau externe(9) Noyau interne(10) Cellule de convection(11) Lithosphère(12) Asthénosphère(13) Discontinuité de Gutenberg(14) Discontinuité de Mohorovicic(?) Amande ?
Croûte terrestre
La croûte terrestre représente environ 1,5 % du volume de la Terre solide, 4,4 ‰ de la masse terrestre et 6,5 ‰ de la masse silicatée de la Terre (la Terre sans le noyau métallique).
Croûte continentale
La croûte continentale (1) est solide, essentiellement granitique et surmontée par endroits de roches sédimentaires. Elle est plus épaisse que la croûte océanique (de à sous les massifs montagneux).
Cette page est générée automatiquement et peut contenir des informations qui ne sont pas correctes, complètes, à jour ou pertinentes par rapport à votre recherche. Il en va de même pour toutes les autres pages de ce site. Veillez à vérifier les informations auprès des sources officielles de l'EPFL.
thumb|x250px|Écorché de l'intérieur de la Terre. La graine est la partie jaune vif située au centre. Le noyau interne, ou la graine, est la partie solide située au centre de la Terre. C'est une boule de de rayon située au centre du noyau externe (liquide). Elle est composée d'un alliage de fer et de nickel, ainsi que d'éléments plus légers. La frontière entre le noyau externe et le noyau interne est appelée , ou ICB (pour inner core boundary). La graine a été découverte par la sismologue danoise Inge Lehmann en 1936.
La discontinuité de Gutenberg ou limite noyau-manteau (en anglais, core-mantle boundary ou CMB) est une discontinuité dans la vitesse sismique qui délimite le noyau et le manteau. Elle se situe à environ de profondeur. Nommée d'après le sismologue Beno Gutenberg, elle est aussi parfois appelée « interface noyau-manteau » ou CMB (anglais core-mantle boundary). Au niveau de cette discontinuité, le rapport pression/température permet la fusion des roches du manteau, grâce notamment à la cristallisation du noyau de fer liquide.
Le noyau externe est la partie liquide du noyau de la Terre, couche intermédiaire située au-dessus de la graine solide (noyau interne) et au-dessous du manteau terrestre. Comme la graine, le noyau est un alliage métallique, principalement constitué de fer et de nickel. Le liquide du noyau externe est animé de mouvements convectifs rapides qui induisent un effet dynamo à l'origine du champ magnétique terrestre. Les études des ondes sismiques qui se propagent à l'intérieur du globe terrestre ont permis à Richard Oldham de proposer l'existence d'un noyau central, plus dense, à l'intérieur de la Terre.
Explore les défis dans un monde aux ressources limitées, en se concentrant sur les métaux, l'énergie et la durabilité, y compris les taux de recyclage et les solutions à faible technologie.
Small-scale dynamos play important roles in modern astrophysics, especially on galactic and extragalactic scales. Owing to dynamo action, purely hydrodynamic Kolmogorov turbulence hardly exists and is often replaced by hydromagnetic turbulence. Understandi ...
The Correlation Electron Cyclotron Emission (CECE) diagnostic at ASDEX Upgrade (AUG) is used to investigate the features of outer core and pedestal (rho(pol) = 0.85-1.0) turbulence across confinement regime transitions. The I-mode confinement regime is a p ...
This thesis is dedicated to developing innovative methodologies that improve elemental quantification in scanning transmission electron microscopy (STEM) using energy-dispersive X-ray spectroscopy (EDXS). The primary motivation stems from a geochemistry pr ...