Substance grise périaqueducalethumb|Coupe du colliculus supérieur montrant la voie du nerf oculomoteur. La substance grise périaqueducale est la zone grise à la périphérie de l'aqueduc cérébral. thumb|Section transversale à travers le mésencéphale. 1 Citerne quadrigéminale ; 2 Aqueduc du mésencéphale ; 3 Substance grise périaqueducale ; 4 Citerne interpédonculaire ; 5 Sillon latéral ; 6 Substantia nigra ; 7 Noyau rouge du tegmentum ; 8 Nerf oculomoteur, avec 8’, son noyau d'origine a Lemnisque (en bleu) avec a’ le lemnisque médian et a" le lemnisque latéral ; b Fasciculus longitudinal médial ; c Raphé ; d Fibres temporopontiques ; e Partie du lemnisque médian, Qui se dirige vers le noyau lenticulaire et l'insula ; f Fibres cérébrospinales ; g Fibres fronto-pontiques.
Foievignette|Le foie est en rouge sur cette représentation du système digestif humain. Le foie est le plus gros organe abdominal et fait partie de l'appareil digestif sécrétant la bile et remplissant plus de vitales, notamment les trois suivantes : une fonction d'épuration, une fonction de synthèse et une fonction de stockage. Il s'agit d'une glande amphicrine permettant la synthèse de la bile (rôle exocrine) ainsi que celle de plusieurs glucides et lipides (rôle endocrine). Il joue aussi un rôle important dans l'hémostase.
Conditionnement classiquevignette|thumbtime=192|L'expérience du petit Albert. Le conditionnement classique (aussi appelé conditionnement répondant, conditionnement de type I ou conditionnement pavlovien) est proposé par Ivan Pavlov en 1903. La publication de son livre « Conditioned Reflexes: an Investigation of the Psysiological Activity of the Cerebral Cortex » en 1927 a laissé un impact majeur sur le développement de la psychologie. Cette théorie s'intéresse aux résultats d'un apprentissage dû à l'association entre des stimuli de l'environnement et les réactions inconditionnelles de l'organisme.
NauséeLa nausée (du grec ancien / naus, « navire ») est la sensation de mal-être et d'inconfort qui accompagne l'éventuelle approche des vomissements. Cet état est souvent accompagné de contractions de l’estomac, éventuellement préalables à un rejet du bol alimentaire dans l’œsophage préparant un vomissement. Ce n'est pas une maladie en soi, mais un symptôme qui peut être dû à différentes maladies ou médicaments et d'autres conditions, qui ne traduit pas forcément un malaise au niveau de l'estomac.
MotivationLa motivation désigne, au sein d'un organisme vivant, la composante ou le processus en jeu pour l'engagement dans une activité précise. Elle en détermine le déclenchement, la direction, l'intensité et en assure la prolongation jusqu'à l'aboutissement ou l'interruption. Cette notion se distingue du potentiel, de l'odorat ou encore de l'optimisme. La motivation prend de nos jours une place de premier plan dans les organisations. Elle est déterminante pour l'apprentissage (y compris chez les nourrissons) et génère la productivité dans de nombreuses activités personnelles ou professionnelles.
Noyau accumbensLes noyaux accumbens, aussi connus sous le terme latin nucleus accumbens septi (qui signifie noyau appuyé contre le septum), sont un ensemble de neurones situés à l'intérieur de la zone corticale prosencéphalique. Il semble qu'ils jouent un rôle important dans le système de récompense et l'assuétude (accoutumance, dépendance), le rire, le plaisir, la peur et l'effet placebo. C'est une structure symétrique c'est-à-dire que chaque hémisphère cérébral a un noyau accumbens.
EfficacyEfficacy is the ability to perform a task to a satisfactory or expected degree. The word comes from the same roots as effectiveness, and it has often been used synonymously, although in pharmacology a distinction is now often made between efficacy and effectiveness. The word efficacy is used in pharmacology and medicine to refer both to the maximum response achievable from a pharmaceutical drug in research settings, and to the capacity for sufficient therapeutic effect or beneficial change in clinical settings.
Effet noceboL'effet nocebo (du latin : « je nuirai ») est un terme introduit en 1961 par Walter Kennedy. L'effet psychologique ou physiologique lié à la prise d'une substance inerte n'est pas toujours bénéfique, sous la forme d'un effet placebo, il peut aussi être dommageable pour l'individu, et on parle alors d'effet nocebo. Cet effet nocebo peut prendre la forme d'effets indésirables. Le patient, croyant qu'il prend un médicament, est susceptible de recréer, par suggestion, les effets indésirables dont il a pu entendre parler auprès de ses amis ou dans les médias, ou qu'il a simplement lus sur la notice.
Antiépileptiquevignette|Quelques anticonvulsivants : valproate de sodium, stiripentol, clobazam et midazolam Les antiépileptiques , anticonvulsifs, anticonvulsivants ou anticomitiaux, appartiennent à un groupe varié de médicaments utilisés dans la prévention ou l'occurrence de l'épilepsie. Leur action est symptomatique et non pas curative (ils sont capables de diminuer la sévérité des crises, la fréquence de celles-ci, voire de les supprimer complètement (pour 60 % des patients approximativement), mais l'arrêt du traitement signe leur reprise).
Consentement libre et éclairéEn droit de la santé, le consentement libre et éclairé implique que le médecin est tenu de présenter clairement au patient tous les risques d'une conduite thérapeutique. Le consentement doit être libre, c’est-à-dire en l'absence de contrainte, et éclairé, c’est-à-dire précédé par une information. La règle selon laquelle le consentement doit être libre et éclairé est énoncée à l'article 10 du Code civil du Québec : Cette règle est placée immédiatement avant la section du Code civil du Québec intitulée « des soins ».