Politique en IsraëlLa politique en Israël s'exerce dans le cadre d'une démocratie parlementaire sans constitution mais dont les règles sont formalisées par des lois fondamentales. La vie politique a été marquée par les conflits avec les pays arabes puis depuis la première intifada avec les Palestiniens. Ses institutions dérivent en partie de celles du mouvement sioniste. Israël est une démocratie parlementaire. La séparation des pouvoirs est assurée de la façon suivante : Le pouvoir législatif est détenu par les du Parlement israélien, la Knesset.
Palestinian fedayeenPalestinian fedayeen (from the Arabic fidā'ī, plural fidā'iyūn, فدائيون) are militants or guerrillas of a nationalist orientation from among the Palestinian people. Most Palestinians consider the fedayeen to be "freedom fighters", while most Israelis consider them to be "terrorists". Considered symbols of the Palestinian national movement, the Palestinian fedayeen drew inspiration from guerrilla movements in Vietnam, China, Algeria and Latin America.
État binationalDans le cadre du conflit israélo-palestinien, l’expression État binational, ou solution à un État (par opposition à la solution à deux États), désigne une proposition de résolution, consistant en la création d’un unique État pour lequel deux nationalités seraient définies constitutionnellement, dont les actuels Israéliens et les Palestiniens seraient tous citoyens, similairement au Liban. Des propositions pour un État commun judéo-arabe en Palestine existe au moins depuis le début des années 1920.
Droit au retour des réfugiés palestiniensright|thumb|200px|Cette œuvre artistique est intitulée Résolution 194 en référence à la résolution 194 de l'Assemblée générale des Nations unies appelant au droit au retour des réfugiés palestiniens. De nombreux Palestiniens ayant conservé les clés de leurs habitations plusieurs années après les avoir quittées, la clé est devenue un symbole de ce droit au retour.
Sionisme religieuxLe sionisme religieux, ou mouvement religieux sioniste, est une idéologie combinant sionisme et judaïsme (orthodoxe ou haredi), avec pour objectif de concilier la réalisation du sionisme avec les principaux fondements de la Torah. Dans ce sens, il apparaît nécessaire aux sionistes-religieux de s'investir au sein de la société et des institutions israéliennes afin de prêcher une compatibilité, à leurs yeux évidente, entre vie religieuse et vie citoyenne, et surtout d'orienter l'adoption de politiques publiques et autres décisions conformes à cette vision de l’État.
Sionisme révisionnisteLe sionisme révisionniste était l'un des courants du mouvement sioniste. Ce courant est créé comme une « révision » des méthodes de fonctionnement de l'Organisation sioniste mondiale en 1923, lorsque son principal penseur et leader, Zeev Jabotinsky, se retire de l'organisation. En 1925, est fondée l'Alliance sioniste révisionniste. Jabotinsky propose une opposition ferme à la politique mandataire britannique et rejette la politique « conciliatoire » de Chaïm Weizmann.
HatikvahL’Espoir (en hébreu: he, Hatikvah) est l’hymne national de l’État d’Israël depuis sa création en 1948. Il a été écrit en Ukraine en 1878, par Naftali Herz Imber, sous le nom de תקותנו Tikvatenou (Notre espoir). La musique a été adaptée en 1888 par Samuel Cohen, d’après une mélodie populaire roumaine de Moldavie. Cette mélodie, qui circulait en Moldavie et dans les pays limitrophes, est connue en Roumanie sur différents textes : Le Chariot à bœufs (Carul cu boi), Chanson de mai (Cântec de mai), Les Plaines se sont réveillées (Luncile s-au deşteptat) ou Maïs aux feuilles haussées (Cucuruz cu frunza-n sus).
Déclaration Balfour de 1917vignette|Le texte de la déclaration. La Déclaration Balfour de 1917 est une lettre ouverte datée du et signée par Arthur Balfour, le secrétaire d'État britannique aux Affaires étrangères (the Foreign Secretary). Elle est adressée à Lord Lionel Walter Rothschild (1868-1937), personnalité éminente de la communauté juive britannique et financier du mouvement sioniste, aux fins de retransmission. Par cette lettre, le Royaume-Uni se déclare en faveur de l'établissement en Palestine d'un projet national (présenté comme « un foyer national pour le peuple juif », traduction de « a national home to the Jewish people »).
Loi du retourvignette|Tampon dans un passeport délivrant au titulaire juif la citoyenneté israélienne en application de la loi du retour La loi du retour (חוֹק השְבוּת, Khoq Ha-Shvout), votée le par la Knesset, garantit à tout Juif (ainsi qu'à son éventuelle famille non juive) le droit d'immigrer en Israël. Un visa d’immigrant sera délivré à tout Juif qui aura exprimé le désir de s’établir en Israël, à moins que le ministre de l’Intérieur soit convaincu que le candidat mène des activités dirigées contre le peuple juif, risque de porter atteinte à la salubrité publique ou à la sécurité de l’État ou encore a un passé criminel susceptible de mettre en danger le bien-être public.
Arabes israéliensvignette|Les panneaux routiers israéliens sont aussi bien écrits en hébreu qu'en arabe. Les Arabes israéliens sont les Arabes détenteurs de la citoyenneté israélienne vivant en Israël. Ils s’identifient comme « Palestiniens » ou « Arabes israéliens ». Les réfugiés juifs des pays arabes ne sont pas comptés parmi les Arabes israéliens. Lors de la guerre israélo-arabe de 1948, plus de des Arabes du territoire destiné à l'État juif par le plan de partage de la Palestine mandataire, restèrent chez eux, retournèrent à la fin des hostilités ou furent déplacés à l'intérieur d'Israël.